Sous l’ombre de mes pensées

[Mirages]

Sous l’ombre de mes pensées

Sous l’ombre de mes pensées
Je contemple de loin mon passé
Une douce nostalgie m’a caressée
Et m’a prise dans un long voyage

Des odeurs de parfums nectar
De mes souvenirs si rares
Mystérieusement, je peux les revoir
Et revivre de nouveau ces images !

Sous l’ombre de mes souvenirs
Qui, même dans mon avenir
Soigneusement, je vais les chérir
Car jamais je n’oublierai leurs visages

Des musiques douces et romantiques,
Des mélodies et des airs mélancoliques
lorsque je les réécoute, c’est mystique !
Résonnant en moi, mon cœur fait naufrage

C’est ma boite à souvenir sans fermoirs
Qui s’ouvre et se rabat par un simple hasard,
Un parfum, une musique ou même un regard
Que le temps passe comme un mirage !

Mirages 09/06/09

[extra]

Mirages!
Chapeau à toi!
Sous l'ombre de tes jolis mots pleins de musique,de sonorité,de sentiments,et de sens je ne peux qu'avouer que notre FA ne manque pas de vrais poètes;sous le charme de tes vers,ma lecture passe comme un mirage,je deviens chanteur en répétant tes paroles extraordinaires!
Tu es vraiment la réponse à mes attentes en tant que lecteur par ton adorable"Sous l'ombre de mes pensées".
Merci!

[absente]

Magnifique comme toujours chère Mirages, j'adore te lire c'est un plaisir à chaque fois....merci!

[Zacmako]

A chacun ses propres souvenirs, ses propres moments de nostalgie qui ont la faculté de nous rendre plus fort peut être, qui nous aident à continuer d’avancer.
L'écriture permet justement d'évacuer .
Merci pour le partage, Mirages.

[el anka]

magnifique mirages ,merci d'avoir partagé avec nous

[Mirages]

Merci à vous tous!

extra,

Merci encore une fois, ravi que t’as aimé ta lecture,

Oui, sur la rue tas de belles choses, de si belles plumes ! Que j'aime errer et fouiller sur cette rue qui offre les plus belles des rimes,

Si tu fouilles encore, tu vas adorer ce que les petites perles sèment de beauté ...

belles lectures sur notre rue.


chère Katherine, moi aussi j'adore ton passage


Zacmako

oui à chacun ses souvenirs,

Souvent quand j'hume un parfum, ou quand j'écoute une musique que j'ai déjà écoutée, magiquement rien qu'avec ça, je me sens transportée dans le temps! Et mon cœur ressent les mêmes vibrations!!!

N’est-il pas magique que le souvenir d'une odeur ou d'une mélodie garde intensément un souvenir!!!


je te remercier d'être Fidel à mes textes, et je suis toujours honorée de ton passage.

Merci ZAC.


el anka

Et quoi dire devant tes sublimes créations!!!!!

ça me fais plaisir que tu reprend mes textes en si jolis tableaux......

Merci encore une fois.

[feuzed]

quel sublime écrit !!! un parfum de souvenir....
Mirage comme d'habitude, tu nous donne le plaisir de te lire, et de revoir tes mots, circuler sur la rue.
merci

[Mirages]

feuzed

Merci de ton passage, c'est avec un grand plaisir que je partage avec

vous!

[loune.s]

re

une nostalgie qui semble comme enracinée

faites-la nous partager!
on est là pour t'ecouter
à force d'attente
nous mazngeons ton silence dans le rire

[postra]

Que le temps passe comme un mirage !
Même le mirage à un temps, c’est peut être ça l’espoir d’un bonheur… les rimes nous font penser à d’autres rimes de notre existence, c’est cela même la preuve de notre existence…
magnifiques rimes Mirage
bonne continuation dans tes mots…

[renaissance]

tu me fait voyager ds le temps ma chere mirages,trés beau comme ton images ,merci

[agour amechtouh]

Que le temps passe comme un mirage

Que ce poème et beau Merci à toi mirage sais toujours un plaisirs de te lire

[Mirages]

loune.s, postra, renaissance, agour amechtouh

Merci à vous tous d'être passer me lire!

ça me fait tellement plaisir!

[morjane]

Bonjour,

C'est très doux, un brin nostalgique mais parfumés de souvenirs qui embaument le coeur .

Mirages, merci pour ton poème

[loune.s]

Aujourd'hui, une langue a parlé


Le monde est si petit, truffé de barricades,
Que le réactionnaire, impertinent, y trouve ses mesures;
Technologie aidant, il se rêve en posture,
D'ériger ses lubies en grises palissades.

Mais, Alléluia! Aujourd'hui, une langue a parlé;
A mille lieues d'ici, ou là-bas, et qu'importe,
Elle a dit le Azul, le merci, l'enchanté,
Elle est venue à tire d’aile, à ma porte.

Le parrain est en folie, assassin, schizophrène,
Il a tout détruit, sans être rassasié,
La fin, après Matoub, signe son impiété;
Mais Alléluia! Aujourd'hui, amazigh est bien ma reine.

Des yeux qui couvent la foule,
A la recherche du printemps,
Des yeux qui transpercent le temps,
Et une voix qui dit: Azul!

Le peuple n’est plus à l'agonie,
La cigale vit sa triste errance,
Mais l’amazighité est du paradis
Le sceau d'un cœur en espérance.