Bonjour,
Ce n’est pas la première fois, ce n’est pas la première femme qui met au monde un enfant a un age avancé…Je le sais, mais ce que je voudrais dire c’est que cette femme vit en Algérie, dans un village éloigné a l’ouest du pays, elle s’est mariée a un age avancé, a attendu 12 ans et espérait…ET VOILA que son reve s’est réalisé. Que ce rêve se réalisé en Algérie, voila l’autre bonne nouvelle. La maman et le bébé se portent bien.
Amine Bouali, Le Quotidien d'Oran.
Ce n’est pas la première fois, ce n’est pas la première femme qui met au monde un enfant a un age avancé…Je le sais, mais ce que je voudrais dire c’est que cette femme vit en Algérie, dans un village éloigné a l’ouest du pays, elle s’est mariée a un age avancé, a attendu 12 ans et espérait…ET VOILA que son reve s’est réalisé. Que ce rêve se réalisé en Algérie, voila l’autre bonne nouvelle. La maman et le bébé se portent bien.
Mercredi dernier 23 novembre, aux alentours de 8 h 30 du matin, à la clinique El-Hana de Tlemcen, Z.M., une femme âgée de 52 ans, originaire de Ghazaouet, a donné naissance par césarienne à une petite fille prénommée Farah-Amal et pesant 3 kilos 200.
Mariée à 40 ans seulement, cette dame n’a pu avoir de grossesse spontanément durant une phase de stérilité primaire post-mariage qui a duré 12 années. Aussi, elle a dû avoir recours à des traitements de stimulation ovarienne, dont un protocole récent qui a donné ses preuves à l’échelle européenne, selon son gynécologue traitant, le Dr El-Korso Nasr-Eddine. Selon la formule consacrée, la maman et le bébé se portent bien.
Une grossesse conçue à l’âge de 52 ans, qui est l’âge de l’installation de la ménopause, est considérée comme assez rare. En France, les statistiques tenues par l’un des spécialistes de la grossesse tardive, le Professeur Tourner de l’hôpital Saint Vincent-de-Paul (Paris), révèlent un pourcentage de 0,01% de grossesses après 52 ans (soit 1 cas sur 10.000 naissances). En Algérie, ce pourcentage est pratiquement le même, malgré un taux de natalité très élevé et donc une population qui procrée importante.
C’est une dame française âgée de 55 ans et traitée à l’hôpital parisien Saint Vincent-de-Paul qui détient, depuis 2002, le record des grossesses tardives après un traitement de stimulation de l’ovaire. Il y a 2 années, une Italienne a pu procréer à l’âge vénérable de 65 ans mais suite à une manipulation génétique.
Mariée à 40 ans seulement, cette dame n’a pu avoir de grossesse spontanément durant une phase de stérilité primaire post-mariage qui a duré 12 années. Aussi, elle a dû avoir recours à des traitements de stimulation ovarienne, dont un protocole récent qui a donné ses preuves à l’échelle européenne, selon son gynécologue traitant, le Dr El-Korso Nasr-Eddine. Selon la formule consacrée, la maman et le bébé se portent bien.
Une grossesse conçue à l’âge de 52 ans, qui est l’âge de l’installation de la ménopause, est considérée comme assez rare. En France, les statistiques tenues par l’un des spécialistes de la grossesse tardive, le Professeur Tourner de l’hôpital Saint Vincent-de-Paul (Paris), révèlent un pourcentage de 0,01% de grossesses après 52 ans (soit 1 cas sur 10.000 naissances). En Algérie, ce pourcentage est pratiquement le même, malgré un taux de natalité très élevé et donc une population qui procrée importante.
C’est une dame française âgée de 55 ans et traitée à l’hôpital parisien Saint Vincent-de-Paul qui détient, depuis 2002, le record des grossesses tardives après un traitement de stimulation de l’ovaire. Il y a 2 années, une Italienne a pu procréer à l’âge vénérable de 65 ans mais suite à une manipulation génétique.
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