De sources bien informées, on apprend que les négociations entre le pouvoir en Algérie et deux groupes terroristes — et non un groupe comme nous l’annoncions dans l’une de nos précédentes éditions — activant dans la région de Kadiria et Lakhdaria, sous la houlette de la phalange El Farouk, appartenant au GSPC, buteraient sur l’indemnité de 500 millions exigée par ces terroristes contre leur reddition.
Selon nos sources, les contacts que les services de sécurité avaient permis et même encouragés entre les terroristes encore en activité et leurs parents avaient abouti à un accord de principe avec deux groupes terroristes, dont l’un avait installé son QG à Beni Maând, à Kadiria, et composé de 22 éléments et le deuxième stationné du côté de Oualbane, dans la région de Lakhdaria, et composé de 18 éléments.
Cependant, les conditions que ces deux groupes terroristes avaient posées contre le dépôt des armes n’ont pas été satisfaites par le pouvoir. Du moins celle consistant en le versement de 500 millions de centimes pour chacun des terroristes repentis. Selon nos sources, même le principe de l’annulation des poursuites judiciaires et, donc, d’une amnistie générale contre ces éléments, telle que souhaitée par ces deux groupes, aurait été refusé par le pouvoir qui pose le principe du cas par cas.
Ainsi, selon nos sources, les terroristes ayant participé aux carnages de citoyens ou à la destruction des biens économiques, ainsi que ceux qui sont impliqués dans les attentats à l’explosif, seraient exclus de ces mesures et devraient, même après leur reddition, passer par la justice où ils seront jugés. Cependant, ceux-ci bénéficieront des circonstances atténuantes et verront leurs peines allégées.
Or, sur ces deux points, les deux groupes sont toujours réticents. Mais en attendant, ils ont été déplacés vers un endroit tenu secret, et ce, afin d’échapper à la chasse aux sorcières lancée par l’«émir» de la phalange El Farouk, qui n’est autre que Doukmir, de son vrai nom El Makhfi Rabah. Ce dernier, se sachant condamné puisque étant un ancien déserteur de l’armée algérienne, il serait, même après sa reddition, poursuivi par un tribunal militaire, fait tout pour dissuader les autres éléments de sa phalange de se rendre.
D’après nos sources, c’est son groupe qui serait derrière les derniers attentats à la bombe qui ont coûté la vie à un garde communal au début du mois de mai, et récemment, la bombe qui a explosé à Kadiria, blessant un garde communal. L’«émir» Doukmir est en train d’opérer un véritable forcing au sein de ce qui reste de sa phalange afin de tuer dans l’œuf toute velléité de repentance ou de reddition. Aussi, ce fut à la lumière de toutes ces données que les services de sécurité avaient fait déplacer les deux groupes, qui ont observé une trêve, vers un endroit tenu secret.
Et en attendant la conclusion d’un accord final qui satisferait tout le monde, les services de sécurité poursuivent leur lutte antiterroriste au niveau de la région comprise entre Aomar et Lakhdaria, lieu où active la phalange El-Farouk qui reste toujours dangereuse malgré la trêve annoncée par une quarantaine de ses éléments. Ceci d’autant plus que la région est considérée comme un lieu de repli des terroristes acculés du côté de Sidi-Ali Bounab, dans la wilaya de Tizi-Ouzou.
Par le Soir
Selon nos sources, les contacts que les services de sécurité avaient permis et même encouragés entre les terroristes encore en activité et leurs parents avaient abouti à un accord de principe avec deux groupes terroristes, dont l’un avait installé son QG à Beni Maând, à Kadiria, et composé de 22 éléments et le deuxième stationné du côté de Oualbane, dans la région de Lakhdaria, et composé de 18 éléments.
Cependant, les conditions que ces deux groupes terroristes avaient posées contre le dépôt des armes n’ont pas été satisfaites par le pouvoir. Du moins celle consistant en le versement de 500 millions de centimes pour chacun des terroristes repentis. Selon nos sources, même le principe de l’annulation des poursuites judiciaires et, donc, d’une amnistie générale contre ces éléments, telle que souhaitée par ces deux groupes, aurait été refusé par le pouvoir qui pose le principe du cas par cas.
Ainsi, selon nos sources, les terroristes ayant participé aux carnages de citoyens ou à la destruction des biens économiques, ainsi que ceux qui sont impliqués dans les attentats à l’explosif, seraient exclus de ces mesures et devraient, même après leur reddition, passer par la justice où ils seront jugés. Cependant, ceux-ci bénéficieront des circonstances atténuantes et verront leurs peines allégées.
Or, sur ces deux points, les deux groupes sont toujours réticents. Mais en attendant, ils ont été déplacés vers un endroit tenu secret, et ce, afin d’échapper à la chasse aux sorcières lancée par l’«émir» de la phalange El Farouk, qui n’est autre que Doukmir, de son vrai nom El Makhfi Rabah. Ce dernier, se sachant condamné puisque étant un ancien déserteur de l’armée algérienne, il serait, même après sa reddition, poursuivi par un tribunal militaire, fait tout pour dissuader les autres éléments de sa phalange de se rendre.
D’après nos sources, c’est son groupe qui serait derrière les derniers attentats à la bombe qui ont coûté la vie à un garde communal au début du mois de mai, et récemment, la bombe qui a explosé à Kadiria, blessant un garde communal. L’«émir» Doukmir est en train d’opérer un véritable forcing au sein de ce qui reste de sa phalange afin de tuer dans l’œuf toute velléité de repentance ou de reddition. Aussi, ce fut à la lumière de toutes ces données que les services de sécurité avaient fait déplacer les deux groupes, qui ont observé une trêve, vers un endroit tenu secret.
Et en attendant la conclusion d’un accord final qui satisferait tout le monde, les services de sécurité poursuivent leur lutte antiterroriste au niveau de la région comprise entre Aomar et Lakhdaria, lieu où active la phalange El-Farouk qui reste toujours dangereuse malgré la trêve annoncée par une quarantaine de ses éléments. Ceci d’autant plus que la région est considérée comme un lieu de repli des terroristes acculés du côté de Sidi-Ali Bounab, dans la wilaya de Tizi-Ouzou.
Par le Soir
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