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L'Apocalypse est pour demain

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  • L'Apocalypse est pour demain

    Nouvel Ordre Mondial

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    Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six.(Apocalypse 13:16 à 18)

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    ]
    Si les calculs des tables de pierre sont exacts...
    La Terre doit basculer de 180° le
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    Le compte à rebours est commencé sur L'Apocalypse est pour Demain


    PrésentationAvancer par peur ou mise en place du gouvernement mondial
    Au moins Jacques Attali nous renseigne. Il fait l'innocent mais il en sait beaucoup plus qu'il ne le dit. Mais ceci dit, -comprenne qui pourra ?- il donne des renseignements qui font que la pandémie coule de source et qu'elle était nécessaire pour installer le Nouvel Ordre Mondial.

    Avancer par peur

    Par Jacques Attali

    Une pandémie majeure ferait surgir la prise de conscience de la nécessité d'un altruisme, au moins intéressé.


    L'Histoire nous apprend que l'humanité n'évolue significativement que lorsqu'elle a vraiment peur : elle met alors d'abord en place des mécanismes de défense ; parfois intolérables (des boucs émissaires et des totalitarismes) ; parfois futiles (de la distraction) ; parfois efficaces (des thérapeutiques, écartant si nécessaire tous les principes moraux antérieurs). Puis, une fois la crise passée, elle transforme ces mécanismes pour les rendre compatibles avec la liberté individuelle et les inscrire dans une politique de santé démocratique.


    La pandémie qui commence pourrait déclencher une de ces peurs structurantes.


    Si elle n'est pas plus grave que les deux précédentes frayeurs de ces quinze dernières années liées à un risque de pandémie (la crise de la vache folle en Grande-Bretagne et celle de la grippe aviaire en Chine), elle aura d'abord des conséquences économiques significatives (chute de l'activité des transports aériens, baisse du tourisme et du prix du pétrole) ; elle coûtera environ 2 millions de dollars par personne contaminée et fera baisser les marchés boursiers d'environ 15 % ; son impact sera très bref (lors de l'épisode de la grippe aviaire, le taux de croissance chinois n'a baissé que pendant le deuxième trimestre de 2003, pour exploser à la hausse au troisième) ; elle aura aussi des conséquences en matière d'organisation (toujours en 2003, des mesures policières très rigoureuses ont été prises dans toute l'Asie ; l'Organisation mondiale de la santé a mis en place des procédures d'alerte à l'échelle planétaire ; et certains pays, en particulier la France et le Japon, ont constitué des réserves considérables de médicaments et de masques).


    Si l'épidémie est un peu plus grave, ce qui est possible, puisqu'elle est transmissible par l'homme, elle aura des conséquences véritablement planétaires : économiques (les modèles laissent à penser que cela pourrait entraîner une perte de 3 trillions de dollars, soit une baisse de 5 % du PIB mondial) et politiques (en raison des risques de contagion, les pays du Nord auront intérêt à ce que ceux du Sud ne soient pas malades, et ils devront faire en sorte que les plus pauvres aient accès aux médicaments aujourd'hui stockés pour les seuls plus riches) ; une pandémie majeure fera alors surgir, mieux qu'aucun discours humanitaire ou écologique, la prise de conscience de la nécessité d'un altruisme, au moins intéressé.


    Et, même si, comme il faut évidemment l'espérer, cette crise n'est pas très grave, il ne faudra pas oublier, comme pour la crise économique, d'en tirer les leçons, afin qu'avant la prochaine - inévitable - on mette en place des mécanismes de prévention et de contrôle, ainsi que des processus logistiques de distribution équitable des médicaments et de vaccins. On devra, pour cela, mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale. On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l'aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d'un véritable gouvernement mondial. C'est d'ailleurs par l'hôpital qu'a commencé en France, au xviie siècle, la mise en place d'un véritable Etat.


    En attendant, on pourrait au moins espérer la mise en oeuvre d'une véritable politique européenne sur le sujet. Mais, là encore, comme sur tant d'autres sujets, Bruxelles est muet.

    Sources L'Express
    Dernière modification par KILOU28, 26 juin 2009, 13h00.
    NOTRE PLUS GRANDE FORCE N'EST PAS DE NE JAMAIS TOMBER MAIS DE TOUJOURS NOUS RELEVER CHAQUE FOIS QUE NOUS TOMBONS

  • #2
    L'apocalypse

    Chez moi....elle s'est déjà produite ....

    Commentaire

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