Glacé
D'un pas habile je saute, d'une tombe a l'autre
D'une larme a l'autre, mon espoir se vautre
D'un deuil en demi-lune, opaline de Décembre
Merveille d'un corps que l'on démembre
Il a ôter son vêtement de vie d'un geste brutal
Le sang a pris cette maudite saveur létale
Laissant sa peau blanche cuire sous le soleil
Cautérisant la pupille de nos regards en sommeil
Des flocons de neige peuplait ces souvenirs
Suintant avec nos larmes sur sa peau de cuir
Souvent la blancheur des feuillage sait prévenir
Du froid...mais de la mort personne ne peut fuir
J'ai rangé ta tombe, installes toi éternellement
Dans ce bois noueux, sans noblesse, sans chaleur
Tu entend nos pas, notre éloignement
Et je ne sais pas si tu as froid, ou si tu a peur
Chaarar,
D'une larme a l'autre, mon espoir se vautre
D'un deuil en demi-lune, opaline de Décembre
Merveille d'un corps que l'on démembre
Il a ôter son vêtement de vie d'un geste brutal
Le sang a pris cette maudite saveur létale
Laissant sa peau blanche cuire sous le soleil
Cautérisant la pupille de nos regards en sommeil
Des flocons de neige peuplait ces souvenirs
Suintant avec nos larmes sur sa peau de cuir
Souvent la blancheur des feuillage sait prévenir
Du froid...mais de la mort personne ne peut fuir
J'ai rangé ta tombe, installes toi éternellement
Dans ce bois noueux, sans noblesse, sans chaleur
Tu entend nos pas, notre éloignement
Et je ne sais pas si tu as froid, ou si tu a peur
Chaarar,