Les préparatifs pour le lancement d'un nouveau parti politique sur lequel va s'appuyer Saïd Bouteflika s'accélèrent. Les contacts pour structurer la future formation se poursuivent en Algérie où plusieurs personnalités ont été approchées. Mais aussi à l'étranger, notamment en France. Des personnalités influentes de la communauté algérienne en France ont été discrètement approchées pour structurer le futur parti dans l'Hexagone.
Selon nos informations, le nouveau parti devrait s'appeler « Génération libre ». C'est en tout cas l'un des noms qui ont été retenus. Une source proche des initiateurs du projet évoque la tenue du premier congrès constitutif dès l'automne prochain. Peu d'informations filtrent sur le projet.
Dès son lancement, le nouveau parti devrait être en première ligne pour la défense du projet d'une amnistie générale en faveur des islamistes armés. Ce projet, également défendu par le président Bouteflika, va permettre de structurer politiquement « Génération libre » et lui permettant de remporter symboliquement une première victoire politique : le référendum pour l'amnistie générale. Une victoire qui va le légitimer et lui ouvrir les portes vers d'autres succès : les législatives de 2012 et éventuellement les présidentielles de 2014.
Selon nos informations, le nouveau parti devrait s'appeler « Génération libre ». C'est en tout cas l'un des noms qui ont été retenus. Une source proche des initiateurs du projet évoque la tenue du premier congrès constitutif dès l'automne prochain. Peu d'informations filtrent sur le projet.
Dès son lancement, le nouveau parti devrait être en première ligne pour la défense du projet d'une amnistie générale en faveur des islamistes armés. Ce projet, également défendu par le président Bouteflika, va permettre de structurer politiquement « Génération libre » et lui permettant de remporter symboliquement une première victoire politique : le référendum pour l'amnistie générale. Une victoire qui va le légitimer et lui ouvrir les portes vers d'autres succès : les législatives de 2012 et éventuellement les présidentielles de 2014.
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