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En Algérie, certaines pharmacies souffrent depuis plusieurs semaines de l’indisponibilité de certains médicaments.
Cette pénurie touche notamment des médicaments destinés aux malades chroniques, apprend-on. Parmi les médicaments introuvables dans les officines figurent la Théophylline, et Diamicron. Le premier est utilisé pour traiter les symptômes de l’asthme bronchique et certaines maladies respiratoires, alors que le second concerne certains diabètes.
Une situation dramatique qui se répercute sur la santé de milliers de malades chroniques. Ces derniers ne savent plus à quel saint se vouer. D’autant plus que ces pénuries se répètent, mettant en péril la santé des malades dont le besoin de traitements est vital.
Il est d’autant plus inquiétant que, pour certains types de médicaments, il n’y a pas de produits médicamenteux équivalents, comme c’est le cas pour la Théophylline. Le malade se retrouve ainsi obligé de solliciter un parent ou un ami pour se faire procurer le médicament de l’étranger, encore faut-il en avoir les moyens.
Ces pénuries répétées de médicaments peuvent être fatales pour certains patients qui sont obligés d’interrompre leur traitement. Les appels incessants des associations de malades ne cessent de dénoncer cette situation mais en vain.
En l’absence d’une réelle intervention des pouvoirs publics, les malades restent l’otage de groupes de pression qui violent en toute impunité les règles édictées par l’Etat.
Par la Tribune
Cette pénurie touche notamment des médicaments destinés aux malades chroniques, apprend-on. Parmi les médicaments introuvables dans les officines figurent la Théophylline, et Diamicron. Le premier est utilisé pour traiter les symptômes de l’asthme bronchique et certaines maladies respiratoires, alors que le second concerne certains diabètes.
Une situation dramatique qui se répercute sur la santé de milliers de malades chroniques. Ces derniers ne savent plus à quel saint se vouer. D’autant plus que ces pénuries se répètent, mettant en péril la santé des malades dont le besoin de traitements est vital.
Il est d’autant plus inquiétant que, pour certains types de médicaments, il n’y a pas de produits médicamenteux équivalents, comme c’est le cas pour la Théophylline. Le malade se retrouve ainsi obligé de solliciter un parent ou un ami pour se faire procurer le médicament de l’étranger, encore faut-il en avoir les moyens.
Ces pénuries répétées de médicaments peuvent être fatales pour certains patients qui sont obligés d’interrompre leur traitement. Les appels incessants des associations de malades ne cessent de dénoncer cette situation mais en vain.
En l’absence d’une réelle intervention des pouvoirs publics, les malades restent l’otage de groupes de pression qui violent en toute impunité les règles édictées par l’Etat.
Par la Tribune