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Premières conquêtes de la Révolution des mille et un chantiers
Si le 5 juillet 1962, l’Algérie s’est réveillée libre et indépendante, elle aura, cependant, mesuré l’étendue, toute l’étendue des « bienfaits du colonialisme ». Tant il y avait à faire, un taux d’analphabétisme plus qu’alarmant, un rif confiné dans des oubliettes, ses habitants, « sucés » par l’exploitation sans vergogne des colons, manquaient de tout, routes, soins, logements, écoles, un rif vidé de ses habitants qui sont descendus dans les villes pour plus de « confort », plus d’opportunités de travail et d’éducation pour leur enfants, des villes, faut-il le préciser, où toutes les commodités étaient présentes, s’arrêtant, cependant, au seuil des quartiers arabes, des quartiers indigènes…
Le 5 juillet 2009, l’Algérie s’est réveillée plus forte que jamais. 47 années, cela ne représente rien dans la vie d’une nation, certes mais force est de constater que si le cheminement de l’Algérie n’aura pas été de tout repos, traversant une période des plus douloureuses de son existence ou l’Algérien tuait l’Algérien, le voisin tuant son voisin et le neveu tuant son oncle, un drame, une véritable tragédie alimentée par une « fitna » aux feux dévorants, la trajectoire a été corrigée, le pays remis en selle, l’unité de ses enfants retrouvée et confortée.
En une décennie seulement, un fantastique bond en avant a été réalisé. Des infrastructures gigantesques ont vu le jour. En une décennie, seulement, le véritable socle que représente la Charte pour la paix et la réconciliation nationale a permis la pose de mille et une pierres, le lancement de vastes chantiers aux quatre coins du pays. Une véritable révolution avec ses mille et une batailles lancées contre un ennemi aux visages multiples, crise de logement, enclavement, prise en charge sur les plans de la santé, de l’éducation, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur, prise en charge des problèmes de la jeunesse, notamment pour ce qui est du chômage, de la pratique sportive, culturelle et de loisirs. De la toute minime action lancée au niveau communal aux grands projets d’envergure régionale et nationale, une cadence de développement est imprimée par le Président de la République en personne lequel n’a eu de cesse tout au long de ses toutes premières visites de travail au niveau des wilayas, d’appeler à redoubler d’efforts pour rattraper le temps perdu.
L’eau coule dans les robinets. La bataille de l’eau sera remportée. Entre l’alimentation de toute une ville et le captage d’une eau de source pour les besoins d’une agglomération de montagne, l’effort est le même car animé par une forte volonté politique de répartir équitablement les richesses du pays. Transférer des eaux sur un linéaire de 750 kilomètres est un projet titanesque mais le citoyen est en droit d’être alimenté en eau là ou il se trouve, de même que ses enfants n’ont plus à parcourir des kilomètres pour étudier ou se soigner, le nombre d’infrastructures sanitaires et éducatives ont été multipliées. La dimension sociale du programme du Président de la République y veille.
Ce 5 juillet 2009, nombre d’Algériens ont été au rendez-vous de l’ouverture du Festival panafricain. Pas seulement les Algérois. La desserte autoroutière a domestiqué les distances et le temps. L’autoroute Est-Ouest, la première ligne du métro d’Alger, les grands ouvrages hydrauliques, les nouveaux campus universitaires, mais aussi ces nouvelles cantines scolaires implantées dans l’immensité des profondeurs de l’Algérie, ces nouvelles routes communales, ces nouveaux châteaux d’eau, ces navettes de transport urbain, ces ensembles immobiliers qui ont remplacés à tout jamais ces habitats précaires et les gourbis du colonialisme, tout cela représente les premières conquêtes, les contours de cette nouvelle Algérie qui prend forme partout.
A.M.A.
ELMOUJAHID
Le 5 juillet 2009, l’Algérie s’est réveillée plus forte que jamais. 47 années, cela ne représente rien dans la vie d’une nation, certes mais force est de constater que si le cheminement de l’Algérie n’aura pas été de tout repos, traversant une période des plus douloureuses de son existence ou l’Algérien tuait l’Algérien, le voisin tuant son voisin et le neveu tuant son oncle, un drame, une véritable tragédie alimentée par une « fitna » aux feux dévorants, la trajectoire a été corrigée, le pays remis en selle, l’unité de ses enfants retrouvée et confortée.
En une décennie seulement, un fantastique bond en avant a été réalisé. Des infrastructures gigantesques ont vu le jour. En une décennie, seulement, le véritable socle que représente la Charte pour la paix et la réconciliation nationale a permis la pose de mille et une pierres, le lancement de vastes chantiers aux quatre coins du pays. Une véritable révolution avec ses mille et une batailles lancées contre un ennemi aux visages multiples, crise de logement, enclavement, prise en charge sur les plans de la santé, de l’éducation, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur, prise en charge des problèmes de la jeunesse, notamment pour ce qui est du chômage, de la pratique sportive, culturelle et de loisirs. De la toute minime action lancée au niveau communal aux grands projets d’envergure régionale et nationale, une cadence de développement est imprimée par le Président de la République en personne lequel n’a eu de cesse tout au long de ses toutes premières visites de travail au niveau des wilayas, d’appeler à redoubler d’efforts pour rattraper le temps perdu.
L’eau coule dans les robinets. La bataille de l’eau sera remportée. Entre l’alimentation de toute une ville et le captage d’une eau de source pour les besoins d’une agglomération de montagne, l’effort est le même car animé par une forte volonté politique de répartir équitablement les richesses du pays. Transférer des eaux sur un linéaire de 750 kilomètres est un projet titanesque mais le citoyen est en droit d’être alimenté en eau là ou il se trouve, de même que ses enfants n’ont plus à parcourir des kilomètres pour étudier ou se soigner, le nombre d’infrastructures sanitaires et éducatives ont été multipliées. La dimension sociale du programme du Président de la République y veille.
Ce 5 juillet 2009, nombre d’Algériens ont été au rendez-vous de l’ouverture du Festival panafricain. Pas seulement les Algérois. La desserte autoroutière a domestiqué les distances et le temps. L’autoroute Est-Ouest, la première ligne du métro d’Alger, les grands ouvrages hydrauliques, les nouveaux campus universitaires, mais aussi ces nouvelles cantines scolaires implantées dans l’immensité des profondeurs de l’Algérie, ces nouvelles routes communales, ces nouveaux châteaux d’eau, ces navettes de transport urbain, ces ensembles immobiliers qui ont remplacés à tout jamais ces habitats précaires et les gourbis du colonialisme, tout cela représente les premières conquêtes, les contours de cette nouvelle Algérie qui prend forme partout.
A.M.A.
ELMOUJAHID