Je n’ai rien pu
Lorsque je regarde la mer, je me demande
Qui a bien pu pleurer toutes ces larmes
Pour quel Dieu sont elle données en offrande ?
Seul le bruit des vagues atténue le vacarme
Qui pourrais plonger dans ces eaux acides
Ces flots de chagrin, ont noyé les terres arides
Ce n’est pas les sanglots qui bercent les homicides
C’est l’amour qui laisse les yeux aussi vide…
J’ai vu sa trace sur le sable, ces petons agiles
Ont parcourus la plage, elle à même couru
J’aurais coulé ces traces dans le plus solide argile
Pour nager dans sa peine, je l’aurais secourue
Mais qui suis-je pour lui dire de croire encore ?
De sourire à la vie, que l’amour n’est pas mort
Ne suis-je pas l’homme le plus sinistre ?
A quelques encablures...le diable me fit ministre
De quelle force de persuasion pourrais-je usé ?
Moi qui ne crois guère que l’on puisse se relevé
Des morsures du destin, même parée de satin
La trajectoire de nos âmes suivra son chemin…
Chaarar,
Lorsque je regarde la mer, je me demande
Qui a bien pu pleurer toutes ces larmes
Pour quel Dieu sont elle données en offrande ?
Seul le bruit des vagues atténue le vacarme
Qui pourrais plonger dans ces eaux acides
Ces flots de chagrin, ont noyé les terres arides
Ce n’est pas les sanglots qui bercent les homicides
C’est l’amour qui laisse les yeux aussi vide…
J’ai vu sa trace sur le sable, ces petons agiles
Ont parcourus la plage, elle à même couru
J’aurais coulé ces traces dans le plus solide argile
Pour nager dans sa peine, je l’aurais secourue
Mais qui suis-je pour lui dire de croire encore ?
De sourire à la vie, que l’amour n’est pas mort
Ne suis-je pas l’homme le plus sinistre ?
A quelques encablures...le diable me fit ministre
De quelle force de persuasion pourrais-je usé ?
Moi qui ne crois guère que l’on puisse se relevé
Des morsures du destin, même parée de satin
La trajectoire de nos âmes suivra son chemin…
Chaarar,
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