L'ex-secrétaire d'Etat français aux Sports Bernard Laporte règle ses comptes avec ses anciens collègues ministres, en particulier Bernard Kouchner et Rachida Dati, qualifiée de "personne très fausse", dans une interview parue cette semaine.
L'ancien entraîneur de l'équipe de France de rugby, entré au gouvernement en 2007 et qui a perdu son portefeuille lors du remaniement de la semaine dernière, critique très durement dans Paris Match certains de ses collègues "qui ont considéré que je ne faisais pas partie de leur monde".
"Pour eux, je n'avais pas les codes, pas le vernis, pas les réseaux, je n'existais pas", a-t-il déclaré. Le ministre des Affaires étrangères "Bernard Kouchner, par exemple, ne m'a jamais dit bonjour, jamais adressé la parole. Pour lui, j'étais transparent".
Il revient aussi dans cette interview sur le démenti qu'il avait dû opposer en octobre 2008 aux rumeurs selon lesquelles il aurait pu être le père de l'enfant que portait à l'époque la ministre de la Justice Rachida Dati. "Je ne suis pas le père de l'enfant de Rachida", avait-il alors déclaré.
"Des bruits couraient. Qu'elle faisait mine d'ignorer. Je me demande même si elle n'en était pas à l'origine. Je lui ai dit que ça ne pouvait pas durer. C'était insupportable pour mes proches: j'ai des enfants, une compagne", a-t-il relaté. "Je lui ai dit que j'allais faire une mise au point".
"Elle a choisi d'en rire. Rachida, du moment qu'on parle d'elle, elle est contente. C'est une personne très fausse", a-t-il déclaré.
Bernard Laporte, 45 ans, raconte aussi avoir eu une "explication très vive" avec l'écrivain Bernard-Henri Lévy qui l'avait comparé à un "porc" dans une émission de télévision. "J'ai eu l'impression qu'on lui avait rarement parlé comme ça. Là, tout à coup, il ne faisait pas le fier", a-t-il dit.
(Belga)
rtbf.be
L'ancien entraîneur de l'équipe de France de rugby, entré au gouvernement en 2007 et qui a perdu son portefeuille lors du remaniement de la semaine dernière, critique très durement dans Paris Match certains de ses collègues "qui ont considéré que je ne faisais pas partie de leur monde".
"Pour eux, je n'avais pas les codes, pas le vernis, pas les réseaux, je n'existais pas", a-t-il déclaré. Le ministre des Affaires étrangères "Bernard Kouchner, par exemple, ne m'a jamais dit bonjour, jamais adressé la parole. Pour lui, j'étais transparent".
Il revient aussi dans cette interview sur le démenti qu'il avait dû opposer en octobre 2008 aux rumeurs selon lesquelles il aurait pu être le père de l'enfant que portait à l'époque la ministre de la Justice Rachida Dati. "Je ne suis pas le père de l'enfant de Rachida", avait-il alors déclaré.
"Des bruits couraient. Qu'elle faisait mine d'ignorer. Je me demande même si elle n'en était pas à l'origine. Je lui ai dit que ça ne pouvait pas durer. C'était insupportable pour mes proches: j'ai des enfants, une compagne", a-t-il relaté. "Je lui ai dit que j'allais faire une mise au point".
"Elle a choisi d'en rire. Rachida, du moment qu'on parle d'elle, elle est contente. C'est une personne très fausse", a-t-il déclaré.
Bernard Laporte, 45 ans, raconte aussi avoir eu une "explication très vive" avec l'écrivain Bernard-Henri Lévy qui l'avait comparé à un "porc" dans une émission de télévision. "J'ai eu l'impression qu'on lui avait rarement parlé comme ça. Là, tout à coup, il ne faisait pas le fier", a-t-il dit.
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