Christine Lagarde veut agir en faveur de la finance islamique. La ministre de l'Economie a annoncé hier qu'une réforme serait mise en place à l'automne, rapporte l'AFP.
Objectif : développer en France des produits financiers respectant la Sharia, notamment les "sukuk", sortes d'obligations permettant d'éviter le paiement des intérêts, qui sont interdits dans la religion islamique.
La ministre veut ainsi faire de Paris une des places fortes de la finance islamique, alors que les investisseurs voulant respecter la Sharia se tournent actuellement vers le Royaume-Uni, ou dans une moindre mesure le Luxembourg.
Preuve que la finance islamique se démocratise peu à peu dans l'hexagone, l'Université Paris-Dauphine lancera à la rentrée prochaine un diplôme "Principes et Pratiques de la Finance Islamique".
© Capital.fr
Objectif : développer en France des produits financiers respectant la Sharia, notamment les "sukuk", sortes d'obligations permettant d'éviter le paiement des intérêts, qui sont interdits dans la religion islamique.
La ministre veut ainsi faire de Paris une des places fortes de la finance islamique, alors que les investisseurs voulant respecter la Sharia se tournent actuellement vers le Royaume-Uni, ou dans une moindre mesure le Luxembourg.
Preuve que la finance islamique se démocratise peu à peu dans l'hexagone, l'Université Paris-Dauphine lancera à la rentrée prochaine un diplôme "Principes et Pratiques de la Finance Islamique".
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