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Arabie Saoudite : un marché épargné par la crise

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  • Arabie Saoudite : un marché épargné par la crise

    À l’initiative d’UBIFRANCE, une rencontre sur le thème « Arabie Saoudite : un marché épargné par la crise au Moyen-Orient », a réuni à Paris le 12 mai dernier plusieurs responsables politiques et économiques, des chefs d’entreprises et des investisseurs dans les différents secteurs de l’économie.

    Cette rencontre a permis de débattre de sujets importants tels que « le rôle moteur de l’Arabie Saoudite dans la stabilité économique et politique de la région », d’aborder des thèmes aussi variés que « la société saoudienne entre modernité et conservatisme » et d’évoquer la volonté ferme des autorités saoudiennes de maintenir la dynamique économique et de poursuivre leur politique de relance et de développement du pays.Les intervenants n’ont pas manqué de rappeler que 400 Mds $ seront injectés par les autorités saoudiennes dans de grands projets d’infrastructure dans les 5 prochaines années.

    Face à la crise, l’Arabie Saoudite dispose d’atouts structurels :

    * Tous ses avoirs financiers sont placés directement auprès de la Banque Centrale (SAMA)
    * Les recettes prévues pour 2009 atteignent 109,3 Md$
    * Les réserves détenues par la SAMA atteignent 550 Md$

    Échanges commerciaux France-Arabie en 2008 :

    Avec un total de 6,168 Mds, l’Arabie Saoudite est le 34ème client de la France et son 23ème fournisseur. Elle assure 19% du total des échanges de la France avec les pays du Moyen-Orient

    Ces projets qui s’adressent en priorité aux grands groupes peuvent générer aussi des opportunités pour les PME dans les secteurs des BTP, des transports, de l’énergie et de l’environnement, des technologies de l’information et de la communication, de la recherche et enfin des équipements innovants pour l’industrie.

    Par ailleurs, les différents orateurs ont affirmé que face à la crise économique mondiale, l’Arabie Saoudite reste relativement épargnée du fait, notamment, de sa capacité à mettre en oeuvre une politique de relance massive. Ils ont rappelé que le secteur bancaire saoudien reste, dans la région du Golfe, le moins affecté par la crise et que la réduction importante des recettes pétrolières attendues pour 2009, pourra être largement compensée par les avoirs publics, estimés à plus de 450 milliards de dollars US et qui peuvent être mis à contribution pour faire face à un déficit éventuel.

    Source : Chambre de commerce franco-arabe
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin
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