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Les anciens chefs de l’AIS menacent de reprendre la lutte armée

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  • Les anciens chefs de l’AIS menacent de reprendre la lutte armée

    Depuis quelques semaines, les relations entre les anciens chefs de l'Armée islamique du salut (AIS), ex-bras armé du FIS-dissous, et les autorités connaissent de nouvelles tensions. Les responsables terroristes repentis reprochent au pouvoir de ne pas avoir tenu toutes ses promesses faites dans le cadre de la concorde civile puis de la réconciliation nationale. Désormais, ils menacent clairement de reprendre les armes si de nouvelles mesures ne sont pas annoncées prochainement.

    La situation est d'autant plus inquiétante que ces anciens chefs islamistes armés ne veulent pas se contenter de mesures matérielles ou judiciaires qui pourraient être contenues dans un nouveau projet d'amnistie générale. D'ailleurs, de nombreux terroristes ont déjà bénéficié de beaucoup de privilèges dans le cadre des accords conclus avec les autorités. Certains ont même obtenu des casiers judiciaires vierges, effaçant ainsi les traces de leur passage dans les maquis terroristes durant les années 1990 où ils ont assassiné et violé des milliers d'Algériens.

    Aujourd'hui, les responsables de l'AIS reprochent aux autorités de ne pas avoir tenu leur « principale promesse » formulée au moment de la signature des accords sur la concorde civile. Cette promesse concerne, selon les chefs de l'AIS, la création d'un nouveau parti politique islamiste. Ce dernier devait se réapproprier le projet de l'ancien FIS-dissous et défendre le projet présidentiel de la concorde civile.

    Mais sa création se heurte à de fortes oppositions au sommet de l'Etat. En août 2007, l'ancien émir national de l'AIS Madani Mezrag avait officiellement annoncé son intention de créer ce parti. Mais devant la levée de boucliers suscitée par cette annonce, il a fini par abandonner son projet momentanément.

    A présent, les anciens chefs de l'AIS estiment que le président Bouteflika, confortablement réélu en avril dernier, a toutes les cartes en main pour les autoriser à créer leur parti. Cette exigence constitue un nouveau casse-tête pour le chef de l'Etat et une menace pour sa politique de réconciliation nationale.

    TSA
    Coucher du soleil à Agadir

  • #2
    Chiche

    Qu'ils le fassent alors !
    Jeûner c'est bien. Manger c'est mieux.

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    • #3
      a force d'accorder des privileges a des vermines on va directement cers une impasse

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      • #4
        La bataille ou le jeux "politique fighters" démarre entre Bouteflika et le general Toufik. Le pauvre peuple Algerien va encore payer de son sang
        L'ennemi n'est pas forcément celui contre qui l'on se bat Mais celui qui profite des dégâts

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        • #5
          je pense que ce n'est qu'un preambule de la strategie de boutef pour leur rehabilitation politque meme si beaucoup n'y croient pas ca peut etre tres simple aussi
          et en meme temps les articles que viuentd e pondre lematin peuvent aussi preter a ca !!!! surtout que les soit-disant rumeur sur la creation d'un parti politique poru son frere said sont de tout evidence tout sauf des rumeurs et cela pour lui donner une legitimite et une base politiqe et avec la rehabilitaion du fis le dossier de la succession sera enterré et clos pour de bon permettant a said d 'avoir le chemin balisé devant lui
          PARLER EST UN BESOIN,ECOUTER EST UN ART.

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          • #6
            A s'arracher les cheveux!

            Les responsables terroristes repentis reprochent au pouvoir de ne pas avoir tenu toutes ses promesses faites dans le cadre de la concorde civile puis de la réconciliation nationale. Désormais, ils menacent clairement de reprendre les armes si de nouvelles mesures ne sont pas annoncées prochainement.
            C'est maintenant qu'il faut agir! avant la propagation de la gangrène, il faut amputer...éliminer. C'est dans des moments comme cela qu'il nous faudrait un dictateur, un kim jong, un Kaddafi, ou même un Hitler le temps de faire le boulot et débarrasser l'Algérie de ce danger potentiel entretenu clairement par le pouvoir...
            Tant que les loups auront besoins de justifier et légitimer leur existence, ils continueront a entretenir le terrorisme, a l'alimenter, a le calmer...et pendant ce temps la, c'est le peuple qui écopera.
            kikoz un jour, koz toujours.

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            • #7
              Il me semble que l'AIS avait négocié sa réédition avec des conditions particulières en 1997 (accord de cessez-le-feu). Même si l'organisation n'a été officiellement dissoute qu'en 2000, il me semble qu'ils ne sont pas concernés par les dispositions contenues dans la Concorde Civile.
              C'est d'ailleurs par rapport à cela qu'ils ont toujours rejeté le qualificatif de repentis et son corolaire la repentance...A vérifier.
              Dernière modification par Dandy, 15 juin 2009, 14h06.

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              • #8
                TSA... Aucune source que des ragots

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                • #9
                  poete95

                  faut tous les mettre en cage ces gens là et leur jeter des cacahuétes

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