Le ministre israélien de la Défense Ehud Barak a eu des entretiens hier au Caire pour tenter de relancer les efforts de paix au Proche-Orient, une semaine après le discours de politique étrangère de son Premier ministre Benjamin Netanyahu.
Le chef du Likoud a accepté dimanche dernier le principe de l’établissement d’un Etat palestinie mais à de strictes conditions jugées inadmissibles par les Palestiniens. Et pour cause ! Benjamin Netanyahu a exigé des Palestiniens qu’ils reconnaissent Israël comme Etat juif et renoncent au droit au retour des réfugiés palestiniens. Il a également refusé de promettre un gel de la colonisation en Cisjordanie occupée.
D’ailleurs, le président égyptien Hosni Moubarak a estimé que l’appel du Premier ministre israélien à reconnaître Israël, dont la population est arabe pour un cinquième, comme Etat juif sapait les efforts en vue de parvenir à la paix. Néanmoins, le chef de l’Etat égyptien a rencontré brièvement Ehud Barak, dont la visite au Caire a duré une poignée d’heures, rapporte l’agence de presse Mena. Le voyage portait «sur les efforts de relance du processus de paix au Proche-Orient, la situation dans les territoires palestiniens et les efforts exercés par l’Egypte pour entamer des discussions sérieuses entre les parties palestinienne et israélienne», a ajouté l’agence.
Les ministres des Affaires étrangères des pays arabes se réuniront mercredi pour débattre du discours prononcé le 4 juin au Caire par le président américain Barack Obama, qui a appelé à relancer les négociations de paix israélo-palestiniennes et la réponse de Benjamin Netanyahu, a encore précisé Mena.
Jeune Indépendant
Le chef du Likoud a accepté dimanche dernier le principe de l’établissement d’un Etat palestinie mais à de strictes conditions jugées inadmissibles par les Palestiniens. Et pour cause ! Benjamin Netanyahu a exigé des Palestiniens qu’ils reconnaissent Israël comme Etat juif et renoncent au droit au retour des réfugiés palestiniens. Il a également refusé de promettre un gel de la colonisation en Cisjordanie occupée.
D’ailleurs, le président égyptien Hosni Moubarak a estimé que l’appel du Premier ministre israélien à reconnaître Israël, dont la population est arabe pour un cinquième, comme Etat juif sapait les efforts en vue de parvenir à la paix. Néanmoins, le chef de l’Etat égyptien a rencontré brièvement Ehud Barak, dont la visite au Caire a duré une poignée d’heures, rapporte l’agence de presse Mena. Le voyage portait «sur les efforts de relance du processus de paix au Proche-Orient, la situation dans les territoires palestiniens et les efforts exercés par l’Egypte pour entamer des discussions sérieuses entre les parties palestinienne et israélienne», a ajouté l’agence.
Les ministres des Affaires étrangères des pays arabes se réuniront mercredi pour débattre du discours prononcé le 4 juin au Caire par le président américain Barack Obama, qui a appelé à relancer les négociations de paix israélo-palestiniennes et la réponse de Benjamin Netanyahu, a encore précisé Mena.
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