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Tel est pris qui croyait prendre car le séducteur de Tizi Ouzou ne pourra plus faire le joli coeur et aura tout loisir de méditer à vouloir promettre le mariage pour mieux escroquer les naïves jeunes filles.
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L’histoire est invraisemblable mais bien réelle. Lui, il est jeune, charmant et très beau parleur. Elles, elles sont tout aussi jeunes et jolies mais beaucoup moins futées. Leur tort, est d’avoir cru au prince charmant sans même prendre la peine de connaître leur prétendu amoureux. Les noces et le bonheur promis se sont terminés par vol et escroquerie. Lorsqu’une jeune Tiziouzéenne porta plainte contre X pour vol sous menace, personne ne savait que le mis en cause collectionnait les femmes pour leur soustraire, en contre-partie d’une promesse de mariage, tout ce qu’elles possédaient en or et en argent.
Pour séduire sa première victime, le dénommé A. K. (34 ans), s’est fait passer pour un certain A. B. et a entrepris de l’aborder en lui promettant d’officialiser leur relation dans les plus brefs délais. Après l’avoir présenté à sa mère, au cours d’une conversation téléphonique, A. K. savait qu’il venait de mettre sa victime en totale confiance. De fait, il entreprend de l’inviter à une soit-disant fête d’un ami à lui. La “future” fiancée ne pouvait qu’accepter, mais c’était l’attitude à ne pas adopter : une fois dans la voiture du “futur mari”, celle-ci est emmenée du côté de Oued Aïssi où elle sera dépossédée, sous la menace, de ses bijoux, son argent et de son portable.
Quelques temps après ces faits, les éléments de la police judiciaire à la SWPJ de Tizi Ouzou, enregistrent une deuxième plainte émanant d’une jeune fille de 29 ans. Celle-ci raconte qu’elle a été victime d’un certains A. K., qui s’est fait passer pour un “notaire agrée auprès du consulat international (!!!)” et qui lui a promis de s’unir avec elle par le mariage. Cette fois, pour arriver à ses fins, le mis en cause n’a pas lésiné sur les “moyens” : il est arrivé jusqu’à convaincre sa propre mère, d’aller officialiser sa prétendue relation avec cette jeune fille, une démarche qui a été d’ailleurs accomplie en quelques jours seulement.
Mais voilà que, à la veille du jour des fiançailles, A.K. propose à sa “bien-aimée” de sortir en amoureux. Arrivés à Oued Aïssi, la jeune fille sera également dépossédée de son argent, son portable et de ses bijoux. A ce moment, les enquêteurs de la PJ sont convaincus qu’il s’agit bien de la même personne. lls entreprennent du coup d’approfondir leurs investigations jusqu’à récupérer une photo du mis en cause. L’enquête prendra un tournant décisif après l’enregistrement d’une troisième plainte, déposée par un femme de 37 ans.
Cette dernière (à qui A. K. a soustrait 28 millions de centimes sous prétexte qu’il devait impérativement s’acquitter des impôts de son cabinet), a immédiatement reconnu son “ex-fiancé”. Pour les policiers, ça ne fait plus aucun doute, le séducteur de Tizi a encore frappé. Commence alors une folle course contre la montre. Les enquêteurs redoublent d’efforts pour entreprendre des recherches encore plus minutieuses. Après plusieurs souricières, l’inculpé fini par tomber. Interrogé par la PJ, il reconnaîtra tous les faits qui lui sont reprochés.
Après sa comparution devant le procureur de la République, A. K. a été mis sous mandat de dépôt pour escroquerie, usurpation de fonction et d’identité et vol sous menaces. D’après les informations en notre possession, les trois filles de Tizi ne sont que les victimes “officielles”. Le mis en cause aurait entretenu des dizaines de relations similaires à Tizi et à Alger.
Source: la dépeche de Kabylie
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L’histoire est invraisemblable mais bien réelle. Lui, il est jeune, charmant et très beau parleur. Elles, elles sont tout aussi jeunes et jolies mais beaucoup moins futées. Leur tort, est d’avoir cru au prince charmant sans même prendre la peine de connaître leur prétendu amoureux. Les noces et le bonheur promis se sont terminés par vol et escroquerie. Lorsqu’une jeune Tiziouzéenne porta plainte contre X pour vol sous menace, personne ne savait que le mis en cause collectionnait les femmes pour leur soustraire, en contre-partie d’une promesse de mariage, tout ce qu’elles possédaient en or et en argent.
Pour séduire sa première victime, le dénommé A. K. (34 ans), s’est fait passer pour un certain A. B. et a entrepris de l’aborder en lui promettant d’officialiser leur relation dans les plus brefs délais. Après l’avoir présenté à sa mère, au cours d’une conversation téléphonique, A. K. savait qu’il venait de mettre sa victime en totale confiance. De fait, il entreprend de l’inviter à une soit-disant fête d’un ami à lui. La “future” fiancée ne pouvait qu’accepter, mais c’était l’attitude à ne pas adopter : une fois dans la voiture du “futur mari”, celle-ci est emmenée du côté de Oued Aïssi où elle sera dépossédée, sous la menace, de ses bijoux, son argent et de son portable.
Quelques temps après ces faits, les éléments de la police judiciaire à la SWPJ de Tizi Ouzou, enregistrent une deuxième plainte émanant d’une jeune fille de 29 ans. Celle-ci raconte qu’elle a été victime d’un certains A. K., qui s’est fait passer pour un “notaire agrée auprès du consulat international (!!!)” et qui lui a promis de s’unir avec elle par le mariage. Cette fois, pour arriver à ses fins, le mis en cause n’a pas lésiné sur les “moyens” : il est arrivé jusqu’à convaincre sa propre mère, d’aller officialiser sa prétendue relation avec cette jeune fille, une démarche qui a été d’ailleurs accomplie en quelques jours seulement.
Mais voilà que, à la veille du jour des fiançailles, A.K. propose à sa “bien-aimée” de sortir en amoureux. Arrivés à Oued Aïssi, la jeune fille sera également dépossédée de son argent, son portable et de ses bijoux. A ce moment, les enquêteurs de la PJ sont convaincus qu’il s’agit bien de la même personne. lls entreprennent du coup d’approfondir leurs investigations jusqu’à récupérer une photo du mis en cause. L’enquête prendra un tournant décisif après l’enregistrement d’une troisième plainte, déposée par un femme de 37 ans.
Cette dernière (à qui A. K. a soustrait 28 millions de centimes sous prétexte qu’il devait impérativement s’acquitter des impôts de son cabinet), a immédiatement reconnu son “ex-fiancé”. Pour les policiers, ça ne fait plus aucun doute, le séducteur de Tizi a encore frappé. Commence alors une folle course contre la montre. Les enquêteurs redoublent d’efforts pour entreprendre des recherches encore plus minutieuses. Après plusieurs souricières, l’inculpé fini par tomber. Interrogé par la PJ, il reconnaîtra tous les faits qui lui sont reprochés.
Après sa comparution devant le procureur de la République, A. K. a été mis sous mandat de dépôt pour escroquerie, usurpation de fonction et d’identité et vol sous menaces. D’après les informations en notre possession, les trois filles de Tizi ne sont que les victimes “officielles”. Le mis en cause aurait entretenu des dizaines de relations similaires à Tizi et à Alger.
Source: la dépeche de Kabylie
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