Le bonheur est aveugle
Les lumières se brisent sur ma peau
Au zénith incolore, les cris indigo
L’indigène, fait s’évader du zoo
Un troupeau d’antilopes au galop
Souffrances atones, halo de sang
Teintures sauvages sur papier peint
Voyages fugaces au Moyen-Orient
La où il ne pousse pas de sapin
Rêves malléables, caraïbes perdues
Son de carabine flinguant l’irréel
Espoir exsangue, au cœur suspendu
Filins exquis, aux arômes de fiel
Délit d’espérances, errances fatales
C’est un avortement au stade fœtal
Ombre de Chine, parfum de voyages
Et cabane de plomb pour paysage
Crissement de sourires, il était temps
De voler a César ce qu’il lui appartient
Séduire le bonheur non consentant,
Tel une amante et lui palper le sein
Le bonheur est aveugle, il faut le guidé
Au royaume des borgnes il y a cécité
Nécessité d’ouvrir le regard de son âme
Le don de la vue, est un étrange sésame
La voila titubant la vibrante pagaille
Au ciel effritant ses dernières prières
Offrant au bras tendu de la canaille
De l’eau, du pain, et peut être une bière
Bruines acides, sur conscience défaite
Le mal est fait, s’invite à la fête
Fi soit fait des codes de ce monde
J’offre ce soir une tribune a l’immonde
Le bonheur n’a pas de prix, parait-il
Je le paierais de mon sang, malgré tout
Offrant mes conclusions au savant fou
Qui lira ces mot tel un exil…
Chaarar,
Les lumières se brisent sur ma peau
Au zénith incolore, les cris indigo
L’indigène, fait s’évader du zoo
Un troupeau d’antilopes au galop
Souffrances atones, halo de sang
Teintures sauvages sur papier peint
Voyages fugaces au Moyen-Orient
La où il ne pousse pas de sapin
Rêves malléables, caraïbes perdues
Son de carabine flinguant l’irréel
Espoir exsangue, au cœur suspendu
Filins exquis, aux arômes de fiel
Délit d’espérances, errances fatales
C’est un avortement au stade fœtal
Ombre de Chine, parfum de voyages
Et cabane de plomb pour paysage
Crissement de sourires, il était temps
De voler a César ce qu’il lui appartient
Séduire le bonheur non consentant,
Tel une amante et lui palper le sein
Le bonheur est aveugle, il faut le guidé
Au royaume des borgnes il y a cécité
Nécessité d’ouvrir le regard de son âme
Le don de la vue, est un étrange sésame
La voila titubant la vibrante pagaille
Au ciel effritant ses dernières prières
Offrant au bras tendu de la canaille
De l’eau, du pain, et peut être une bière
Bruines acides, sur conscience défaite
Le mal est fait, s’invite à la fête
Fi soit fait des codes de ce monde
J’offre ce soir une tribune a l’immonde
Le bonheur n’a pas de prix, parait-il
Je le paierais de mon sang, malgré tout
Offrant mes conclusions au savant fou
Qui lira ces mot tel un exil…
Chaarar,
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