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Pétrole : Goldman Sachs prévoit un baril à 75 dollars

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  • Pétrole : Goldman Sachs prévoit un baril à 75 dollars

    Goldman Sachs relève de plus de 20 euros ses prévisions pour le prix du baril pour les trois mois à venir.

    A la suite de l'envolée des prix du pétrole sur le marché new-yorkais ces derniers jours, Goldman Sachs a réévalué ces anticipations pour le prix du baril de brut pour les 3 mois à venir avec un cours d'équilibres 75 dollars.
    Selon la banque américaine, l'augmentation du prix du baril ces derniers temps ne serait que la première étape d'un mouvement continu au cours des prochains mois. En tablant désormais sur un baril à 85 dollars fin 2009 contre 65 dollars lors des précédentes estimations, les analystes de Goldman Sachs estiment que l'amélioration de la situation économique soutiendra le baril.

    Une pénurie peut être envisageable

    D'après eux, l'OPEP devrait conserver une production excédentaire au cours du premier semestre 2010 à la différence du second semestre où la production devrait être inférieure à la demande du fait d'investissements insuffisants. La probabilité d'une nouvelle pénurie d'énergie n'est selon eux pas à exclure.
    Au cours des 12 prochains mois, le baril devrait se situer autour de 90 dollars. Ce chiffre est très supérieur aux estimations des économistes qui tablent sur une moyenne 2009 autour de 55 dollars et de 67 dollars environ pour 2010.
    A la bourse de New York, à 12h54, le baril perdait 1,93% à 66,99 dollars.


    PÉTROLE/le brut repart à la hausse à New York au lendemain d'une chute

    New York (awp/afp) - Les cours du pétrole repartaient à la hausse, jeudi à l'ouverture des échanges à New York, effaçant une grande partie de leur chute de la veille sous l'effet de l'affaiblissement de la monnaie américaine.
    Vers 13H10 GMT (15h10 HEC), sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" pour livraison en juillet s'échangeait à 68,08 dollars, en hausse de 1,96 dollar par rapport à son cours de clôture de mercredi.
    La séance précédente, le baril avait lâché 2,43 dollars, soit 3,5%, après la publication des statistiques hebdomadaires du département américain de l'Energie sur les stocks pétroliers du pays.
    Elles ont révélé une augmentation surprise des réserves de brut, de 2,9 millions de baril la semaine dernière, et une demande toujours en baisse par rapport à l'an dernier.
    "Le marché a déjà mis de côté ces chiffres", a observé Phil Flynn, d'Alaron Trading. "Peu importe que la demande soit la plus faible en dix ans, le marché se préoccupe d'autres choses: l'économie et le dollar."
    Après un rebond la veille, la monnaie américaine repartait à la baisse, mouvement qui rend l'or noir plus attractif pour les acheteurs munis d'autres devises. Cela pousse aussi les investisseurs à placer leur argent dans les matières premières pour se protéger de la perte de valeur de leurs avoirs.
    Selon l'analyste, le marché a accueilli positivement les chiffres des inscriptions au chômage aux Etats-Unis, qui ont baissé la semaine dernière pour la troisième semaine consécutive.
    Cette nouvelle a "alimenté l'enthousiasme sur l'économie, qui pourrait être en train de se reprendre", a jugé M. Flynn. "Il y a la perception que si la situation de l'économie s'améliore, l'offre va se réduire rapidement et l'inflation revenir".
    Les analystes de la banque américaine Goldman Sachs ont relevé de 23 dollars, à 75 dollars le baril, leur pronostic sur le prix du pétrole pour les trois mois à venir. Ils tablent sur un baril à 85 dollars à la fin de l'année.
    "L'envolée des prix du pétrole sur le marché new-yorkais pourrait n'être que la première étape de la flambée du brut qui, selon nous, va accompagner le redressement de l'activité économique", ont-ils avancé.
    rp
    (AWP/04 juin 2009 15h30)
    Dernière modification par nacer-eddine06, 04 juin 2009, 16h43.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Boycott

    Moi je prevoit un baril à 500$

    voir plus si affinités

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    • #3
      Les cours du pétrole à leur plus haut niveau de l'année
      AP | 04.06.2009 | 21:59

      Les prix du pétrole atteignaient jeudi leur plus haut niveau depuis le début de l'année.

      Le brut pour livraison en juillet était en hausse de 2,69 dollars, à 68,81 dollars le baril à New York sur le Nymex (New York Mercantile Exchange). Il était monté jusqu'à 69,60 dollars plus tôt dans la journée.

      A Londres, les cours du Brent ont augmenté de 2,83 dollars pour atteindre 68,71 dollars sur l'ICE. AP

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      • #4
        Baril à 69.60$ ou à 49.01 € c'est Acceptable pour nous Consommateurs

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        • #5
          si c'est comme les previsions avant la crise des subprime, les pays consommateur peuvent etre tranquille....

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          • #6
            Moi je veux bien que le baril augmente, c'est plutot une bonne nouvelle pour le développement plus rapide des nouvelles sources d'énergie,
            Quand à Goldman Sachs il faut quand même s'en méfier vu qu'ils n'avaient pas prévu leur propre chute !
            Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous
            Mahomet

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            • #7
              France : Une baisse de 6 % de la consommation énergétique d'ici à 2020

              L'Usine Nouvelle Guillaume Maincent 04/06/2009

              Le ministre de l'Energie a présenté trois documents de programmation pluriannuelle des investissements (gaz, chaleur et électricité) qui rompent avec le scénario de la « hausse tendancielle ».
              Une baisse de 6 % de la consommation énergétique d'ici à 2020 Conséquence du Grenelle de l'environnement et des objectifs fixés en matière d'efficacité énergétique, la consommation d'énergie finale en France va décliner : - 6 % en 2020 par rapport à 2006 à en croire le nouveau plan de PPI (programmation pluriannuelle des investissements) présenté hier par Jean-Louis Borloo, ministre de l'Energie.

              La PPI est un document prospectif créé par la loi (2000 pour l'électricité, 2003 pour le gaz, 2005 pour la chaleur) afin d'anticiper sur ce que sera la consommation d'énergie à l'avenir et d'adapter le parc de production en conséquence.

              Dans un scénario « business as usual », c'est-à-dire en laissant faire les choses sans appliquer les mesures du Grenelle, la consommation d'énergie finale augmenterait au contraire de 12 %. « Le grand changement, c'est l'arrêt de la croissance tendancielle, qui faisait inexorablement augmenter la consommation d'énergie du pays d'un ou deux pour cent chaque année », a souligné Jean-Louis Borloo au cours d'une conférence de presse, juste après avoir présenté les trois documents de PPI dans une communication en conseil des ministres.

              Dans cette hypothèse, la France économiserait 10 millions de tep et, en augmentant en parallèle le recours aux renouvelables (doublement attendu, tant pour faire de l'électricité que de la chaleur), gagnerait son pari contre les émissions de gaz à effet de serre (objectif de - 20 % au niveau européen).

              Le parc de production va devoir s'adapter à cette nouvelle donne. Le doublement du recours aux renouvelables donne le tournis : « 400 fois plus de photovoltaïque, 12 fois plus de réseaux de chaleur verts, 6 fois plus de géothermie, 2 fois plus de bois, il y a du travail », énumère le ministre, rappelant que son plan de développement des énergies renouvelables du 17 novembre dernier en dresse la feuille de route. Mais les filières conventionnelles seront-elles aussi bouleversées.

              Pas de 3ème EPR en vue

              Côté nucléaire, la perspective d'une quasi-stabilisation de la consommation d'électricité « ne rend pas nécessaire la construction d'un troisième réacteur EPR » en plus des projets de Flamanville (Manche, 2012) et Penly (Seine-Maritime, 2017), a indiqué le ministre, « sauf s'il fallait remplacer les centrales actuelles plus vite que prévu ». C'est-à-dire si l'autorité de sureté nucléaire refusait la prolongation de leur durée de vie au-delà de quarante ans. De plus, le développement des interconnexions avec les voisins européens, à l'image de la future liaison France-Espagne, réduirait le risque de pénurie.

              Côté énergies fossiles, une petite révolution se prépare dans le gaz, jusque là très en vogue. La PPI lui prévoit une baisse de 10 % d'ici 2020. « Nous sommes à la croisée des chemins : il servira davantage pour produire de l'électricité, mais beaucoup moins pour chauffer les logements, étant donné les efforts entrepris pour isoler le parc », note Jean-Louis Borloo. La PPI électricité prévoit bien une vingtaine de nouvelles centrales à cycle combiné gaz pour assurer la demande en semi-base (dont une dizaine de projets déjà déposés, notamment par les fournisseurs d'électricité alternatifs comme Poweo ou Direct Energie), mais surtout pour remplacer les centrales à charbon qui s'arrêteront en 2015 pour cause d'émissions polluantes supérieures aux seuils de la directive GIC (grandes installations de combustion). Selon Pierre-Marie Abadie, à la DGEC (direction général de l'énergie et du climat) du ministère, une bonne moitié des 17 centrales électriques françaises à charbon sera déclassée. Pour le fonctionnaire, les centrales à charbon ont un avenir après 2020, sous réserve qu'elles fassent du CSC (captage et stockage de carbone).
              Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous
              Mahomet

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              • #8
                Le calcul de Jeff Rubin «a très peu à voir avec l'Amérique du Nord, explique-t-il. Ce qui mène le prix du pétrole, ce sont les économies où il y avait habituellement plus de bicyclettes que de voitures dans les rues.»

                Le symbole de la compagnie Tata (et sa voiture à 2500$) veut dire beaucoup pour Jeff Rubin. «Ça va changer le monde», déclare-t-il. Et cela poussera les prix vers la stratosphère.

                «Soudainement, des millions de ménages en Inde, en Chine, en Asie du Sud-Est, en Afrique, en Amérique latine, vont pouvoir s'acheter une voiture. Et quand tu obtiens une voiture, tu obtiens une paille pour commencer à aspirer le pétrole de la planète.»

                a mediter
                The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                • #9
                  le baril a 70

                  Les prix du pétrole ont bondi à près de 70 dollars à New York, après que les analystes de la banque Goldman Sachs eurent prévenu d'une possible flambée des cours de l'or noir quand l'économie repartira.

                  Sur le New York Mercantile Exchange, le baril de "light sweet crude" pour livraison en juillet a terminé à 68,81 dollars, en hausse de 2,69 dollars par rapport à son cours de clôture de mercredi.

                  Il s'est élevé en séance jusque 69,60 dollars, son plus haut niveau depuis début novembre, et a plus que doublé depuis son plus bas niveau de décembre, à 32,40 dollars.

                  La consommation mondiale d'or noir devrait connaître en 2009 sa deuxième année consécutive de repli, du jamais vu depuis 25 ans.

                  Et les dernières statistiques hebdomadaires du département américain de l'Energie ont montré une augmentation surprise des réserves de brut aux Etats-Unis, de 2,9 millions de baril la semaine dernière, et une demande toujours en baisse par rapport à l'an dernier.

                  Même la demande d'essence s'affiche en recul par rapport à la même période un an plus tôt, quand le baril dépassait les 130 dollars, alors que certains analystes espéraient voire la consommation repartir à l'approche de l'été, marquée par d'importants déplacements en voiture aux Etats-Unis.
                  nouvelobs
                  The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                  • #10
                    Il ne faut pas être devin ou grand économiste....

                    Il ne faut pas être devin ou grand économiste pour comprendre que le prix du baril de pétrole sera à plus de 200 euros dans deux ans
                    Nous avons un pic dans la production et les capacités de production vont diminuer alors que la demande augmente
                    Les grands producteurs n'investissent pas suffisament dans les énergies renouvelables.....S'il n'y a une évolution positive de l'économie...et ceci n'est pas certain, c'est le scénario le plus probable vers lequel on ira
                    Les grands industriels pensent qu'ils ont le temps de se retourner..Nous verrons bien

                    Bonne soirée

                    Henri Thoa
                    Rien n'est pire que de passer dans la vie et de rester inaperçu

                    Henri Thoa

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                    • #11
                      Le brut au-dessus des 70 dollars en Asie

                      Une première depuis novembre 2008



                      Les prix du pétrole étaient en hausse mercredi 10 juin dans les échanges électroniques en Asie au-dessus des 70 dollars, ont indiqué des courtiers cités par l’agence de presse AFP.
                      Dans les échanges matinaux, le baril de «light sweet crude » pour livraison en juillet gagnait 81 cents à 70,82 USD, après avoir dépassé la barre des 70 dollars le baril mardi à la clôture à New York, pour la première fois depuis novembre, soutenus par la baisse du dollar.
                      Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juillet prenait 55 cents à 70,17 dollars.

                      Mise en ligne le : 10/06/2009
                      Cap sur les 80 dollars !!

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                      • #12
                        Cap sur les 80 dollars !!

                        .................................

                        Où sur les 40 dollars.

                        Commentaire


                        • #13
                          chicha

                          Où sur les 40 dollars
                          l'ere du petrole bon marché est fini!!

                          Commentaire


                          • #14
                            PÉTROLE/Les cours du brut repassent les 72 dollars, l'AIE renforce l'optimisme


                            encore une mauvaise nouvelle pour nos voisins
                            Londres (awp/afp) - Les cours du pétrole ont repassé les 72 dollars jeudi matin, un seuil plus franchi depuis octobre, portés par l'affaiblissement du dollar, la révélation par l'AIE que la consommation est prête à rebondir, et le retour de craintes sur l'offre à long terme.
                            Vers 10H00 GMT (12H00 HEC), le Brent de la mer du Nord pour livraison en juillet gagnait 43 cents par rapport à la clôture de la veille, à 71,23 dollars le baril.
                            A New York, le baril de "light sweet crude" pour la même échéance prenait 67 cents à 72 dollars.
                            En début d'échanges, les cours ont dépassé la barre des 72 dollars et touché des plus hauts depuis huit mois: 72,30 dollars à New York et 71,65 dollars à Londres.
                            Les obstacles qui entravaient encore dans les dernières semaines la course du brut vers les 75 dollars, l'objectif de prix désiré par l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), semblent tomber les uns après les autres.
                            Alors que de nombreux opérateurs s'alarmaient de l'inertie persistante de la demande pétrolière, qui a connu son déclin le plus marqué depuis 1981, l'Agence internationale de l'énergie a révisé en hausse son estimation de demande mondiale: dans son rapport mensuel, publié jeudi, elle prévoit une hausse de la demande mondiale de brut de 120.000 bj par rapport au mois de mai. Elle a ainsi ramené de 2,6 à 2,5 millions de barils par jour (mbj) le chiffre du déclin attendu pour cette année.
                            "Cette révision n'implique pas nécessairement un début de reprise économique mais pourrait simplement indiquer que le pire de la récession est passée", a précisé l'Agence, expliquant cette faible hausse par "une demande plus forte que prévu" au début de l'année dans les pays de l'OCDE.
                            Un autre motif d'inquiétude pesant sur les prix depuis des mois est en passe de disparaître: les réserves de brut américaines, qui avaient culminé à des niveaux record en 19 ans au mois de mai, ont entamé un mouvement de décrue. Elle ont perdu la semaine dernière 4,4 millions de barils, selon les chiffres annoncés par le Département américain de l'énergie.
                            Ces signes "fondamentaux" de rééquilibrage du marché, résultat des réductions de production (de 4,2 mbj en tout) décidées par l'Opep fin 2008, s'ajoutent aux facteurs "techniques" qui avaient amorcé dès avril le rebond des prix du brut: un affaiblissement marqué du dollar d'une part, vecteur d'achats de matières premières, et d'autre part une accumulation d'indicateurs macro-économiques laissant espérer que la reprise est au coin du bois.
                            Enfin, le spectre d'un épuisement irréversible des réserves d'ici quelques décennies a ressurgi à l'horizon. Dans son rapport annuel, le groupe britannique BP a montré mercredi que les réserves avaient diminué de 3 milliards de barils, pour tomber à 1.258 milliards de barils (hors sables bitumineux canadiens). Des baisses en Russie, Norvège et Chine notamment n'ont pas été entièrement compensées par des hausses au Vietnam, en Inde et en Egypte. Cet élément devrait donner du grain à moudre aux géologues et aux hommes politiques qui défendent la thèse du "pic pétrolier": l'idée que la production mondiale de pétrole a atteint un pic et va inexorablement baisser jusqu'à un assèchement complet des réserves, à un rythme bien plus rapide que ne le prévoient les producteurs.
                            Dernier indice d'un véritable changement d'atmosphère sur le marché pétrolier: les patrons des majors font à nouveau montre d'optimisme. Le patron du géant public Gazprom, Alexeï Miller, a prédit mercredi une remontée du baril de pétrole à 85 dollars à la fin de l'année. Quelques heures plus tôt, celui de BP, Tony Hayward, avait jugé que les prix devaient "raisonnablement" se situer entre 60 et 90 dollars -- bien loin des 32 touchés en décembre.

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