Bonsoir, il me semble que les investisseurs etrangers dans leurs choix, considerent la securite publique et l'etat sanitaire d'un pays comme essentiel pour leurs installations, Bouteflika doit en prendre compte, je lui proposerais des travaux d'interets publiques pour les delinquants, a la rigueur casser des pierres toute la journee et c'est pas ca qui manque dans le desert, effet radical, et pour les delinquants financiers la confiscation de leurs biens.
À mesure que le terrorisme islamiste régresse, la délinquance juvénile et la criminalité progressent. Bouteflika appelle à la mobilisation.
Alger, 20 novembre. Le président Abdelaziz Bouteflika s'apprête à ouvrir solennellement l'année judiciaire. D'un ton grave, il lit le texte qu'il a préparé sans se laisser aller à ces improvisations dont il s'est fait une spécialité et dénonce avec insistance l'ampleur prise par le phénomène du banditisme en Algérie. Hasard du calendrier, quelques jours auparavant, la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) avait annoncé le démantèlement d'un gang spécialisé dans le vol qualifié, dans les environs de la capitale. Composée d'une vingtaine de malfrats, la bande était dirigée par un adolescent de 13 ans !
En Algérie, délinquance juvénile et criminalité, petite ou grande, connaissent une croissance inversement proportionnelle au nombre des opérations terroristes. De Tébessa, à l'extrême est du pays, à Maghnia, aux frontières du Maroc, des rives de la Méditerranée aux confins du Hoggar, aucune agglomération, importante ou non, riche ou démunie de tout, n'est épargnée. À Oran, Annaba, Blida ou Tiaret, aucun automobiliste ne se risque plus à garer sa voiture, la nuit, hors d'un parking : ce serait l'assurance de ne pas la retrouver le lendemain. Même en plein jour, le risque d'agression est quasi permanent. Alger n'est pas encore Johannesburg ou Lagos, mais elle n'en est plus très loin.
Publiée par la presse indépendante, une récente étude d'un institut de recherche londonien spécialisé dans les questions de sécurité cite la capitale algérienne parmi les villes les moins sûres de la planète. Principales causes de cette dégradation : la généralisation du port des armes blanches et l'apparition d'organisations mafieuses spécialisées dans certains trafics - à quoi s'ajoute, bien sûr, la persistance (surtout en milieu rural) d'un terrorisme islamiste « résiduel ».
La suite...
http://www.jeuneafrique.com/gabarits...15leprienuejl0
À mesure que le terrorisme islamiste régresse, la délinquance juvénile et la criminalité progressent. Bouteflika appelle à la mobilisation.
Alger, 20 novembre. Le président Abdelaziz Bouteflika s'apprête à ouvrir solennellement l'année judiciaire. D'un ton grave, il lit le texte qu'il a préparé sans se laisser aller à ces improvisations dont il s'est fait une spécialité et dénonce avec insistance l'ampleur prise par le phénomène du banditisme en Algérie. Hasard du calendrier, quelques jours auparavant, la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) avait annoncé le démantèlement d'un gang spécialisé dans le vol qualifié, dans les environs de la capitale. Composée d'une vingtaine de malfrats, la bande était dirigée par un adolescent de 13 ans !
En Algérie, délinquance juvénile et criminalité, petite ou grande, connaissent une croissance inversement proportionnelle au nombre des opérations terroristes. De Tébessa, à l'extrême est du pays, à Maghnia, aux frontières du Maroc, des rives de la Méditerranée aux confins du Hoggar, aucune agglomération, importante ou non, riche ou démunie de tout, n'est épargnée. À Oran, Annaba, Blida ou Tiaret, aucun automobiliste ne se risque plus à garer sa voiture, la nuit, hors d'un parking : ce serait l'assurance de ne pas la retrouver le lendemain. Même en plein jour, le risque d'agression est quasi permanent. Alger n'est pas encore Johannesburg ou Lagos, mais elle n'en est plus très loin.
Publiée par la presse indépendante, une récente étude d'un institut de recherche londonien spécialisé dans les questions de sécurité cite la capitale algérienne parmi les villes les moins sûres de la planète. Principales causes de cette dégradation : la généralisation du port des armes blanches et l'apparition d'organisations mafieuses spécialisées dans certains trafics - à quoi s'ajoute, bien sûr, la persistance (surtout en milieu rural) d'un terrorisme islamiste « résiduel ».
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