Tweet
Plus de 400 projets de recherche «utiles»
Plus de 400 projets de recherches scientifiques «utiles à la société algérienne» sont en discussion au titre du programme national des sciences sociales et humaines, a indiqué un responsable de la Direction générale de la recherche scientifique et du développement technologique (DGRSDT-ministère).
Le directeur de la programmation, de la recherche et de l'évaluation auprès de la DGRSDT, le professeur Mokhtar Salami, a déclaré à l'APS, en marge des assisses nationales ouvertes samedi à Oran sur l'organisation de la recherche scientifique dans les sciences humaines et sociales, que sa direction s'apprête à lancer un débat continu sur les échanges d'expériences et de connaissances afin de «parvenir à la modernisation de la recherche scientifique et la rendre utile compte tenu des exigences de la société algérienne qui connaît des mutations rapides».
Cette institution entamera incessamment l'opération de dépôt des projets dans les spécialités concernées avant de les évaluer lors d'une rencontre prévue en septembre prochain à Alger. Il sera question d'apprécier la conformité des problématiques et des thématiques traitées par les sujets proposés par les chercheurs et laboratoires avec les exigences de la société et leur impact quant au règlement des problèmes de société.
La première journée de ces assisses, auxquelles participent une centaine de chercheurs des universités et laboratoires du pays, ainsi que des experts nationaux établis à l'étranger, notamment en France et aux Etats-Unis, a été marquée par un débat élargi sur le rôle et la position de la recherche dans les sciences sociales et humaines dans la société, l'évaluation des résultats par rapport à leur contributions dans le changement social et le développement des ressources humaines.
Les participants ont abordé, lors de cette rencontre, les visions et les stratégies devant être adoptées pour la relance de la recherche scientifique dans les sciences humaines et sociales en Algérie, en se référant aux expériences des chercheurs opérant tant au pays qu'à l'étranger.
Matérialiser les objectifs
Le choix des thématiques qui sont conformes avec la réalité sociale et humaine, à l'instar des enquêtes techniques traitant des données renouvelables dans la société, soutenues par des méthodologies modernes, a été également débattu lors des travaux.
Un appel a été lancé au cours de cette manifestation scientifique aux chercheurs, les invitant à adhérer au programme national de la recherche scientifique qui assure, selon certains intervenants, «un cadre réglementaire et une coordination des recherches, tout en conférant une qualité non négligeable aux résultats qui ciblent les phénomènes de société».
Intervenant lors des travaux, le professeur Lazreg Maghnia, de l'université de New York (USA), a qualifié cette initiative «d'encourageante pour l'épanouissement de la recherche scientifique dans les sciences sociales et humaines en Algérie, compte tenu de l'importance que revêtent ces sciences pour asseoir un développement sociale».
De son côté, le Pr Saïd Belguidoum, de l'université d'Aix En Provence (France), considère que ces assises «constituent un pas important dans la consécration d'une culture de la recherche en laboratoire dans l'ensemble des spécialités scientifiques», tout en félicitant cette démarche faisant appel aux chercheurs algériens établis à l'étranger pour «contribuer à la matérialisation de cet objectif qui dénote une volonté réelle visant la promotion du niveau de la recherche scientifique en Algérie».
Quatre ateliers de travail ont été constitués pour diagnostiquer un nombre de thèmes retenus pour ces assises, devant aboutir, dimanche, à des recommandations visant la définition de thématiques pour la recherche scientifique en phase avec les besoins de la société algérienne.
Le Financier
Le directeur de la programmation, de la recherche et de l'évaluation auprès de la DGRSDT, le professeur Mokhtar Salami, a déclaré à l'APS, en marge des assisses nationales ouvertes samedi à Oran sur l'organisation de la recherche scientifique dans les sciences humaines et sociales, que sa direction s'apprête à lancer un débat continu sur les échanges d'expériences et de connaissances afin de «parvenir à la modernisation de la recherche scientifique et la rendre utile compte tenu des exigences de la société algérienne qui connaît des mutations rapides».
Cette institution entamera incessamment l'opération de dépôt des projets dans les spécialités concernées avant de les évaluer lors d'une rencontre prévue en septembre prochain à Alger. Il sera question d'apprécier la conformité des problématiques et des thématiques traitées par les sujets proposés par les chercheurs et laboratoires avec les exigences de la société et leur impact quant au règlement des problèmes de société.
La première journée de ces assisses, auxquelles participent une centaine de chercheurs des universités et laboratoires du pays, ainsi que des experts nationaux établis à l'étranger, notamment en France et aux Etats-Unis, a été marquée par un débat élargi sur le rôle et la position de la recherche dans les sciences sociales et humaines dans la société, l'évaluation des résultats par rapport à leur contributions dans le changement social et le développement des ressources humaines.
Les participants ont abordé, lors de cette rencontre, les visions et les stratégies devant être adoptées pour la relance de la recherche scientifique dans les sciences humaines et sociales en Algérie, en se référant aux expériences des chercheurs opérant tant au pays qu'à l'étranger.
Matérialiser les objectifs
Le choix des thématiques qui sont conformes avec la réalité sociale et humaine, à l'instar des enquêtes techniques traitant des données renouvelables dans la société, soutenues par des méthodologies modernes, a été également débattu lors des travaux.
Un appel a été lancé au cours de cette manifestation scientifique aux chercheurs, les invitant à adhérer au programme national de la recherche scientifique qui assure, selon certains intervenants, «un cadre réglementaire et une coordination des recherches, tout en conférant une qualité non négligeable aux résultats qui ciblent les phénomènes de société».
Intervenant lors des travaux, le professeur Lazreg Maghnia, de l'université de New York (USA), a qualifié cette initiative «d'encourageante pour l'épanouissement de la recherche scientifique dans les sciences sociales et humaines en Algérie, compte tenu de l'importance que revêtent ces sciences pour asseoir un développement sociale».
De son côté, le Pr Saïd Belguidoum, de l'université d'Aix En Provence (France), considère que ces assises «constituent un pas important dans la consécration d'une culture de la recherche en laboratoire dans l'ensemble des spécialités scientifiques», tout en félicitant cette démarche faisant appel aux chercheurs algériens établis à l'étranger pour «contribuer à la matérialisation de cet objectif qui dénote une volonté réelle visant la promotion du niveau de la recherche scientifique en Algérie».
Quatre ateliers de travail ont été constitués pour diagnostiquer un nombre de thèmes retenus pour ces assises, devant aboutir, dimanche, à des recommandations visant la définition de thématiques pour la recherche scientifique en phase avec les besoins de la société algérienne.
Le Financier