Il a décroché 32 sièges
· PAM et PI, 2e et 3e
A l’instar de son classement au niveau national, le PAM (Parti authenticité et modernité) est aussi premier dans le Grand Casablanca. Sur les 799 sièges que compte la région de Casablanca (Casablanca, Mohammédia, Médiouna et Nouaceur), le parti du tracteur a remporté 185 sièges. C’est le RNI (Rassemblement national des indépendants) qui se trouve au deuxième rang (127 sièges).
Le Parti de l’Istiqlal (PI) occupe la troisième place avec 125 sièges. Le PJD est classé quatrième (98 sièges) et l’UC le talonne avec 96 sièges. Dans le bas de l’échelle se trouvent le MP et l’USFP avec respectivement 60 et 45 sièges dans les différentes communes rurales et urbaines qui composent la région du Grand Casablanca. Les sièges restants, à savoir 63 sièges, sont répartis sur 17 autres partis politiques.
La région du Grand Casablanca compte aussi des communes rurales (El Majjatia Oulad Taleb, Sidi Hajaj et Ouled Hassar). La commune rurale de Lahraouiyine, qui faisait partie de Médiouna, a été annexée à Casablanca (à l’arrondissement d’Aïn Chock, plus précisément) dans le dernier découpage communal. La province de Mohammédia regroupe, quant à elle, quatre communes rurales, à savoir Ben Yakhlef, Sidi Moussa Ben Ali, Sidi Moussa Almajdoub et Chellalate. Nouaceur n’est composé que de trois communes rurales: Oulad Saleh, Bouskoura et Dar Bouazza. Au Conseil de la ville qui compte désormais 147 sièges au lieu de 131, c’est le PJD qui a enregistré le plus grand score avec 32 sièges. Chiffre qui représente le double de ce qu’il avait obtenu en 2003. Mais pendant cette consultation électorale, le PJD n’a couvert que la moitié des arrondissements de la métropole (8 arrondissements). En 2009, le PJD a présenté ses candidats dans les 16 arrondissements de la ville. Et du coup, il a eu le double de son score de 2003. A noter aussi que pendant le mandat 2003-2009, c’est l’USFP qui a eu le plus grand nombre de sièges au Conseil de la ville avec 19 sièges, suivi par le PI avec 18 sièges et le PJD avec 16 sièges. Le nouveau venu sur la scène politique marocaine, le Parti authenticité et modernité, se classe deuxième dans le Conseil de la ville avec 21 sièges. Toujours dans le Conseil de la ville, c’est le PI qui vient en troisième position avec 20 sièges. Il faut aussi souligner que les deux ministres candidats aux élections communales à Casablanca ont remporté leur siège, respectivement dans l’arrondissement de Sbata pour Karim Ghellab (ministre de l’Equipement et du Transport) et dans l’arrondissement d’Anfa pour Yasmina Baddou (ministre de la Santé). De même que le maire sortant, Mohamed Sajid, qui a été réélu à Aïn Chock. Bassima Haqqaoui, tête de liste du PJD et concurrente de Baddou à Anfa, a été élue à l’arrondissement, mais pas au Conseil de la ville. Les listes additionnelles (dédiées aux femmes) du PJD, qui n’ont pu décrocher aucun siège dans le Conseil de la ville, concernent, selon Mustapha Lhaya, membre du parti de la lampe, 10 arrondissements. Il s’agit d’Aïn Chock, El Bernoussi, Anfa, Aïn Sbaâ, Roches Noires, Hay Mohammadi, Sbata, Ben M’Sick, Mers Sultan et Sidi Belyout.
Ali JAFRY
· PAM et PI, 2e et 3e
A l’instar de son classement au niveau national, le PAM (Parti authenticité et modernité) est aussi premier dans le Grand Casablanca. Sur les 799 sièges que compte la région de Casablanca (Casablanca, Mohammédia, Médiouna et Nouaceur), le parti du tracteur a remporté 185 sièges. C’est le RNI (Rassemblement national des indépendants) qui se trouve au deuxième rang (127 sièges).
Le Parti de l’Istiqlal (PI) occupe la troisième place avec 125 sièges. Le PJD est classé quatrième (98 sièges) et l’UC le talonne avec 96 sièges. Dans le bas de l’échelle se trouvent le MP et l’USFP avec respectivement 60 et 45 sièges dans les différentes communes rurales et urbaines qui composent la région du Grand Casablanca. Les sièges restants, à savoir 63 sièges, sont répartis sur 17 autres partis politiques.
La région du Grand Casablanca compte aussi des communes rurales (El Majjatia Oulad Taleb, Sidi Hajaj et Ouled Hassar). La commune rurale de Lahraouiyine, qui faisait partie de Médiouna, a été annexée à Casablanca (à l’arrondissement d’Aïn Chock, plus précisément) dans le dernier découpage communal. La province de Mohammédia regroupe, quant à elle, quatre communes rurales, à savoir Ben Yakhlef, Sidi Moussa Ben Ali, Sidi Moussa Almajdoub et Chellalate. Nouaceur n’est composé que de trois communes rurales: Oulad Saleh, Bouskoura et Dar Bouazza. Au Conseil de la ville qui compte désormais 147 sièges au lieu de 131, c’est le PJD qui a enregistré le plus grand score avec 32 sièges. Chiffre qui représente le double de ce qu’il avait obtenu en 2003. Mais pendant cette consultation électorale, le PJD n’a couvert que la moitié des arrondissements de la métropole (8 arrondissements). En 2009, le PJD a présenté ses candidats dans les 16 arrondissements de la ville. Et du coup, il a eu le double de son score de 2003. A noter aussi que pendant le mandat 2003-2009, c’est l’USFP qui a eu le plus grand nombre de sièges au Conseil de la ville avec 19 sièges, suivi par le PI avec 18 sièges et le PJD avec 16 sièges. Le nouveau venu sur la scène politique marocaine, le Parti authenticité et modernité, se classe deuxième dans le Conseil de la ville avec 21 sièges. Toujours dans le Conseil de la ville, c’est le PI qui vient en troisième position avec 20 sièges. Il faut aussi souligner que les deux ministres candidats aux élections communales à Casablanca ont remporté leur siège, respectivement dans l’arrondissement de Sbata pour Karim Ghellab (ministre de l’Equipement et du Transport) et dans l’arrondissement d’Anfa pour Yasmina Baddou (ministre de la Santé). De même que le maire sortant, Mohamed Sajid, qui a été réélu à Aïn Chock. Bassima Haqqaoui, tête de liste du PJD et concurrente de Baddou à Anfa, a été élue à l’arrondissement, mais pas au Conseil de la ville. Les listes additionnelles (dédiées aux femmes) du PJD, qui n’ont pu décrocher aucun siège dans le Conseil de la ville, concernent, selon Mustapha Lhaya, membre du parti de la lampe, 10 arrondissements. Il s’agit d’Aïn Chock, El Bernoussi, Anfa, Aïn Sbaâ, Roches Noires, Hay Mohammadi, Sbata, Ben M’Sick, Mers Sultan et Sidi Belyout.
Ali JAFRY
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