Tweet
Ghardaïa: Béni-Izguen, le fief de Kassamen
Béni-Izguen, la ville sainte, le fief du l'hymne national «Kassamen» et oasis du bonheur, offre aux regards des visiteurs une lumière éblouissante. Son minaret du vieux Ksar et le nouveau Ksar Tafilalt se sont alliés à la palmeraie pour donner un charme envoûtant à la petite ville.
Faisant partie des sept villes millénaires de la vallée du M'zab, la renommée de Béni-Izguen n'est plus à faire, le charme de la ville attira à partir des années 60 massivement les touristes nationaux et étrangers. Le tourisme dans cette ville demeura à son très haut niveau jusqu'en 1990, avant de sombrer dans une léthargie profonde durant la décennie noire qu'a connue notre pays. Fort heureusement, depuis la concorde nationale du «Président Bouteflika», des esprits avides de curiosité reviennent en individuel et en groupe retrouver et revisiter les douceurs de Béni-Izguen...
Sur un Mont perchée, Béni-Izguen et sa gracieuse palmeraie ne sont pas encore vraiment dans le sahara. Mais, elle donne déjà un avant-goût qui vous incite à aller plus loin dans les profondeurs du grand désert. Béni-Izguen est très connue par ses sites attrayants, sa prodigieuse place du marché, lieu quotidien de la vente à la criée, ses chorales de chants religieux et ses troupes folkloriques. Un folklore aux costumes originaux où les danses accompagnent le rythme de l'instrument à vent, «La Zorna».
Très connue depuis de longues années, elle a été le canton de nombreux agriculteurs célèbres, amoureux de la terre, dans un cadre exceptionnel de verdure né de l'Oued l'Intissa qui a la particularité d'être permanent.
Fasciné par la beauté de ses sites et de sa belle palmeraie, les frères «Boukamel» s'y installèrent discrètement en se convertissant en promoteurs du tourisme. A eux seuls, ils ont organisé plus d'une centaine de circuits touristiques aux profits des touristes européens en particulier.
Béni-Izguen devint donc un point de mire, les médias internationaux mêmes s'y intéressent. Les visiteurs, plein d'entrain, font des excusions de Béni-Izguen en solitaires pour vanter les charmes exquis de l'oasis et lever les craintes du trajet tant redouté. Le fleuron de l'agriculture oasienne, la fierté des «Béni-Izguenois», c'est naturellement la palmeraie et les champs agricoles de l'Intissa qui s'imposent comme pour la protéger. Les conditions climatiques sont très favorables à Béni-Izguen, d'où un lieu idéal pour le tourisme tout le long de l'année et, plus particulièrement, en période estivale. Celui qui séjournera quelques jours à Béni-Izguen, et se délectera de son charme naturel, aura du mal à la quitter.
Le Quotidien d'Oran
Faisant partie des sept villes millénaires de la vallée du M'zab, la renommée de Béni-Izguen n'est plus à faire, le charme de la ville attira à partir des années 60 massivement les touristes nationaux et étrangers. Le tourisme dans cette ville demeura à son très haut niveau jusqu'en 1990, avant de sombrer dans une léthargie profonde durant la décennie noire qu'a connue notre pays. Fort heureusement, depuis la concorde nationale du «Président Bouteflika», des esprits avides de curiosité reviennent en individuel et en groupe retrouver et revisiter les douceurs de Béni-Izguen...
Sur un Mont perchée, Béni-Izguen et sa gracieuse palmeraie ne sont pas encore vraiment dans le sahara. Mais, elle donne déjà un avant-goût qui vous incite à aller plus loin dans les profondeurs du grand désert. Béni-Izguen est très connue par ses sites attrayants, sa prodigieuse place du marché, lieu quotidien de la vente à la criée, ses chorales de chants religieux et ses troupes folkloriques. Un folklore aux costumes originaux où les danses accompagnent le rythme de l'instrument à vent, «La Zorna».
Très connue depuis de longues années, elle a été le canton de nombreux agriculteurs célèbres, amoureux de la terre, dans un cadre exceptionnel de verdure né de l'Oued l'Intissa qui a la particularité d'être permanent.
Fasciné par la beauté de ses sites et de sa belle palmeraie, les frères «Boukamel» s'y installèrent discrètement en se convertissant en promoteurs du tourisme. A eux seuls, ils ont organisé plus d'une centaine de circuits touristiques aux profits des touristes européens en particulier.
Béni-Izguen devint donc un point de mire, les médias internationaux mêmes s'y intéressent. Les visiteurs, plein d'entrain, font des excusions de Béni-Izguen en solitaires pour vanter les charmes exquis de l'oasis et lever les craintes du trajet tant redouté. Le fleuron de l'agriculture oasienne, la fierté des «Béni-Izguenois», c'est naturellement la palmeraie et les champs agricoles de l'Intissa qui s'imposent comme pour la protéger. Les conditions climatiques sont très favorables à Béni-Izguen, d'où un lieu idéal pour le tourisme tout le long de l'année et, plus particulièrement, en période estivale. Celui qui séjournera quelques jours à Béni-Izguen, et se délectera de son charme naturel, aura du mal à la quitter.
Le Quotidien d'Oran