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Après l'industrie mécanique, le gouvernement planche sur le secteur du textile et cuir pour le faire sortir de la crise et de la léthargie qui le caractérise depuis des années. A en croire, le secrétaire général de la fédération du textile et cuir affiliée à l'UGTA, Amar Takjout, " un plan de développement et de restructuration est accepté par les pouvoirs publics et sera mis en application très prochainement ". Un plan très " ambitieux ", a souligné Amar Takjout qui était l'invité hier de la radio Chaine III. Il s'articule sur les principaux axes de développement du secteur comme " revoir le parc de production en matière d'investissement, la formation et la réorganisation des filières en regroupant le plus possible ".Pour le SG de la filière textile et cuir il est " impératif " que ce plan soit mis en œuvre car il s'agit de la survie de tout un secteur afin de sauver les entreprises toujours en activité au nombre de 72.
Se voulant optimiste, il a annoncé que l'objectif essentiel est de " récupérer des parts de marché qui reste alimenté essentiellement par des produits importés d'Asie ". actuellement, poursuit-il, le secteur ne détient que " 10% des parts de marché ce qui représente 20 millions de mètres linéaires alors que les besoins sont de 100 millions ". Faisant face à d'énormes difficultés financières, le secteur, espèrent encore ses responsables doit pouvoir bénéficier de soutien dans ce sens à travers " l'effacement des dettes auprès des impôts et de la sécurité sociale " a déclaré Amar Takjout. Ce dernier, a tenu à saluer la décision du gouvernement d'appliquer la notion de " préférence nationale qui permettra aux entreprises algériennes de se développer davantage ". Amar Tkjout a fait savoir en outre, qu'une réunion a regroupé la fédération et la SGP lors de laquelle les deux parties ont fait le bilan des cinq dernières années. Un bilan loi n d'être négatif puisque une croissance de l'ordre de " 19% est enregistrée " mais ce n'est que le résultat des différents plans de " réduction des effectifs et des charges de travail ". Pour le SG de la fédération, " les travailleurs ont consenti beaucoup d'efforts et de sacrifices dont 10.000 ont perdu leur emploi et c'est aux responsables aujourd'hui de faire le maximum pour sauvegarder le secteur".
Amar Takjout veut que les compteurs soient remis à " zéro " pour donner un nouvel élan aux entreprises " d'autant que les moyens " existent mais non sans la volonté de tout le monde" selon lui. Il faut " l'implication de tous les secteurs car la volonté du président de la République ou celle du Premier ministre ne suffit à elle seule ". Les dirigeants des entreprises ont également un rôle à jouer en optant pour " l'innovation et la qualité pour tenter de se replacer sur le marché national et faire face à la concurrence des produits étrangers".
source : Le Maghreb
Se voulant optimiste, il a annoncé que l'objectif essentiel est de " récupérer des parts de marché qui reste alimenté essentiellement par des produits importés d'Asie ". actuellement, poursuit-il, le secteur ne détient que " 10% des parts de marché ce qui représente 20 millions de mètres linéaires alors que les besoins sont de 100 millions ". Faisant face à d'énormes difficultés financières, le secteur, espèrent encore ses responsables doit pouvoir bénéficier de soutien dans ce sens à travers " l'effacement des dettes auprès des impôts et de la sécurité sociale " a déclaré Amar Takjout. Ce dernier, a tenu à saluer la décision du gouvernement d'appliquer la notion de " préférence nationale qui permettra aux entreprises algériennes de se développer davantage ". Amar Tkjout a fait savoir en outre, qu'une réunion a regroupé la fédération et la SGP lors de laquelle les deux parties ont fait le bilan des cinq dernières années. Un bilan loi n d'être négatif puisque une croissance de l'ordre de " 19% est enregistrée " mais ce n'est que le résultat des différents plans de " réduction des effectifs et des charges de travail ". Pour le SG de la fédération, " les travailleurs ont consenti beaucoup d'efforts et de sacrifices dont 10.000 ont perdu leur emploi et c'est aux responsables aujourd'hui de faire le maximum pour sauvegarder le secteur".
Amar Takjout veut que les compteurs soient remis à " zéro " pour donner un nouvel élan aux entreprises " d'autant que les moyens " existent mais non sans la volonté de tout le monde" selon lui. Il faut " l'implication de tous les secteurs car la volonté du président de la République ou celle du Premier ministre ne suffit à elle seule ". Les dirigeants des entreprises ont également un rôle à jouer en optant pour " l'innovation et la qualité pour tenter de se replacer sur le marché national et faire face à la concurrence des produits étrangers".
source : Le Maghreb