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A Draâ El Mizan, depuis des années, les sangliers arrivent jusqu’aux portes des maisons. Mais, cette fois-ci, leur nombre a tellement proliféré qu’ils s’attaquent à toutes les cultures.
Des champs de blé prêts à être moissonnés sont ravagés par ces bêtes. Devant cette ruine, les céréaliculteurs de la vallée ont décidé de lutter contre ce phénomène. Armés de gourdins et de fusils de chasse, ils passent à l’action dès la tombée de la nuit.
“Nous avons abattu plus d’une vingtaine depuis que nous avons commencé à mener ces battues.
On ne peut pas utiliser d’autres moyens tels les produits toxiques sinon nous porterons atteinte aux cultures et aux autres bêtes.
Ce n’est pas la grippe porcine qui nous a poussés à tuer ces animaux, mais c’est parce qu’ils sont nuisibles”, nous a confié un céréaliculteur de la cité dite du barrage, il faut dire que notre interlocuteur a raison car ces bêtes sont aussi un danger. Il faut rappeler qu’elles se sont même attaquées à des personnes de passage dans ces endroits. Nous avons appris que dernièrement un véhicule a dérapé dans un virage à cause d’un sanglier qui traversait la route.
Les céréaliculteurs s’organisent dans leurs champs de blé avant que la nuit ne tombe car c’est à ce moment-là que ces animaux arrivent aux champs. “Ils sont si dangereux qu’il faut savoir comment les attaquer. Quand la bête est blessée, elle devient enragée.
On ne peut pas l’abattre si on n’est pas nombreux ou si on n’est pas suffisamment armés”, a ajouté un autre chasseur.
Il faut reconnaître que ces céréaliculteurs prennent tout de même les précautions nécessaires car ils enterrent toutes les bêtes tuées de peur qu’elles ne soient mangées par d’autres bêtes saines ou même par des personnes. “Nous mènerons cette chasse jusqu’au dernier sanglier”, nous a précisé une autre personne. Ces céréaliculteurs ne se soucient guère de la disparition de cette espèce animale. C’est dire que les intérêts passent avant tout équilibre écologique.
Par la Dépêche de kabylie
Des champs de blé prêts à être moissonnés sont ravagés par ces bêtes. Devant cette ruine, les céréaliculteurs de la vallée ont décidé de lutter contre ce phénomène. Armés de gourdins et de fusils de chasse, ils passent à l’action dès la tombée de la nuit.
“Nous avons abattu plus d’une vingtaine depuis que nous avons commencé à mener ces battues.
On ne peut pas utiliser d’autres moyens tels les produits toxiques sinon nous porterons atteinte aux cultures et aux autres bêtes.
Ce n’est pas la grippe porcine qui nous a poussés à tuer ces animaux, mais c’est parce qu’ils sont nuisibles”, nous a confié un céréaliculteur de la cité dite du barrage, il faut dire que notre interlocuteur a raison car ces bêtes sont aussi un danger. Il faut rappeler qu’elles se sont même attaquées à des personnes de passage dans ces endroits. Nous avons appris que dernièrement un véhicule a dérapé dans un virage à cause d’un sanglier qui traversait la route.
Les céréaliculteurs s’organisent dans leurs champs de blé avant que la nuit ne tombe car c’est à ce moment-là que ces animaux arrivent aux champs. “Ils sont si dangereux qu’il faut savoir comment les attaquer. Quand la bête est blessée, elle devient enragée.
On ne peut pas l’abattre si on n’est pas nombreux ou si on n’est pas suffisamment armés”, a ajouté un autre chasseur.
Il faut reconnaître que ces céréaliculteurs prennent tout de même les précautions nécessaires car ils enterrent toutes les bêtes tuées de peur qu’elles ne soient mangées par d’autres bêtes saines ou même par des personnes. “Nous mènerons cette chasse jusqu’au dernier sanglier”, nous a précisé une autre personne. Ces céréaliculteurs ne se soucient guère de la disparition de cette espèce animale. C’est dire que les intérêts passent avant tout équilibre écologique.
Par la Dépêche de kabylie
. Je connais des Algeriens qui en mangent du marcassin qu'ils trouvent tres bon. 
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