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Selon l'Elysée, J. Chirac et A. Bouteflika auront un entretien en aparté lors du sommet euro-méditerranéen de Barcelone prévu dimanche et lundi.
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Le président français Jacques Chirac et son homologue algérien Abdelaziz Bouteflika devraient se rencontrer en aparté en marge du sommet euro-méditerranéen de Barcelone, dimanche et lundi, selon l'Elysée.
Cette rencontre intervient alors que les négociations en vue de la signature d'un "traité d'amitié" franco-algérien, prévue avant la fin 2005 à l'origine, semblent avancer avec peine.
Les relations entre les deux capitales se sont en effet tendues après le vote en France de la loi du 23 février 2005 qui stipule que "les programmes scolaires reconnaissent en particulier le rôle positif de la présence française outre-mer, notamment en Afrique du Nord, et accordent à l'histoire et aux sacrifices des combattants de l'armée française, issus de ces territoires, la place éminente à laquelle ils ont droit".
Lors de la commémoration des massacres du 8 mai 1945 à Sétif, Abdelaziz Bouteflika avait de son côté comparé les fours à chaux de l'armée coloniale aux fours crématoires de l'Allemagne nazie.
L'Algérie est un pays "avec lequel nous lient une histoire et une mémoire complexes", soulignait vendredi un diplomate français.
La signature d'un traité d'amitié "suppose de part et d'autre un processus concernant la mémoire (...) qu'il ne faut pas négliger" et "ce qui est très important, c'est que ce processus arrive à maturation", ajoutait-on de même source, en n'excluant pas que les discussions prennent "quelques semaines de plus" si nécessaire.
Source: AFP
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Le président français Jacques Chirac et son homologue algérien Abdelaziz Bouteflika devraient se rencontrer en aparté en marge du sommet euro-méditerranéen de Barcelone, dimanche et lundi, selon l'Elysée.
Cette rencontre intervient alors que les négociations en vue de la signature d'un "traité d'amitié" franco-algérien, prévue avant la fin 2005 à l'origine, semblent avancer avec peine.
Les relations entre les deux capitales se sont en effet tendues après le vote en France de la loi du 23 février 2005 qui stipule que "les programmes scolaires reconnaissent en particulier le rôle positif de la présence française outre-mer, notamment en Afrique du Nord, et accordent à l'histoire et aux sacrifices des combattants de l'armée française, issus de ces territoires, la place éminente à laquelle ils ont droit".
Lors de la commémoration des massacres du 8 mai 1945 à Sétif, Abdelaziz Bouteflika avait de son côté comparé les fours à chaux de l'armée coloniale aux fours crématoires de l'Allemagne nazie.
L'Algérie est un pays "avec lequel nous lient une histoire et une mémoire complexes", soulignait vendredi un diplomate français.
La signature d'un traité d'amitié "suppose de part et d'autre un processus concernant la mémoire (...) qu'il ne faut pas négliger" et "ce qui est très important, c'est que ce processus arrive à maturation", ajoutait-on de même source, en n'excluant pas que les discussions prennent "quelques semaines de plus" si nécessaire.
Source: AFP
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