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Le management dans le tourisme, dans les hôpitaux et dans la grande distribution seront des formations qui feront leur entrée en Algérie pour préparer les futurs diplômés à s’intégrer plus facilement dans le monde du travail. L’Institut national du commerce qui va dispenser cet enseignement dès l’année prochaine en Algérie va aussi devoir changer de statut pour devenir une Ecole nationale.
C’est d’ailleurs ce qui lui permet de s’orienter davantage vers un enseignement répondant aux besoins des entreprises, contrairement aux universités qui ont d’autres préoccupations.
Pourtant, il y a lieu de noter qu’au sein même de L’Institut national de commerce (l’INC), il y a des voix qui s’élèvent pour souligner qu’il est encore trop tôt pour s’orienter vers le régime de grande école. L’un des motifs invoqués est celui du peu de considération accordé au corps des enseignants qui ne sont pas motivés pour relever ce nouveau défi.
En tout état de cause, l’adéquation entre l’enseignement et le monde du travail a été au centre des conférences organisées hier au Palais de la culture de Kouba à l’occasion du Salon des carrières organisé par l’Institut national du commerce.
Mohamed Ali Beladjine, conseiller en ressources humaines à Nedjma a explicitement formulé la demande pour que les entreprises soient associées à l’élaboration des programmes des instituts pour les rendre plus adéquats à l’offre d’emploi.
Abdenour Nouiri, qui représentait l’INC, a été d’accord pour emprunter ce type d’expériences. Il précise que cela pourrait être dans l’intérêt du futur diplômé qui peut être inséré plus vite dans le monde du travail et dans celui de l’entreprise qui trouvera facilement le profil recherché.
Dans ce cadre, il est constaté que les entreprises de télécommunication Orascom et Wataniya sont à la recherche de personnes spécialisées dans le marketing et le commercial ainsi que dans les spécialités techniques comme les ingénieurs en électrotechnique.
D’autres sociétés comme les centres d’appel n’ont pas ce souci du détail comme on l’a constaté chez Azur Business Support qui recrute surtout parmi les étudiants et les diplômés de tous horizons à condition de maîtriser le français et de le parler sans accent. Lors de ce Salon, il présente une offre d’emploi pour 100 personnes.
D’ailleurs, les centres d’appels se sont révélés comme étant les plus gros demandeurs en ressources humaines, selon Ali Belkhiri, directeur du centre des carrières de l’lNC. Il précise que l’année dernière, il y a eu 3400 recrutements suite à la deuxième édition du Salon et que la plupart ont été réalisés par les centres d’appels dont celui d’Algérie Télécom qui est aussi présent cette année à cette manifestation.
Saâdi Abdesselam, directeur général de l’Institut national de commerce, nous a indiqué que le but de cet événement est de rapprocher les diplômés de nombreux instituts avec les entreprises. Elles sont une trentaine à participer parmi lesquelles figurent Henkel, Shneider Electric, Sovac et Unilever ainsi que Pfizer.
Par l'Expression
C’est d’ailleurs ce qui lui permet de s’orienter davantage vers un enseignement répondant aux besoins des entreprises, contrairement aux universités qui ont d’autres préoccupations.
Pourtant, il y a lieu de noter qu’au sein même de L’Institut national de commerce (l’INC), il y a des voix qui s’élèvent pour souligner qu’il est encore trop tôt pour s’orienter vers le régime de grande école. L’un des motifs invoqués est celui du peu de considération accordé au corps des enseignants qui ne sont pas motivés pour relever ce nouveau défi.
En tout état de cause, l’adéquation entre l’enseignement et le monde du travail a été au centre des conférences organisées hier au Palais de la culture de Kouba à l’occasion du Salon des carrières organisé par l’Institut national du commerce.
Mohamed Ali Beladjine, conseiller en ressources humaines à Nedjma a explicitement formulé la demande pour que les entreprises soient associées à l’élaboration des programmes des instituts pour les rendre plus adéquats à l’offre d’emploi.
Abdenour Nouiri, qui représentait l’INC, a été d’accord pour emprunter ce type d’expériences. Il précise que cela pourrait être dans l’intérêt du futur diplômé qui peut être inséré plus vite dans le monde du travail et dans celui de l’entreprise qui trouvera facilement le profil recherché.
Dans ce cadre, il est constaté que les entreprises de télécommunication Orascom et Wataniya sont à la recherche de personnes spécialisées dans le marketing et le commercial ainsi que dans les spécialités techniques comme les ingénieurs en électrotechnique.
D’autres sociétés comme les centres d’appel n’ont pas ce souci du détail comme on l’a constaté chez Azur Business Support qui recrute surtout parmi les étudiants et les diplômés de tous horizons à condition de maîtriser le français et de le parler sans accent. Lors de ce Salon, il présente une offre d’emploi pour 100 personnes.
D’ailleurs, les centres d’appels se sont révélés comme étant les plus gros demandeurs en ressources humaines, selon Ali Belkhiri, directeur du centre des carrières de l’lNC. Il précise que l’année dernière, il y a eu 3400 recrutements suite à la deuxième édition du Salon et que la plupart ont été réalisés par les centres d’appels dont celui d’Algérie Télécom qui est aussi présent cette année à cette manifestation.
Saâdi Abdesselam, directeur général de l’Institut national de commerce, nous a indiqué que le but de cet événement est de rapprocher les diplômés de nombreux instituts avec les entreprises. Elles sont une trentaine à participer parmi lesquelles figurent Henkel, Shneider Electric, Sovac et Unilever ainsi que Pfizer.
Par l'Expression