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Compagnie low-cost: Lancement officiel le 27 décembre

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  • Compagnie low-cost: Lancement officiel le 27 décembre

    D’abord annoncé pour le 5 décembre, le lancement officiel d’une nouvelle compagnie low-cost a été reporté au 27. Ce sera la seconde du genre au Maroc après Atlas Blue. C’est la loi sur la libéralisation du transport aérien, promulguée en février 2004, qui a rendu possible de telles initiatives destinées à instaurer une concurrence. Le nom ainsi que le logo, jalousement gardés secrets, seront divulgués le jour-même.

    leconomiste

  • #2
    Et les actionnaires?

    Si pour la premiere c'est la RAM qui est le principal actionnaire; Qui sera le principal actionnaire de cette 2ème compagnie?
    Cette démarche devrait donner des idée aux algeriens qui se contentent tout simplement, pour le moments, de multiplier regulierement les augmentations des tarifs du transport aérien.
    Merci!
    Le Sage

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    • #3
      oui mais

      j'espere que l'on profitera de l'experience d'autres pays qui ont liberalisé plus tot le transport aérien comme c'est le cas de l'egypte,il ne s'agit pas d'ouvrir le ciel aérien a des comagnies casses cous qui ne font pas une maintenance sérieuse de leurs avions.

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      • #4
        fouad.guermouche

        Voilà un extrait d'un article a ce sujet. C'est tous ce que j'ai pu trouvé ladessus pour le moment

        Plusieurs investisseurs marocains accompagnent cette stratégie. Parmi eux figurent Messieurs Marrache et Benabbès Taarji dont l'une des réalisations majeures a été d'attirer au Maroc dans le cadre d'une collaboration étroite, le groupe TUI premier acteur européen du tourisme.

        Grâce à cette collaboration, les deux hommes d'affaires ont pu convaincre TUI de participer à ce projet de création de compagnie aérienne low-cost. Basé à Hanovre, le groupe TUI dont les deux métiers sont le tourisme et la logistique, prendra une participation minoritaire dans ce projet en y apportant son expérience dans le domaine du transport aérien et du tourisme.
        Source : Wanadoo Maroc.

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        • #5
          Merci TIZINISSA, ça c'est du travail!
          Pour ceux qui ont peur que l'ouverture du ciel algerien risque d'entrainer des compagnies casse cou, je rappele que c'est au Ministere des transports et plus particulièrement la Direction de l'aviation civile d'être vigilente!
          Nous avons des cadres valables et compétents et il suffit de les mettre à l'épreuve.
          En tout cas, aucun argument ne peut être retenu pour maintenir le monopôle d'Air Algerie.
          Soyons ouverts et moderne mais vigilents tout simplement.
          Le Sage

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          • #6
            mondialisation l'europe et contre une open sky avec le maroc

            L’ami français

            L’Economiste est en mesure de relever que la France est en première ligne des opposants à l’extension de l’accord négocié avec le Maroc au schéma de l’open-sky. Le groupe Air France n’a jamais caché tout le mal qu’il pensait d’Emirates, compagnie qu’il soupçonne de bénéficier des subventions publiques via le prix du kérosène et le soutien financier pour l’acquisition des avions. Une convention d’open-sky permettant le libre établissement des opérateurs des pays contractants, le transporteur français redoutait qu’une éventuelle alliance entre Emirates et Royal Air Maroc, sous forme de joint-venture en Europe, n’ouvre à la compagnie de Dubaï le boulevard des liaisons aériennes intra-européennes. Une hypothèse cauchemardesque pour Air France.

            source l'economiste.

            ce que je comprend pas pourkoi les europeenes sont pour l'open sky et la mondialisation mais quand sa touche au compagny europeene alors la il y a des restriction?

            Les négociations sur la libéralisation totale du ciel entre le Maroc et l’Union européenne sont dans une zone de fortes turbulences. Les deux parties se sont quittées la semaine dernière en constatant leur désaccord. En fait, les choses coincent parce que Bruxelles ne veut pas entendre parler d’un accord complet d’open-sky (qui est bien plus large que la libre exploitation des routes aériennes sans restriction qui est vendue jusqu’à présent à l’opinion marocaine).
            Sous la pression de certains pays, Bruxelles est réservée sur la clause d’établissement qui prévoit la libre installation de part et d’autre. L’Europe est tout au plus disposée à concéder un accord horizontal, c’est-à-dire, la possibilité pour toute compagnie immatriculée en Europe (dans les 25 pays membres) ou au Maroc, de desservir de n’importe quel point du territoire de part et d’autre, sans restriction de capacité. Le problème est que le Maroc est déjà dans ce schéma avec la plupart des pays européens à travers les accords bilatéraux, observe un spécialiste. C’est le cas avec la France, l’Italie, les Pays-Bas, l’Allemagne, l’Espagne et la Belgique. Quelle serait donc la plus-value d’un accord «globalisé» avec l’Europe? «Aucune et si l’on n’obtient pas un accord d’open-sky en bonne et due forme, nous serons face à un accord déséquilibré», poursuit l’expert.
            Que contient un véritable accord d’open-sky? Outre la liberté d’exploitation des liaisons de part et d’autre, il prévoit la clause de libre établissement et l’harmonisation des standards réglementaires de deux partenaires. Concrètement cela veut dire qu’une compagnie marocaine pourrait s’installer en Europe en ayant toute latitude d’exploiter les liaisons intra-européennes ou à partir du Vieux continent, desservir des marchés tiers. Bien sûr que, du côté marocain, on n’a pas encore d’opérateur ayant une taille critique pour s’inscrire dans cette perspective. Mais pour l’avenir, on ne sait jamais. Pour Bruxelles, ce droit d’établissement est prématuré dans l’état actuel des choses. Il signifie qu’un opérateur de droit marocain pourrait prendre une participation dans le tour de table d’un transporteur européen. Pour l’instant, aucun des deux n’est possible.
            Pour rappel, les tractations entre l’Europe et les Etats-Unis ont buté sur ce point. Selon la loi américaine, un opérateur étranger ne peut détenir plus de 25% du capital d’une compagnie européenne.
            L’open-sky implique aussi que le Maroc adopte tout l’arsenal qui régit le transport aérien en Europe sur les normes de sécurité, la formation des pilotes, les aides publiques, la mise à niveau des aéroports, etc.
            Si le Maroc ne parvient pas à arracher un accord d’open-sky à l’Europe, il en sera le premier à en subir les conséquences. En supprimant la clause de nationalité qui figure dans les conventions bilatérales, l’accord horizontal va ouvrir le Maroc aux redoutables low-cost européens dont les plus emblématiques sont Ryannair et EasyJet. Ces deux larrons, qui n’attendent que ça, pourraient rapidement entrer sur les deux routes les plus «juteuses» du réseau de Royal Air Maroc sur l’Europe, le Casa-Paris et le Marrakech-Paris. Ces low-cost sont capables d’aligner le même nombre de vols que la compagnie nationale marocaine sur ces axes à très fort trafic. De toute façon, ils n’exploiteront pas de lignes de type Paris-Al Hoceïma, ou Francfort-Oujda. Même si Royal Air Maroc possède l’arme d’Atlas-Blue pour répondre à ces attaques, elle ne sortirait pas indemne de l’assaut de deux principaux opérateurs du low-cost en Europe avec sa structure de coûts fixes.
            Karim Ghellab, ministre du Transport, qui supervisait personnellement les négociations de l’accord de libéralisation avec Bruxelles, doit revoir ses ambitions à la baisse. Lui qui comptait sur la fenêtre de l’Euromed du transport, qui se tiendra le 15 décembre à Marrakech, pour annoncer un accord de principe doit prendre son mal en patience.
            Dans ce processus, c’est Rabat qui est en position de demandeur, car, politiquement, le gouvernement veut vendre l’accord avec l’Union européenne comme un outil d’accompagnement de la politique du développement touristique. Au final, il pourrait même se contenter de la «globalisation» des accords bilatéraux. Côté marocain, on espère pouvoir achever tout le processus d’ici le premier trimestre 2006 et, pour limiter les dégâts, les négociateurs explorent l’idée de la progressivité dans le temps de la libéralisation. Cela peut concerner, dans un premier temps, les dessertes des aéroports principaux vers les plates-formes secondaires avant d’aller vers une ouverture totale aux aéroports principaux. De toute façon, dans leur stratégie, les low-cost ont souvent évité les grands aéroports à cause de la cherté des redevances.
            oui pour l'open sky du maroc mais non a l'open sky europeene pour les marocain que ce que vous pensez de tous sa?

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            • #7
              Royal Air Maroc fait peur au français

              L'ami français est toujours prompt à retourner sa veste aussi vite que l'éclair.

              Allah y Barek Royal Air Maroc est une compagnie très sérieuse actuellement la compagnie nationale dispose de deux ennemies dans le ciel africain il s'agit de SAA (South Africa Airline) et de Air France qui transportent la majeur parties des passagers africains entre l'Europe et l'Afrique.

              Air France commence à ressentir de plus en plus la concurrence de Royal Air Maroc et surtout de low cost Atlas Blue qui affiche des prix défiants toutes concurrences.

              Aujourd'hui les désires expansionnistes est les réussites de la RAM dérangent beaucoup les français.

              La réussite de la reprise et de la gestion d'Air Sénégal inquiète et dérange à la fois. Rien que pour l'année 2004 air Sénégal à transporté plus de 500 000 passagers un chiffre qui était encore inimaginable pour cette compagnie il y-a de sa quelque année puisque la société souffrait d'une gestion chaotique, et enregistrait une dette astronomique.

              Il faut signaler qu'après la mort financière de Air Sénégal tous les passagers Sénégalais est les passagers Français à destination de ce pays était transporté par Air France.

              Aujourd'hui des pourparlers on lieu actuellement avec le Gabon pour le rachat de leur compagnie nationale qui sera intégré au groupe Royal Air Maroc, sous le nom de Air Gabon International, comme cela est le cas aujourd'hui pour Air Sénégal International.

              D'autre pourparler on lieu aussi avec Air Mauritanie pour le rachat de cette compagnie, mais la carte la plus importante carte à jouer pour la RAM concerne la constitution de Air Cemac International, qui va être une compagnie regroupant plusieurs états africains qui étaient actionnaires de la défunte Air Afrique.

              Donc petit à petit la RAM tisse sa toile et menace de plus en plus les chasses gardés d'Air France en Afrique car la RAM applique une politique des prix très agressive et offre de bonne participation aux états africains qui s’associent avec elle.

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              • #8
                j'ai beaucoup d'amis sénégalais, qui sont fiers de l'essor qu'a connu air sénégal en si peut de temps, cela prouve que la la coopération sud-sud peut être très efficace aussi.

                si l'affaire de Air Cemac se concrétise pour la RAM c est le jackpot total, c'est une région a fort potentiel économique et humain.et on aura dammé le pion aux suds africains

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                • #9
                  @Ismael 2005

                  Oui Inchallah sa serait le jackpot pour la RAM. La RAM à l'avantage de négocier honnêtement avec les états africains. Donc cela crée des partenariat équilibré ou tous le monde se sent gagnant.

                  D'ailleurs SAA est en difficulté financiére c'est donc bon signe pour la RAM.

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