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663 sidéens et 1 825 séropositifs en Algérie

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  • 663 sidéens et 1 825 séropositifs en Algérie

    L'Algérie a recensé 663 sidéens et 1 825 séropositifs ce qui représente moins de 1% de la population qui est touchée par le virus jusqu'en juin dernier , la situation est donc bonne. Il faut remonter au mois de décembre 1985 pour se souvenir que fut déclaré le premier cas de sida en Algérie.

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    Avec moins de 1% de la population touchée par le virus du sida, la situation «n’est pas alarmante» en Algérie, selon un médecin spécialiste, dans son intervention hier devant les participants à la Journée mondiale de lutte contre le sida, organisée par le service épidémiologique du CHU Nedir Mohamed.

    Réunis au bloc pédagogique de l’hôpital, les participants ont échangé leurs expériences sur l’évaluation de la maladie dans le monde, en Algérie, les programmes nationaux de lutte contre le VIH et la prise en charge initiale chez les séropositifs.

    «Bien que la situation ne soit pas alarmante en Algérie avec un taux de moins 1% de la population, l’émigration nationale et internationale est un facteur à prendre au sérieux et l’un des principaux déterminant de la maladie du sida», a affirmé un participant.

    La région de Kabylie a enregistré 51 cas de sida (26 à Tizi Ouzou et 25 à Béjaïa) et 78 cas de séropositifs (48 à Tizi Ouzou et 30 pour Béjaïa). L’Algérie a recensé 663 sidéens et 1 825 séropositifs jusqu’au mois de juin dernier. Pour rappel, le premier cas de sida établi sur le territoire national, remonte à décembre 1985 au CHU Mustapha d’Alger.

    Source:La tribune

  • #2
    Séropositivité, 56 cas à Béjaïa

    Bonjour MORJANE,

    56 cas sont seulement a bougie, On en parle que le jour "de la journée mondiale du Sida", et comment encore, avec beaucoup d’hésitation et de limitation, pas de mesures, pas de démarches de lutes tout reste aléatoire .
    C'est bon relativement, ces chiffres malgre qu'ils font qu'un % de la population, font peur et font appelle a une prise en charge sérieuse et laborieuse du sujet, ce sont des chiffes qui augmentent d’années en années et on sait que la réalité dépasse la théorie, car plusieurs cas reste dans l’anonymat, et ne sont pas recensées.

    n 56 cas de sida dont 23 séropositifs ont été recensés jusqu’à présent dans la wilaya de Béjaïa. Ce sont les dernières statistiques communiquées ces jours-ci par le Centre régional de transfusion sanguine (CRTS) de la wilaya. Ces chiffres sont en légère progression, comparés à ceux de l’année 2004, avec 50 malades, entre cas avérés et porteurs sains. La wilaya de Béjaïa compte ainsi parmi les wilayas les plus touchées par ce fléan planétaire. L’Algérie, considérée par l’ONUSIDA parmi les pays à faible prévalence de la maladie, a recensé des cas dans 38 wilayas. Le dépistage n’étant pas systématique, l’on estime, par conséquent, que le sida est sous-déclaré.
    Le mal évolue donc lentement mais les experts n’écartent pas les risques d’une flambée épidémique, si les mesures de prévention, seul rempart contre sa progression, ne sont pas prises à temps.
    Pour ce qui est du traitement du syndrome de l’immuno-déficience acquise, il est assuré au niveau de six centres domiciliés à Alger, Oran, Annaba, Constantine, Sétif et Tamanrasset. Le coût de la trithérapie, intégralement prise en charge par les pouvoirs publics, revient à près de 500 000 dinars par malade et par an, sans compter les dépenses liées aux infections opportunistes, si fréquentes chez le sidéen.
    Dépêche de Kabylie,

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    • #3
      les chiffres sont-ils fiables? je l'espère
      Toujours ouverts, toujours veillants les yeux de mon âme.

      Dionysios Solomos

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      • #4
        je pense que le retablissement des maisons closes reduira considerablement la propagation de cet mst
        qu en pensez vous?

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        • #5
          pourquoi? que ce soit fait dedans ou à l'extérieur ne changera rien..il faut se protéger dans tous les cas et penser à son partenaire actuel et à venir
          Toujours ouverts, toujours veillants les yeux de mon âme.

          Dionysios Solomos

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          • #6
            Les chiffres sont aussi valables qu'ils puissent l'être sachant qu'en Algérie comme un peu partout dans le monde il y a des personnes qui en sont atteint et qui l’ignorent et que c'est une maladie tabou. Les causes citées dans cet article sont la prostitution, l'immigration clandestine, la toxicomanie mais en cause il y a aussi le manque d'information, le manque de dépistage, le manque de soins en raison du coût des traitements Les soins contre cette maladie en Algérie coûtent près de 150 millions de centimes par personne et par mois

            ===

            Le mois de juillet passé, dans la wilaya d’Oran, un nouveau-né a été tué par le VIH/sida, après avoir été contaminé par sa mère porteuse dudit virus. Un autre cas vient s’ajouter aux 8 500 victimes parmi les enfants au monde.
            En Algérie, pas moins de 767 cas confirmés de sida et 1 868 séropositifs ont été recensés, depuis le premiers cas enregistré en 1985 à septembre 2005. D’ailleurs, 34 nouveaux cas et 145 séropositifs ont été constatés rien que durant l’année en cours. La wilaya d’Oran enregistre, à elle seule, 125 cas de cette maladie destructive, apprend-on lors d’une conférence de presse tenue, mercredi dernier, par la cellule de communication de la Gendarmerie nationale à l’occasion de la journée internationale de lutte contre le virus VIH/sida qui se propage avec une moyenne d’une contamination chaque seconde dans le monde, soit 16 000 cas par jour.

            L’année dernière, le nombre des personnes qui ont contracté une infection au VIH, en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, a été estimé à 92 000 personnes et 540 000 séropositifs, dont 250 000 femmes. Pendant cette même année, le sida a tué environ 28 000 personnes dans la région MENA. La psychologue de la cellule de proximité de lutte contre la délinquance juvénile, Mlle Zohra Boukhaoula, a cité, parmi les cause de la propagation de la maladie du sida, la délinquance, la consommation de drogues injectables, les relations sexuelles illégales, la prostitution et le tourisme sexuel.

            «Le rôle de la Gendarmerie nationale dans la lutte contre cette maladie est plutôt préventif. La lutte d’une manière directe touche aux auxiliaires tels que la drogue, la prostitution et l’immigration clandestine» a-t-elle expliqué. Pour sa part, le sous-lieutenant, Samira Belhadj, a fait état de 138 affaires de prostitution, permettant l’arrestation de 337 personnes dont 136 femme et 3 mineurs, qui ont été constatées pendant les neuf premiers mois de l’année en cours.

            L’oratrice a compté, également, 583 affaires d’atteinte aux mœurs par sexe durant la même période permettant, dans le cadre de la lutte, d’arrêter 785 personnes coupables dont 189 mineures. D’ailleurs, les 754 affaires d’atteintes sexuelles constatées durant la même période ont défini 995 auteurs dont la majorité est âgée entre 18 et 29 ans. Quant à l’immigration clandestine, les conférencières ont indiqué que 5 517 affaires on été enregistrées depuis 2000 dont près de 1 000 affaires et 4 750 étrangers arrêtés depuis janvier 2005, pour la plupart des Africains. Ces derniers sont, parfois, porteurs du virus, notamment du côté de Tamanrasset, où l’immigration clandestine et la prostitution des Africaines se font remarquer. Récemment, deux cas de sida ont été découverts chez un Togolais, à Djanet, et un Malien, à Adrar.

            «La lutte contre l’immigration clandestine ne peut avoir lieu que si une entente internationale se met sur ce sujet. Des aides économiques et sociales pour les pays d’Afrique sont nécessaires pour l’amélioration de la situation et limiter le taux d’immigration de ces Africains. Les centres de transit ne sont pas la solution, et c’est pour cela que l’Algérie a refusé leur installation sur ses frontières», a affirmé, pour sa part, le colonel Abderrahmane Ayoub, le responsable de la communication au sein de la Gendarmerie nationale.

            Notons, par ailleurs, pour ce qui est de la prise en charge des sidéens et des séropositif, qu’au niveau de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, 5% seulement des personnes atteintes du VIH/Sida ont accès au traitement. Selon l’Onusida, lors de sa dernière rencontre à Alger, ceci est dû beaucoup plus au problème financier, à l’absence d’une volonté politique dans certains pays et à la non-reconnaissance du statut syrologique.

            «Les soins contre cette maladie en Algérie coûtent près de 150 millions de centimes par personne et par mois», a tenu à préciser Mlle Boukhaoula. Le manque de prise en charge pourrait également être justifié par le fait que l’organisation du système de santé dans les pays en voie de développement ne satisfait pas la demande. Toujours, selon l’Onusida, le Soudan reste le pays le plus touché de la région et son épidémie reste surtout concentrée dans le Sud. Il représente, à lui seul, 80% de toutes les personnes vivant avec le VIH dans la région d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient.

            Source: La nouvelle république

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