Un sourire sur une ombre s’est posé
Un sourire en forme de baiser
Et le vent dans l’azur l’a enlevé
Un sourire un pétale de bonheur
Un sourire juste une offrande du cœur
Un sourire un instant s’est levé
Sur la terre la laissant doucement s’éveiller
Et le zéphyr qui passait par hasard
L'a emmené loin tout imprégner
Un sourire sur une ombre s’est posé
Un sourire doux comme un baiser
Les passants qui passaient sans le voir
Tête baissé yeux allant droit au placard
L’humeur morose couleur de cafard
Pas pressés, saccadés, cadencés
Le cœur si lourd cadenassés sans douceur d’aimer
Et un sourire sur leur ombre s’est posé
Un sourire doux comme une caresse
Irrités les regards courroucés
Les passants voulurent chasser ce danger
Leur humeur était morose
Depuis tellement longtemps
L’âme rongé de tant de tourments
Entassé on ne sait plus trop comment
Qu’ils avaient oubliés ce qu’était ce tressaillement
Cette douceur qui brûle le cœur
Qui rends beau chaque geste de la journée
Qui apporte tant de bonheur
A celui qui l’offre comme une fleur
Un sourire coquin qui venait dans leurs soupirs
S’engouffrer pour mettre la flamme de la joie
Un sourire doux comme une caresse
Qui allaient doucement les éveiller
Aux douceur de la vie avec un sourire
Allant dans leurs pas vers d’autres pas
Pour tracer un chemin au destin
Et ne plus jamais ressentir ce froid
Un sourire sur leur ombre s’est posé
Un sourire doux comme un baiser
morjane
06/12/05
Un sourire en forme de baiser
Et le vent dans l’azur l’a enlevé
Un sourire un pétale de bonheur
Un sourire juste une offrande du cœur
Un sourire un instant s’est levé
Sur la terre la laissant doucement s’éveiller
Et le zéphyr qui passait par hasard
L'a emmené loin tout imprégner
Un sourire sur une ombre s’est posé
Un sourire doux comme un baiser
Les passants qui passaient sans le voir
Tête baissé yeux allant droit au placard
L’humeur morose couleur de cafard
Pas pressés, saccadés, cadencés
Le cœur si lourd cadenassés sans douceur d’aimer
Et un sourire sur leur ombre s’est posé
Un sourire doux comme une caresse
Irrités les regards courroucés
Les passants voulurent chasser ce danger
Leur humeur était morose
Depuis tellement longtemps
L’âme rongé de tant de tourments
Entassé on ne sait plus trop comment
Qu’ils avaient oubliés ce qu’était ce tressaillement
Cette douceur qui brûle le cœur
Qui rends beau chaque geste de la journée
Qui apporte tant de bonheur
A celui qui l’offre comme une fleur
Un sourire coquin qui venait dans leurs soupirs
S’engouffrer pour mettre la flamme de la joie
Un sourire doux comme une caresse
Qui allaient doucement les éveiller
Aux douceur de la vie avec un sourire
Allant dans leurs pas vers d’autres pas
Pour tracer un chemin au destin
Et ne plus jamais ressentir ce froid
Un sourire sur leur ombre s’est posé
Un sourire doux comme un baiser
morjane
06/12/05
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