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Bonsoir, avec l'ouverture du capital d'Algerie Telecom et le lancement d'Algérie Télécom Satellite dès 2006, on ne peut que feliciter Brahim Ouarest et son equipe pour sa gestion et ses competences.
L’Algérie aura bientôt un satellite consacré exclusivement aux télécoms. Le projet est encore en phase de réflexion mais tous les indices prévoient son inscription au titre du Programme spatial national (2006-2020), «il s’agit d’un projet hautement sollicité qui nous assurera une autonomie en matière de télécoms», dira le DG de l’ASAL, M.Oussedik, en marge de la cérémonie d’ouverture de la semaine Spatiale nationale qui s’est tenue, hier, au siège de l’ASAL à Bouzaréah. L’étude de faisabilité de ce projet phare de l’ASAL qui a d’emblée reçu un avis favorable du ministère en charge des télécoms (ministère des Postes et des Technologies de l’information et de la communication) a démontré son apport, notamment dans la télédiffusion, la télédétection, la fourniture de Internet ainsi que dans les communications personnelles mobiles mondiales par satellite. Ce créneau (téléphonie par satellite) existe aujourd’hui à travers Thuraya (avec 5.000 abonnés) et Algérie Télécom qui commercialise ses lignes à des opérateurs étrangers.
Ce réseau qu’on dénomme communications personnelles mobiles mondiales par satellite GMPCS permet à ses abonnés de communiquer à travers des satellites et non par radio. Il couvre tous le territoires et offre à ses abonnés la possibilité de communiquer dans toutes les régions du monde, même les plus enclavées. La création d’un satellite purement algérien pour ce type de communications influera, selon des spécialistes, sur la tarification de ce service actuellement livré à 75.000 DA le poste et 57 DA l’unité. Cela dit, sa réalisation nécessite un engagement 20 fois plus important que celui d’un satellite tel que ALSAT1 qui, pour rappel, a coûté 11 millions de dollars à l’Etat.
La suite...
http://www.elmoudjahid.com/stories.p.../12/05/7858423
http://www.algerie-dz.com/article3635.html
L’Algérie aura bientôt un satellite consacré exclusivement aux télécoms. Le projet est encore en phase de réflexion mais tous les indices prévoient son inscription au titre du Programme spatial national (2006-2020), «il s’agit d’un projet hautement sollicité qui nous assurera une autonomie en matière de télécoms», dira le DG de l’ASAL, M.Oussedik, en marge de la cérémonie d’ouverture de la semaine Spatiale nationale qui s’est tenue, hier, au siège de l’ASAL à Bouzaréah. L’étude de faisabilité de ce projet phare de l’ASAL qui a d’emblée reçu un avis favorable du ministère en charge des télécoms (ministère des Postes et des Technologies de l’information et de la communication) a démontré son apport, notamment dans la télédiffusion, la télédétection, la fourniture de Internet ainsi que dans les communications personnelles mobiles mondiales par satellite. Ce créneau (téléphonie par satellite) existe aujourd’hui à travers Thuraya (avec 5.000 abonnés) et Algérie Télécom qui commercialise ses lignes à des opérateurs étrangers.
Ce réseau qu’on dénomme communications personnelles mobiles mondiales par satellite GMPCS permet à ses abonnés de communiquer à travers des satellites et non par radio. Il couvre tous le territoires et offre à ses abonnés la possibilité de communiquer dans toutes les régions du monde, même les plus enclavées. La création d’un satellite purement algérien pour ce type de communications influera, selon des spécialistes, sur la tarification de ce service actuellement livré à 75.000 DA le poste et 57 DA l’unité. Cela dit, sa réalisation nécessite un engagement 20 fois plus important que celui d’un satellite tel que ALSAT1 qui, pour rappel, a coûté 11 millions de dollars à l’Etat.
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