Tu renifles en ecoutant ses paroles
ce meme soir où tu avais decidé de lui dire...
Tu recourbes la tete pour te donner l illusion
qu il ne voit pas tes yeux embués de larmes
et il continue a les dires ces mots si fort...
Tes cheveux recouvrent ton visage
ils te donnent un aspect de desesperee
mais ce n est pas ce qui se passe reellement
car dans ton esprit, tu es deja loin
"Elles sentent bon ces fleurs jaunes
que tu te plais a piétiner.
Ils ne virevoltent plus, ces papillons de gaiete...
ou est donc le soleil qui chauffe tes bras nus?
S est il caché quand ces hommes sont arrivés;
vetus de sombre, te fixant comme une proie,
marchant dans la neige noire, glacant ton coeur...
Leurs regard visqueux te penetrent jusque dans ta tristesse
esquissant des sourires narquois, caressant tes peurs...
Ou sont tes vetements? plus rien ne t appartient.
Alors cours, cours et ne te retournes pas
ils te fixent, la bave leurs coulent de la bouche
ils te veulent et il t auront..."
A moins que tu te decides, a relever enfin la tete !
ce meme soir où tu avais decidé de lui dire...
Tu recourbes la tete pour te donner l illusion
qu il ne voit pas tes yeux embués de larmes
et il continue a les dires ces mots si fort...
Tes cheveux recouvrent ton visage
ils te donnent un aspect de desesperee
mais ce n est pas ce qui se passe reellement
car dans ton esprit, tu es deja loin
"Elles sentent bon ces fleurs jaunes
que tu te plais a piétiner.
Ils ne virevoltent plus, ces papillons de gaiete...
ou est donc le soleil qui chauffe tes bras nus?
S est il caché quand ces hommes sont arrivés;
vetus de sombre, te fixant comme une proie,
marchant dans la neige noire, glacant ton coeur...
Leurs regard visqueux te penetrent jusque dans ta tristesse
esquissant des sourires narquois, caressant tes peurs...
Ou sont tes vetements? plus rien ne t appartient.
Alors cours, cours et ne te retournes pas
ils te fixent, la bave leurs coulent de la bouche
ils te veulent et il t auront..."
A moins que tu te decides, a relever enfin la tete !
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