Participe passé (Zacmako et Chaarar)

[Chaarar]

Participe passé


Elle m'oblige a prendre ma plume
A cisaillé ma chair, en profondeur
A plonger dans mon cœur
Et sortir ces mots en "Nous fûmes"

Pourtant, depuis que mes yeux
L’ont vu devant moi passer
ne jamais parler d’elle au passé
Reste mon seul et unique vœu.

L'automne dessine parfois son visage
mes vases ne contiennent plus de fleurs
Mais subsiste encore au fond, son odeur
Je me suis surpris à aimer un mirage.

Dois-je continuer à y croire encore
Où devrais-je préparer un sarcophage
Il me faudrait un océan de courage
Pour oublier ce mirage et son décor.

Faire se mélanger nos ombres
N'est pas la bonne solution
En silence j'assimile ces pénombres
En guise de consolation.

J’aimerai tant tourner cette page
Puis ne plus jamais la revoir
Lui lancer un dernier au revoir
Et gommer pour de bon son image.

J'ai beau décollé les photos des murs
Bruler les lettre parfumé de sa peau
Déguiser mon visage des sourires impurs
Je me suis condamner a tomber de haut.

Un essai en duo entre deux amateurs
Zacmako a écrit ce qui est en italique
Deux styles loin d’être identiques,
Le reste, Chaarar en est l’auteur.

[Space]

Un duo d'Enfer !

un seul mot :

WAWWWWW

[absente]

Magnifique ....je trouve pas d'autre mot.

[Hedda°]

C'est sûr que c'est plus des honneurs
De se jeter mutuellement des fleurs
Il y a poêtes et amateurs
les deux ne jouent pas dans la même cour
Le modeste passager se retourne en pleurs
Quand il passe dans les alentours


Bel hommage à toi et à lui

[absente]

Deux styles loin d’être identiques,

bein avant de lire la fin j'ai pu distinguer chaarar de zac .......... peut être que cette différence a fait de ces mots un poème unique dans son genre !!!!!
que dire de plus : maaaaaaaaaaagnifique !!!! bravo,bravo et encore bravo à vous deux pour ce plaisir de vous lire !!!

[Inata]

merci,

je n'ai pas voulu séparer ou chercher la différence de style pour mieux apprécier la continuité de ces vers,


les garçons.... je suis fan!

[iris]

en un mot : MAGNIFIQUE

j'adore

[absente]

J’aimerai tant tourner cette page
Puis ne plus jamais la revoir
Lui lancer un dernier au revoir
Et gommer pour de bon son image

ce n est pas impossible c est dur les premiers jours
merci Zac jai bien aimé ce passage.

[extra]

Bonjour!
Un poème extraordinaire fait par un duo magique!
Merci!

[Mirages]

BRAVO à vous deux!!!


une belle fusion de deux belles plumes!!!


j'ai reconnu les stophes de chacun de vous!!!


bien reussi votre essiae!

j'attend vous lire d'autres sublimes textes!!


Merci à vous zac et charaar

[Lamosta]

TROP FORT.... les gars

j'ai bcp aimé ce texte sublime ....


merci zac et chaarar

[Chaarar]

Merci a vous tous, écrire avec Zac était bien plus qu'un plaisir, ce fut un privilège...
Le choix du thème etait assez "classique" diront nous mais tout depend du prisme derrière lequel on place pour analyser la chose.

C'est en lecteur admiratif de Zac que j'ai proposé cet essai, et c'est avec une certaine fierté je l'avoue que partage avec vous ces mots entremêlés

Merci a vous, et merci a lui

[Zacmako]

écrire avec Zac était bien plus qu'un plaisir, ce fut un privilège...

Mais de quel privilège parles-tu ?, l’ami
Je ne cesse de répéter que la préservation de FA, de son prestige et de son niveau dépendent de toutes et de tous et le mot 'privilège' n’a pas sa place dans ce forum et encore moins dans notre chère rue.
La rue est fleurie par tous, illuminée par tous, entretenue par tous.
Les invités qui passent par la rue nous lisent tous, partagent les rêves et les émotions de tout le monde, écoutent les maux de tout un chacun et vivent le quotidien parfois terne, parfois coloré de chacun de nous.
Mis à part le plagiat, la rue nous aime tous et ouvre ses bras à nous tous, sans distinction car chacun l’embellie à sa façon, à sa manière, avec son style et avec les couleurs qu’il choisit.
Merci à tous les auteurs, aux poètes et poétesses de FA,aux lecteurs, aux invités et à toi, Chaarar.
Mes hommages à sa Majesté, Morjane aussi.
Notre rue, c’est ceci :

Mes voisins de palier, ici sur FA, à la rue des petites perles
Où chaque jour, les joies et les larmes, par des vers y déferlent
Nous ont habitués à venir jongler savamment avec la rime
Et font ainsi rêver le lecteur par le biais de poèmes sublimes.

Une rue aux pavés de pétales et aux trottoirs de rosiers
Sous le club de rencontres et jouxtant le café du village,
Accueille en son sein jour et nuit tous les cœurs en brasiers
En quête d’idylle, de romance ou de mots qui soulagent.

Qu’il est bon de venir s’asseoir sur un de ses bancs
Jusqu’au bout de la nuit, à l’heure où la rime déferle
Et illumine le ciel de couleurs, comme du satin en ruban
Bien sage celui ou celle qui l’a surnommée rue des perles.

Elle soigne bras ouverts les guerriers de l’amour en défaite,
Puis les aide à ourdir une revanche et à affûter leurs mots
Elle convie sous son toit les amoureux qui font la fête,
Et celui qui gémit vient prés d’elle pour soigner ses maux.

Son royaume d’étendues poétiques reste incontournable,
Le cœur tourmenté y trouve à coup sûr, un havre de paix
Même les garçons des lycées ont, au fond de leurs cartables,
Des pétales dérobés de la rue, pour les papillons à attraper.

Ils sont tous là, ceux qui soignent ses trottoirs et ses pavés.
Et le bruit de leurs pas chevaleresques fait fuir la solitude.
Elles sont là, celles qui, avec leur plume, ont toujours bravé
Les tempêtes de l’âme et du cœur, et leur livide inquiétude.

[absente]

Je m incline les gars Tout mon respect ....Bravo! Merci pour le partage

[freemonaliza]

un tandem de choc!
trés beau à lire!
merci pour le partage