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Bonjour
La pelouse artificielle du seul stade de football du Swaziland a été déchirée par des joueurs, qui ont planté des porte-bonheurs appelés «muti» sous le terrain.
Le gouvernement envisage d'interdire d'accès au stade national de Somholo les équipes soupçonnées d'avoir causé le plus de dommages.
La pelouse, qui a coûté 600 000 dollars (656 000 francs), a été dépecée pour que les «muti» puissent être semés sous le terrain, dans l'espoir d'aider les équipes à gagner leurs matches. Les principaux dégâts ont été constatés autour des buts et au centre du terrain.
«Cette pelouse a moins d'un an», a dit Sipho Magagula, secrétaire des Sports du pays. «Peut-être devrions-nous envisager d'exclure une grosse équipe parce que quand cette équipe joue, quelque chose d'étrange se passe dans le stade.» Selon les médias locaux, le ministre des Sports Hlosile Ndlovu a déposé une plainte officielle. La police a lancé une enquête.
Source: SDA/ATS
La pelouse artificielle du seul stade de football du Swaziland a été déchirée par des joueurs, qui ont planté des porte-bonheurs appelés «muti» sous le terrain.
Le gouvernement envisage d'interdire d'accès au stade national de Somholo les équipes soupçonnées d'avoir causé le plus de dommages.
La pelouse, qui a coûté 600 000 dollars (656 000 francs), a été dépecée pour que les «muti» puissent être semés sous le terrain, dans l'espoir d'aider les équipes à gagner leurs matches. Les principaux dégâts ont été constatés autour des buts et au centre du terrain.
«Cette pelouse a moins d'un an», a dit Sipho Magagula, secrétaire des Sports du pays. «Peut-être devrions-nous envisager d'exclure une grosse équipe parce que quand cette équipe joue, quelque chose d'étrange se passe dans le stade.» Selon les médias locaux, le ministre des Sports Hlosile Ndlovu a déposé une plainte officielle. La police a lancé une enquête.
Source: SDA/ATS