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Le président du Conseil italien Silvio Berlusconi a démenti avoir jamais payé une femme en échange de rapports sexuels.
"Je n'ai jamais payé une femme", a-t-il dit dans une interview accordée à l'hebdomadaire Chi, qui appartient à Mondadori, grande maison d'édition dont il est propriétaire.
"Je n'ai jamais compris quelle satisfaction on pouvait trouver en dehors de celle qui consiste à faire la conquête d'une femme", dit-il au magazine, selon des extraits de l'interview adressés à Reuters, avant sa parution mercredi.
La crédibilité du président du Conseil a été entamée ces dernières semaines par deux scandales touchant à ses rapports avec les femmes, qui l'ont conduit à assurer qu'il n'avait aucunement l'intention de démissionner. Berlusconi a accusé les médias d'orchestrer une campagne de diffamation à son encontre à l'approche du sommet du G8 dont il sera l'hôte en juillet.
L'un de ces scandales porte sur ses relations avec une jeune femme de 18 ans, qui a conduit son épouse à réclamer le divorce. L'autre concerne des soirées qui auraient eu lieu dans ses résidences en présence d'escort girls payées pour y participer.
L'opposition, de même que l'influente Eglise catholique, ont exigé de Berlusconi qu'il apporte des éclaircissements, à la suite d'une enquête pour corruption à Bari, dans le sud de l'Italie, au cours de laquelle une escort girl a déclaré avoir passé la nuit avec le président du Conseil et disposer d'enregistrements qui en apportent la preuve.
Prié de dire s'il savait qui était la jeune femme en question - Patrizia D'Addario, prostituée de luxe -, Berlusconi a répondu ainsi: "Si je soupçonnais quoi que ce soit de ce genre concernant n'importe qui, je m'en tiendrais le plus loin possible".
D'Addario a déclaré la semaine dernière à un journal italien qu'un homme d'affaires italien actuellement sous enquête lui avait versé 1.000 euros pour qu'elle soit présente à un dîner donné à la résidence romaine de Berlusconi, aux côtés d'autres jeunes femmes. D'Addario, qui a parlé d'un véritable "harem", dit être retournée à la résidence du président du Conseil pour passer la nuit avec lui.
Une autre femme qui accompagnait D'Addario à la résidence de Berlusconi a déclaré à plusieurs journaux que l'escort girl avait dit avoir dormi avec le chef du gouvernement, mais qu'elle n'avait pas réclamé d'argent parce qu'elle préférait obtenir de sa part des faveurs concernant des permis de construire.
source : Reuters
Silvio Berlusconi a couché avec la belle brune mais papi prétend qu'il n'a pas eu de rapports sexuels avec elle...
"Je n'ai jamais payé une femme", a-t-il dit dans une interview accordée à l'hebdomadaire Chi, qui appartient à Mondadori, grande maison d'édition dont il est propriétaire.
"Je n'ai jamais compris quelle satisfaction on pouvait trouver en dehors de celle qui consiste à faire la conquête d'une femme", dit-il au magazine, selon des extraits de l'interview adressés à Reuters, avant sa parution mercredi.
La crédibilité du président du Conseil a été entamée ces dernières semaines par deux scandales touchant à ses rapports avec les femmes, qui l'ont conduit à assurer qu'il n'avait aucunement l'intention de démissionner. Berlusconi a accusé les médias d'orchestrer une campagne de diffamation à son encontre à l'approche du sommet du G8 dont il sera l'hôte en juillet.
L'un de ces scandales porte sur ses relations avec une jeune femme de 18 ans, qui a conduit son épouse à réclamer le divorce. L'autre concerne des soirées qui auraient eu lieu dans ses résidences en présence d'escort girls payées pour y participer.
L'opposition, de même que l'influente Eglise catholique, ont exigé de Berlusconi qu'il apporte des éclaircissements, à la suite d'une enquête pour corruption à Bari, dans le sud de l'Italie, au cours de laquelle une escort girl a déclaré avoir passé la nuit avec le président du Conseil et disposer d'enregistrements qui en apportent la preuve.
Prié de dire s'il savait qui était la jeune femme en question - Patrizia D'Addario, prostituée de luxe -, Berlusconi a répondu ainsi: "Si je soupçonnais quoi que ce soit de ce genre concernant n'importe qui, je m'en tiendrais le plus loin possible".
D'Addario a déclaré la semaine dernière à un journal italien qu'un homme d'affaires italien actuellement sous enquête lui avait versé 1.000 euros pour qu'elle soit présente à un dîner donné à la résidence romaine de Berlusconi, aux côtés d'autres jeunes femmes. D'Addario, qui a parlé d'un véritable "harem", dit être retournée à la résidence du président du Conseil pour passer la nuit avec lui.
Une autre femme qui accompagnait D'Addario à la résidence de Berlusconi a déclaré à plusieurs journaux que l'escort girl avait dit avoir dormi avec le chef du gouvernement, mais qu'elle n'avait pas réclamé d'argent parce qu'elle préférait obtenir de sa part des faveurs concernant des permis de construire.
source : Reuters
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