Tous les jours que Dieu fait, ils partent… Par dizaines ; bientôt par centaines, ils quittent le bateau algérien en dérive… pour mourir souvent en Méditerranée.
Ce ne sont pas les enfants de la Nomenklatura.
C’est pour cela que cette dernière n’a trouvé que les poursuites judiciaires pour les stopper.
Mais nos enfants n’ont pas peur : depuis la mise en place des nouvelles dispositions, on assiste à une recrudescence notable du phénomène.
Il faut saluer en eux une nouvelle espèce de rebelles, les plus lucides d’entre nous. Ils semblent nous dire : «Nous ne voulons pas réformer le système de l’intérieur, ni de l’extérieur. Nous ne voulons pas des luttes politiques, ni des armes, pour changer les choses. Nous ne voulons rien. Juste partir !»
Quel mépris pour le système le plus méprisant ! Et quelle arrogance pour un personnel politique parmi les plus arrogants ! La génération de 2009 a-t-elle enfin trouvé la faille ?
Par Farah Maamar, Le Soir
Ce ne sont pas les enfants de la Nomenklatura.
C’est pour cela que cette dernière n’a trouvé que les poursuites judiciaires pour les stopper.
Mais nos enfants n’ont pas peur : depuis la mise en place des nouvelles dispositions, on assiste à une recrudescence notable du phénomène.
Il faut saluer en eux une nouvelle espèce de rebelles, les plus lucides d’entre nous. Ils semblent nous dire : «Nous ne voulons pas réformer le système de l’intérieur, ni de l’extérieur. Nous ne voulons pas des luttes politiques, ni des armes, pour changer les choses. Nous ne voulons rien. Juste partir !»
Quel mépris pour le système le plus méprisant ! Et quelle arrogance pour un personnel politique parmi les plus arrogants ! La génération de 2009 a-t-elle enfin trouvé la faille ?
Par Farah Maamar, Le Soir
Commentaire