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Ceux qui vivent au Canada depuis au moins une quinzaine d'années, savent que le climat a considerablement changé...; Il y a plus de grands froids l'hiver, plus de grandes chuttes de neige, la pluie qui tombe en janvier et meme en fevrier, des étés tres chauds qui se suivent...
L'idée de la Grande-Bretagne de taxer les voitures qui entrent au centre ville, est peut etre une bonne idée pour le Canada, à montréal par exemple c'est l'anarchie totale: des semi-remorques qui livrent en plein jour, dans n'importe où dans la ville, des tracteurs agricoles, des engins, tout est permis...
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À Montréal, la Conférence internationale sur les changements climatiques se poursuit, toujours à la recherche des moyens de réduire les émissions de gaz à effet de serre.
La situation est inquiétante. Au cours des 50 dernières années, le Canada s'est réchauffé plus rapidement que la plupart des autres régions de la planète, surtout en Arctique.
Mais les scientifiques sont formels: le Canada doit absolument réduire l'émission de ses gaz à effet de serre, qui ont augmenté de 24 pour cent par rapport à 1990. Les conséquences sur la vie et la santé des citoyens pourraient être très graves.
«Je m'inquiète pour l'avenir de mes petits-enfants», dit Gordon McBean, de la Fondation canadienne de la science du climat.
Un des grands problèmes, c'est la circulation routière. Au Québec, comme ailleurs, le transport routier est responsable de 40% des émissions de gaz à effet de serre.
Il y a quatre ans, la ville de Londres a fait tout un virage. Tous les véhicules qui entrent au centre-ville du lundi au vendredi, entre 7h et 18h30, doivent payer une taxe de 16 dollars.
La qualité de l’air s’est améliorée et il y a moins de véhicules dans la métropole britannique et le nombre de passagers dans les transports en commun a augmenté de 20%.
Environ 1 200 000 véhicules entrent tous les jours sur le territoire de la Ville de Montréal. Est-ce que cette mesure pourrait aussi être appliquée à Montréal?
«On ne ferait pas ça, mais je pense que ça vaut la peine d'en faire la réflexion parce que c'est le courant, un peu, à travers le monde», affirme le responsable du transport à la Ville de Montréal, Claude Dauphin.
Le Canada se réchauffe plus rapidement
L'idée de la Grande-Bretagne de taxer les voitures qui entrent au centre ville, est peut etre une bonne idée pour le Canada, à montréal par exemple c'est l'anarchie totale: des semi-remorques qui livrent en plein jour, dans n'importe où dans la ville, des tracteurs agricoles, des engins, tout est permis...
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À Montréal, la Conférence internationale sur les changements climatiques se poursuit, toujours à la recherche des moyens de réduire les émissions de gaz à effet de serre.
La situation est inquiétante. Au cours des 50 dernières années, le Canada s'est réchauffé plus rapidement que la plupart des autres régions de la planète, surtout en Arctique.
Mais les scientifiques sont formels: le Canada doit absolument réduire l'émission de ses gaz à effet de serre, qui ont augmenté de 24 pour cent par rapport à 1990. Les conséquences sur la vie et la santé des citoyens pourraient être très graves.
«Je m'inquiète pour l'avenir de mes petits-enfants», dit Gordon McBean, de la Fondation canadienne de la science du climat.
Un des grands problèmes, c'est la circulation routière. Au Québec, comme ailleurs, le transport routier est responsable de 40% des émissions de gaz à effet de serre.
Il y a quatre ans, la ville de Londres a fait tout un virage. Tous les véhicules qui entrent au centre-ville du lundi au vendredi, entre 7h et 18h30, doivent payer une taxe de 16 dollars.
La qualité de l’air s’est améliorée et il y a moins de véhicules dans la métropole britannique et le nombre de passagers dans les transports en commun a augmenté de 20%.
Environ 1 200 000 véhicules entrent tous les jours sur le territoire de la Ville de Montréal. Est-ce que cette mesure pourrait aussi être appliquée à Montréal?
«On ne ferait pas ça, mais je pense que ça vaut la peine d'en faire la réflexion parce que c'est le courant, un peu, à travers le monde», affirme le responsable du transport à la Ville de Montréal, Claude Dauphin.
Le Canada se réchauffe plus rapidement