La saison estivale bat son plein en cette période de grandes chaleurs mais, malheureusement, il règne une anarchie sur les plages du littoral béjaoui.
Les estivants sont mis à rude épreuve par des groupuscules de jeunes sans scrupules en quête de gain facile.
A l’entrée déjà de ces lieux de détente, en bande de trois au quatre, tous armés de matraque, imposent aux automobilistes le payement de pas moins de 50 DA, représentant les frais de parking.
Une fois sur la plage, c’est d’autres «commerçants» qui prennent la relève pour dicter leur loi, celle-ci dépasse l’entendement : une location d’office de parasols ou de tentes à des prix variants entre 150 DA et 400 DA.
Ces jeunes occupent tous les coins et recoins des plages, des parasols parsemés par centaines, aucun espace n’est épargné au grand malheur du citoyen. Les mêmes scènes sont observées partout, à Boulimat, Saket, Tighremt sur le flan ouest Tichy, El-Maghra, Aokas et Souk- El-Ténine sur la rive est.
Devant cette désolante situation et les plaintes déposées par les citoyens, les responsables du groupement de la gendarmerie ont décidé de mettre en œuvre un plan spécial contre ces agissements d’un autre âge et tentent tant bien que mal de rétablir l’ordre, en affectant des dizaines de gendarmes, venus en renfort spécialement pour la saison sur les différentes plages de la wilaya de Béjaïa.
Le travail de la Gendarmerie nationale n’a pas tardé à porter ses fruits, puisque bon nombre de plages commencent à s’aérer et se voient vidées de leurs indus occupants.
«Franchement, c’est infernal ce que nous font subir ces jeunes gens et ce, depuis l’ouverture de la saison estivale. Imaginez-vous, je suis muni de mon parasol et de deux chaises pour mes enfants et je n’arrive pas à les implanter faute de place. Avec l’arrivée de la Gendarmerie nationale, on commence à souffler un peu, tout le monde salue leur travail. Il est temps que l’ordre soit rétabli et que le citoyen retrouve sa dignité», nous dira un père de famille rencontré à la plage de Boulimat.
Par le soir
Les estivants sont mis à rude épreuve par des groupuscules de jeunes sans scrupules en quête de gain facile.
A l’entrée déjà de ces lieux de détente, en bande de trois au quatre, tous armés de matraque, imposent aux automobilistes le payement de pas moins de 50 DA, représentant les frais de parking.
Une fois sur la plage, c’est d’autres «commerçants» qui prennent la relève pour dicter leur loi, celle-ci dépasse l’entendement : une location d’office de parasols ou de tentes à des prix variants entre 150 DA et 400 DA.
Ces jeunes occupent tous les coins et recoins des plages, des parasols parsemés par centaines, aucun espace n’est épargné au grand malheur du citoyen. Les mêmes scènes sont observées partout, à Boulimat, Saket, Tighremt sur le flan ouest Tichy, El-Maghra, Aokas et Souk- El-Ténine sur la rive est.
Devant cette désolante situation et les plaintes déposées par les citoyens, les responsables du groupement de la gendarmerie ont décidé de mettre en œuvre un plan spécial contre ces agissements d’un autre âge et tentent tant bien que mal de rétablir l’ordre, en affectant des dizaines de gendarmes, venus en renfort spécialement pour la saison sur les différentes plages de la wilaya de Béjaïa.
Le travail de la Gendarmerie nationale n’a pas tardé à porter ses fruits, puisque bon nombre de plages commencent à s’aérer et se voient vidées de leurs indus occupants.
«Franchement, c’est infernal ce que nous font subir ces jeunes gens et ce, depuis l’ouverture de la saison estivale. Imaginez-vous, je suis muni de mon parasol et de deux chaises pour mes enfants et je n’arrive pas à les implanter faute de place. Avec l’arrivée de la Gendarmerie nationale, on commence à souffler un peu, tout le monde salue leur travail. Il est temps que l’ordre soit rétabli et que le citoyen retrouve sa dignité», nous dira un père de famille rencontré à la plage de Boulimat.
Par le soir
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