Passionné de grosses cylindrées, de sport et surtout très soucieux de ne pas bousculer les traditions séculaires de sa dynastie. «Mon père avait l’habitude de dire: "Tu auras à prendre des décisions qui ne feront plaisir ni à toi ni aux gens. Mais ce sera pour le bien du pays"», affirma-t-il. (....) Deuxième et fils aîné d’une fratrie de cinq enfants, Sidi Mohammed est né le 21 août 1963. Toute son éducation n’a eu qu’un seul but: le préparer à régner. Un apprentissage souvent douloureux avec un Hassan II qui n’admettait ni écart ni contestation. Il n’a que trois ans lorsque le monarque l’emmène pour la première fois en voyage officiel aux États-Unis, six ans lorsqu’on lui fait lire, à l’occasion d’une cérémonie officielle, son premier discours. Il n’est qu’un enfant lorsqu’il représente son père aux obsèques de Georges Pompidou en 1974, aux côtés de Michel Jobert, sous la nef de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Hassan II surveille personnellement l’instruction de l’héritier du Trône. Son éducation politique et religieuse est réglée comme du papier à musique par une nuée de précepteurs. Une tâche conçue comme un sacerdoce pour l’avenir de la monarchie. (...). A l’époque, ce traitement sévère interdisait à Mohammed VI de s’exprimer publiquement sur les affaires de l’État, ou sur quoi que ce soit, d’ailleurs. Ses rares discours, assez abscons, étaient rédigés par les collaborateurs du roi, souvent par André Azoulay. Il apprenait son métier en silence, recevait le fouet à chaque incartade, et vivait reclus au Palais avec ses quelques condisciples triés sur le volet, ceux-là mêmes qui allaient dès son intronisation constituer l’armature de son cabinet. «Il suffit dans ce domaine que je lui inculque deux choses importantes. Être patriote jusqu’au sacrifice suprême et tenir le coup, quoi qu’il arrive.» D’après son cousin Moulay Hicham, Hassan II avait obligé le jeune prince héritier alors âgé de 8 ans à assister à l’exécution des officiers putschistes de 1971. C’est ainsi que Hassan II justifiera son rigorisme à l’égard de son fils (...) R.N (l'Expression)
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Le Syndrome Du Sultan
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Bravo "l'expression" pour l'offensive médiatique, la Corée du nord n'aurait
pas fais mieux, 4 article en une nuit ! chapeau !
Mais alhamdoulilah quand on sait que la propagande soviétique n'est que pour la consommation interne algérienne .
Pauvre peuple !Dernière modification par diablo-colorado, 04 juin 2009, 19h00.
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L'article (un article, où? Ce machin de deux lignes? ) en lui même n'a rien de choquant, mais la répétition d'articles sur une même édition visant tous à attaquer la monarchie marocaine et le maroc en dit long sur les intentions de la rédaction de ce torchon.La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo
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Je ne sais pas qui lit le journal l'expression, car personnellement je ne l'ai jamais lu de ma vie. Il se peut que ce journal n'existe que pour nourrir la propagande Maroc-Algerie et reagir a d'autres journaux de la meme trempe au Maroc. C'est de bonne guerre, et ne me dit surtout pas qu'au Maroc le palais du gouvernement est peuple d'anges!
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Oui, le jour ou les deux gouvernements arreterons d'utiliser la presse pour se jetter la responsabilite du blocus.
On devrait s'asseoir sur une meme table pour parler de tout les sujets qui fache, et proposer des solutions pour ce qui urge et laisser de cote ce qui ne peut etre regle dans l'immediat. Instaurer une climat de dialogue et de partnership, plutot que de se disputer a travers une presse minable qui ne cesse de creuser le fosse entre les deux peuples.
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posté par diablo-colorado
Mais alhamdoulilahl quand on sait que la propagande soviétique n'est que pour la consommation interne algérienne .
Pauvre peuple !
**TelQuel qui est pour quelque chose pour informer le pauvre peuple de la vie de leur Roi M6 , d ailleurs de son droit d informer ..A qui sait comprendre , peu de mots suffisent
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