Dans ce petit gourbi
J’ai vu des yeux rayonnant
Des petits bambins heureux
Un papa malheureux
Une petite princesse apparaissait
De leurs regards jaillissaient du bonheur
Tu es leur soleil qui les rayonne
Tu es cet espoir, qu’ils ont cru perdre
J’ai vu ce misérable gourbi
Leur seul toit pour s’abriter
La terre est leur unique lit
La misère est devenue leurs compagnons
La faim est leur quotidien
Toi, petite princesse
Tu as su leurs redonner ce sourire
Qui ne connaissait
J’ai vu l’amour que tu leurs donnais
Avec la tendresse que tu leurs parlais
Princesse, à mes yeux
Tu es une reine
Une leçon, tu m’as donnée
Que je ne risque pas d’oublier
Pour ces bambins,
Tu as crée un monde
A leurs yeux, tu es une fée
Continues à faire leur bonheur
Un modeste passage à une reine (qui se reconnaîtra) qui a su donner un sens à la vie des bambins qui vivent dans une misère indescriptible. J’étais émue de la voir comment elle leurs parlait, comment elle leurs donnait de l’amour sans calcul et de la tendresse à flot.
Ma reine, tu as tout mes respects et considération. Si chaque personne faisait le peu que tu fais à ces bambins, le monde sera que meilleur.
Merci ! Et devant la grandeur de ton cœur, je m’incline.
J’ai vu des yeux rayonnant
Des petits bambins heureux
Un papa malheureux
Une petite princesse apparaissait
De leurs regards jaillissaient du bonheur
Tu es leur soleil qui les rayonne
Tu es cet espoir, qu’ils ont cru perdre
J’ai vu ce misérable gourbi
Leur seul toit pour s’abriter
La terre est leur unique lit
La misère est devenue leurs compagnons
La faim est leur quotidien
Toi, petite princesse
Tu as su leurs redonner ce sourire
Qui ne connaissait
J’ai vu l’amour que tu leurs donnais
Avec la tendresse que tu leurs parlais
Princesse, à mes yeux
Tu es une reine
Une leçon, tu m’as donnée
Que je ne risque pas d’oublier
Pour ces bambins,
Tu as crée un monde
A leurs yeux, tu es une fée
Continues à faire leur bonheur
Un modeste passage à une reine (qui se reconnaîtra) qui a su donner un sens à la vie des bambins qui vivent dans une misère indescriptible. J’étais émue de la voir comment elle leurs parlait, comment elle leurs donnait de l’amour sans calcul et de la tendresse à flot.
Ma reine, tu as tout mes respects et considération. Si chaque personne faisait le peu que tu fais à ces bambins, le monde sera que meilleur.
Merci ! Et devant la grandeur de ton cœur, je m’incline.
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