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La ville d’Annaba s’est transformée ces derniers temps en un véritable chantier touchant toutes ses cités et quartiers pour lui donner un nouveau look et ainsi séduire ses nombreux visiteurs.
Les voies urbaines, devenues presque impraticables du fait d’une dégradation continue, ont été, pour la plupart, bitumées et, pour certaines, réhabilitées, au grand bonheur des automobilistes. En effet, c’est surtout du côté de la Cité Safsaf, communément appelée «les Allemands», que ces voies de communication sont les plus dégradées. Nids-de-poule en plein milieu de la chaussée, cratères béants et autres fossés dissuadent les plus courageux des conducteurs qui évitent d’emprunter ces routes.
Les travaux engagés il y a près de deux semaines ont remis à neuf tout le réseau routier de cette cité où l’on circule avec plaisir sur un bitume qu’on ne veut plus quitter. Dans la cité voisine, «les Orangers», les travaux de rénovation des conduites souterraines, principalement celles destinées à l’assainissement et à l’évacuation des eaux usées sont toujours en cours, ce qui cause bien des désagréments aux riverains.
Selon le président de l’APC ces travaux ont été rendus nécessaires pour en finir une fois pour toutes avec les inondations localisées dans cette partie de la ville. Le redimensionnement des canalisations permettra une meilleure évacuation des eaux pluviales et empêchera leur stagnation. «Dès que l’entreprise aura achevé les travaux, déclare M. Bensaïd Abdallah Nabil, président de l’APC, nous procéderons au bitumage comme nous l’avons fait dans les autres cités.
Nous avons déjà réalisé 30 km de voies, 57 autres sont en cours et nous comptons, selon le programme établi, toucher 135 km de voies urbaines.» Les places publiques ont, elles aussi, fait l’objet d’une attention particulière des autorités : entretien, réfection, peinture et autres travaux ont été lancés pour donner à ces espaces publics, parfois abandonnés, une meilleure image. Les façades des édifices publics et des immeubles privés, habitations et locaux commerciaux sont en train d’être repeints les trottoirs ont été badigeonnés et les avaloirs chaulés.
Cet été, la Coquette a fait sa toilette et s’est faite belle pour accueillir ses visiteurs et rendre leur séjour des plus agréables et la ville des jujubes brille de mille feux invitant à une halte dans l’un de ses sites féériques de bord de mer ou à se balader dans les ruelles de la vieille ville qui se dresse encore, défiant le temps et les hommes. .
Par La Tribune
Les voies urbaines, devenues presque impraticables du fait d’une dégradation continue, ont été, pour la plupart, bitumées et, pour certaines, réhabilitées, au grand bonheur des automobilistes. En effet, c’est surtout du côté de la Cité Safsaf, communément appelée «les Allemands», que ces voies de communication sont les plus dégradées. Nids-de-poule en plein milieu de la chaussée, cratères béants et autres fossés dissuadent les plus courageux des conducteurs qui évitent d’emprunter ces routes.
Les travaux engagés il y a près de deux semaines ont remis à neuf tout le réseau routier de cette cité où l’on circule avec plaisir sur un bitume qu’on ne veut plus quitter. Dans la cité voisine, «les Orangers», les travaux de rénovation des conduites souterraines, principalement celles destinées à l’assainissement et à l’évacuation des eaux usées sont toujours en cours, ce qui cause bien des désagréments aux riverains.
Selon le président de l’APC ces travaux ont été rendus nécessaires pour en finir une fois pour toutes avec les inondations localisées dans cette partie de la ville. Le redimensionnement des canalisations permettra une meilleure évacuation des eaux pluviales et empêchera leur stagnation. «Dès que l’entreprise aura achevé les travaux, déclare M. Bensaïd Abdallah Nabil, président de l’APC, nous procéderons au bitumage comme nous l’avons fait dans les autres cités.
Nous avons déjà réalisé 30 km de voies, 57 autres sont en cours et nous comptons, selon le programme établi, toucher 135 km de voies urbaines.» Les places publiques ont, elles aussi, fait l’objet d’une attention particulière des autorités : entretien, réfection, peinture et autres travaux ont été lancés pour donner à ces espaces publics, parfois abandonnés, une meilleure image. Les façades des édifices publics et des immeubles privés, habitations et locaux commerciaux sont en train d’être repeints les trottoirs ont été badigeonnés et les avaloirs chaulés.
Cet été, la Coquette a fait sa toilette et s’est faite belle pour accueillir ses visiteurs et rendre leur séjour des plus agréables et la ville des jujubes brille de mille feux invitant à une halte dans l’un de ses sites féériques de bord de mer ou à se balader dans les ruelles de la vieille ville qui se dresse encore, défiant le temps et les hommes. .
Par La Tribune