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    L'opération médiatique du "Panaf" passe par Paris


    Le 2eme Festival culturel panafricain Alger 2009, a été, avant-hier, l'objet d'une conférence de presse animée par M. Ahmed Bedjaoui, conseiller spécial de la ministre de la Culture.

    Devant la presse française et internationale, M. Bedjaoui a indiqué ,que ce nouveau "Panaf", qui aura lieu à Alger du 05 au 20 juillet 2009 ,est placé sous le signe du "renouveau de l'Afrique", rappelant l'évènement mondial qu'avait constitué la première édition de 1969, la qualité des spectacles, la pertinence et le "haut niveau" des débats et autres rencontres qui sont programmées dans ce cadre .

    L'intervenant qui était accompagné du chorégraphe algérien Kamel Ouali, le concepteur du spectacle d'ouverture, a rappelé que l'organisation de cette deuxième édition du "Panaf" a été décidée par l'Union africaine. Quarante ans après, le "Panaf" revient à Alger .Les données ont changé, tout comme la conjoncture .Si la première édition a été fortement marquée par les mouvements de libération, 40 ans après, on assiste au renouveau de l'Afrique dans tous les domaines", a-t-il indiqué, avant de présenter le programme multidisciplinaire du "Panaf".

    Le conférencier a longuement abordé les différents volets de ce "Panaf", dont de nombreux spectacles, qui seront proposés au public dans de nombreuses villes du pays, comme Oran, Mostaganem, Blida, Tizi-Ouzou, Tipasa, Annaba, Sidi Bel-Abbés, Sétif et bien d'autres encore.

    Colloques, conférences, théâtre, cinéma, défilés de mode, expositions, littérature, arts visuels, festival de jazz, festival du diwan, des concerts de musique avec de grandes vedettes comme Salif Keita, Mory Kanté, Kassav, Youssou N'dour, Warda El Djazaïria, Aït Menguelat, Khaled, Cesaria Evora et bien d'autres encore.

    Le Panafricain d'Alger2009, sera également marqué par d'autres évènements, comme le début du tournage, en juillet, à Sétif du nouveau film de Rachid Bouchareb, "Les Hors la loi", une suite au film "Indigènes", primé au festival de Cannes, et du film "Le premier homme" de l'Italien Gianni Amelio, un film adapté du roman éponyme d'Albert Camus, dont le tournage est prévu à Mostaganem et Oran. Selon M. Bedjaoui, un jury de professionnels attribuera des aides à la production de 4 longs métrages et de 4 autres courts métrages d'une valeur respective de 100.000 euros chacune pour la première catégorie et de 25.000 euros chacune pour la seconde catégorie. Ainsi que le lancement de deux co-productions cinématographiques algéro-sud-africaines à travers les projets de Lamine Merbah et Suleiman Ramadhan, traitant du mouvement de libération en Afrique.

    Selon l'intervenant et en matière d'éditions, le panafricain prévoit la réédition de plus de 200 titres de romans et autres ouvrages africains en arabe, en français, en anglais, en espagnol et en portugais.

    En insistant sur le caractère festif et populaire de cette édition, M. Bedjaoui a indiqué que le panaf sera l'occasion du « retour à la rue avec le défilé riche en couleurs, prévu le 4 juillet prochain ». « Ce sont également plus de 300 concerts et spectacles sur les plus grandes places publiques. »

    De son coté, Kamel Ouali, a indiqué que son spectacle d'ouverture, retrace l'Afrique, du berceau de l'humanité qu'elle était, jusqu'à son renouveau actuel. "Aujourd'hui, on parle de mondialisation, mais l'Afrique a la chance de garder intactes ses spécificités.

    Chaque pays, chaque région préserve jalousement ses caractéristiques", dira-t-il, en soulignant l'originalité de ce projet. "La danse est un langage universel. C'est une expérience importante et riche pour moi. Je sortirai grandi de ce spectacle", a-t-il précisé.

    Il convient de rappeler, que cette conférence de presse, intervient dans une opération médiatique initiée par le comité exécutif du Panaf et qui a vu jusqu'à maintenant , plusieurs sorties à savoir , Ouagadougou, Dakar et Abidjan en Afrique , Cannes ,Bruxelles et Paris en Europe et le Caire au monde arabe.

    Panaf
    Dernière modification par zwina, 09 juin 2009, 01h41.
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

  • #2
    Quelqu'un peut m'expliquer pourquoi la conférence de presse du Festival panafricain s'est déroulé à Paris et pas à Alger ? Ca me rappelle la fameuse année de l'Algérie en 2003.
    Dernière modification par zwina, 09 juin 2009, 01h43.
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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    • #3
      Quelqu'un peut m'expliquer pourquoi la conférence de presse du Festival panafricain s'est déroulé à Paris et pas à Alger ?
      le doyen de françafrique s est effacé ..!
      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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      • #4
        En haut lieu, au palais d'El-Mouradia, il n'est pas question que la seconde édition soit moins flamboyante que la première. Dilemme?: comment recréer le contexte de mobilisation autour de l'émancipation du continent près d'un demi-siècle après les indépendances?? Pour Khalida Toumi, ministre algérienne de la Culture, l'équation est simple?: « En 1969, Alger avait célébré la fin de la nuit coloniale. En 2009, elle célébrera la renaissance de la culture du continent. Algeria is back?! Africa is back, too?! »
        Pour réussir son rendez-vous continental, l'Algérie a débloqué un budget de plus de 55 millions d'euros, dont une quarantaine pour la réalisation du village des artistes à Zeralda - sans doute en souvenir de la participation de Manu Dibango de 1969 - d'une capacité d'hébergement de 2?500 personnes. Insuffisant, puisque sont attendus 8?000 participants originaires de 44 pays d'Afrique, des Caraïbes, d'Amérique latine et des États-Unis. La réalisation d'une nouvelle cité universitaire à Ouled Fayet, banlieue sud-ouest d'Alger, arrive à point nommé et devrait combler les déficits. Les grands palaces de la capitale seront également sollicités pour accueillir quelques chefs d'État. Quant au « roi des rois traditionnels d'Afrique » et président en exercice de l'Union africaine, Mouammar Kaddafi, on ignore encore où sera dressée sa tente de Bédouin et où broutera la chamelle dont il ne se sépare jamais.

        http://www.panafalger2009.com/articl...de_presse&id=2
        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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        • #5
          Pour les billets à - 50% ne cherchez plus, j'ai trouvé où est passé l'argent
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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          • #6
            Houari

            Heureusement que Sarkozy était occupé avec Obama car le pompom aurait été que ce soit lui qui préside cette conférence de presse; Quand je vous dis qu'à Paris on est mieux informé que ceux au pays
            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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            • #7
              monologue a la zwina lol
              PARLER EST UN BESOIN,ECOUTER EST UN ART.

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              • #8
                monologue a la zwina lol
                ça s'appelle un Zwinilogue
                .


                Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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                • #9
                  Zwina quand elle T'haji ou t'fouk.
                  Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

                  J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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