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Pour ceux au fait des conditions climatiques, ils savent que c’est un micro climat provoqué par la mise en service des deux barrages “thilesdith” à Bechloul et “Tichy-haf” dans la région d’Akbou, deux barrages que ne séparent à peine, que 50 km à vol d’oiseau et qui ont pris en sandwich la région de M’chedallah qui subit de plein fouet les effets climatiques de ces deux réservoirs naturels d’eau, des effets qui se manifestent par une brume opaque chaque matin, et enveloppe toute la région et ne commence à se dissiper qu’aux environs de 10 h du matin. Et qui prend de l’altitude pour prendre la forme de nuages blancs légers qui font office de “loupe” à travers laquelle passe les rayons de soleil anormalement chauds
Ceux des citoyens qui ignorent ce genre de phénomène suivent son évolution avec inquiétude et angoisse, des craintes qui s’expliquent par le tapage médiatique fait autour de la détérioration de la couche d’ozone à laquelle la population, en particulier les illettrés amputent ce changement sensible du climat depuis trois ans, un changement remarqué surtout en période estivale, pour ceux, au fait des conditions climatiques, ils savent que c’est un micro climat provoqué par la mise en service des deux barrages “thilesdith” à Bechloul et “Tichy-haf” dans la région d’Akbou, deux barrages que ne séparent à peine, que 50 km à vol d’oiseau et qui ont pris en sandwich la région de M’chedallah qui subit de plein fouet les effets climatiques de ces deux réservoirs naturels d’eau, des effets qui se manifestent par une brume opaque chaque matin, et enveloppe toute la région et ne commence à se dissiper qu’aux environs de 10 h du matin.
Et qui prend de l’altitude pour prendre la forme de nuages blancs légers qui font office de “loupe” à travers laquelle passe les rayons de soleil anormalement chauds ajoutés, à un taux important d’humidité proche de celui du littoral, une humidité bénéfique à l’agriculture et à la nature en général, disent les personnes âgées mais aux retombées négatives sur les asthmatiques et toutes personnes ayant des problèmes respiratoires avertissent les spécialistes de la santé. on aurait évidemment bien évité aux citoyens de ces régions tant d’inquiétude et d’angoisse à cause de ce subit changement en lançant une campagne d’explication et en incitant le service local de météorologie à être un peu plus communicatif pour mettre la population en parfaite harmonie avec leur environnement hélas !
C’est trop demander à notre époque que de revendiquer le droit à l’information et à un peu de considération pour le petit peuple même quand il s’agit de la santé publique, les asthmatiques et autres malades “brancho-pulmonaire” n’ont-il pas le droit d’être avertis des éventuelles conséquences fâcheuses sur leur santé à cause de ce micro-climat pour s’y préparer et s’adapter en conséquence ?
Sur un autre volet, la mise en service de ces barrages ramènerait dans son sillage une culture tout à fait nouvelle, faite d’aviron, pêche, compétitions nautiques, camping au bord de l’eau à moindre frais entre autre.
Reste à savoir quelles sont les dispositions prises pour la protection des baigneurs amateurs, ils sont nombreux dans ces régions de l’arrière-pays à... piquer pour la première fois une tête dans une eau profonde.
Une tournée effectuée la semaine écoulée, au niveau du barrage thilesdith de Bechloul, nous a permis de constater de visu que les rives de ce barrage n’ont rien à envier à celles d’une quelconque plage du bord de la mer en matière de baigneurs et pêcheurs à la ligne, et même des adolescents s’essayent à la rame à bord de barques de fortunes.
Par la Dépêche de Kabylie
Ceux des citoyens qui ignorent ce genre de phénomène suivent son évolution avec inquiétude et angoisse, des craintes qui s’expliquent par le tapage médiatique fait autour de la détérioration de la couche d’ozone à laquelle la population, en particulier les illettrés amputent ce changement sensible du climat depuis trois ans, un changement remarqué surtout en période estivale, pour ceux, au fait des conditions climatiques, ils savent que c’est un micro climat provoqué par la mise en service des deux barrages “thilesdith” à Bechloul et “Tichy-haf” dans la région d’Akbou, deux barrages que ne séparent à peine, que 50 km à vol d’oiseau et qui ont pris en sandwich la région de M’chedallah qui subit de plein fouet les effets climatiques de ces deux réservoirs naturels d’eau, des effets qui se manifestent par une brume opaque chaque matin, et enveloppe toute la région et ne commence à se dissiper qu’aux environs de 10 h du matin.
Et qui prend de l’altitude pour prendre la forme de nuages blancs légers qui font office de “loupe” à travers laquelle passe les rayons de soleil anormalement chauds ajoutés, à un taux important d’humidité proche de celui du littoral, une humidité bénéfique à l’agriculture et à la nature en général, disent les personnes âgées mais aux retombées négatives sur les asthmatiques et toutes personnes ayant des problèmes respiratoires avertissent les spécialistes de la santé. on aurait évidemment bien évité aux citoyens de ces régions tant d’inquiétude et d’angoisse à cause de ce subit changement en lançant une campagne d’explication et en incitant le service local de météorologie à être un peu plus communicatif pour mettre la population en parfaite harmonie avec leur environnement hélas !
C’est trop demander à notre époque que de revendiquer le droit à l’information et à un peu de considération pour le petit peuple même quand il s’agit de la santé publique, les asthmatiques et autres malades “brancho-pulmonaire” n’ont-il pas le droit d’être avertis des éventuelles conséquences fâcheuses sur leur santé à cause de ce micro-climat pour s’y préparer et s’adapter en conséquence ?
Sur un autre volet, la mise en service de ces barrages ramènerait dans son sillage une culture tout à fait nouvelle, faite d’aviron, pêche, compétitions nautiques, camping au bord de l’eau à moindre frais entre autre.
Reste à savoir quelles sont les dispositions prises pour la protection des baigneurs amateurs, ils sont nombreux dans ces régions de l’arrière-pays à... piquer pour la première fois une tête dans une eau profonde.
Une tournée effectuée la semaine écoulée, au niveau du barrage thilesdith de Bechloul, nous a permis de constater de visu que les rives de ce barrage n’ont rien à envier à celles d’une quelconque plage du bord de la mer en matière de baigneurs et pêcheurs à la ligne, et même des adolescents s’essayent à la rame à bord de barques de fortunes.
Par la Dépêche de Kabylie
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