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Anniversaire du soulèvement populaire de Zemla

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  • Anniversaire du soulèvement populaire de Zemla

    Anniversaire du soulèvement populaire de Zemla :Le Sahara Occidental ne fera jamais partie du Maroc, à l’instar de Tindouf et de la Mauritanie.

    Le peuple sahraoui qui célèbre aujourd’hui l’anniversaire du soulèvement populaire de Zemla contre le colonialisme espagnol aura accompli ce jour 39 ans de lutte pour recouvrer sa liberté et son indépendance. D’abord contre le colonialisme espagnol, puis cotre le colonialisme marocain, ce peuple aura sacrifié toute une génération et continué le même objectif à donner davantage de sacrifices sur l’autel de la liberté. Déniant aux sahraouis leur droit à l’autodétermination, l’Espagne avait élaboré un document faisant état de l’intégration des populations sahraouies dans la métropole espagnole dans ce qu’elle avait appelé à l’époque "L’Union Hispano-Sahraouie".

    Ces mesures avaient suscité des réactions spontanées devant aboutir à une insurrection populaire réprimée dans le sang par la légion étrangère espagnole, qui sera connue plus tard sous le nom de "L’Intifada de Zemla".

    Le 17 juin 1970, des manifestants conduits par Mohammed Bassiri amènent une pétition au gouverneur général du Sahara espagnol, à El Aaiun. Alors que la manifestation se disperse, la police tente d’arrêter les meneurs ; les manifestants résistent, le gouvernement fait intervenir la légion étrangère espagnole qui tire sur la foule, faisant 11 morts. Des centaines de personnes sont arrêtées dans les jours suivants, dont Bassiri, qui disparaît en prison, vraisemblablement assassiné ou torturé à mort.

    Mohamed Sidi Brahim Bassiri payera de sa vie à l’image d’autres militants sahraouis, le tribut de la liberté et de l’indépendance.

    L’Intifada de Zemla en 1970 sera la dernière tentative pacifique pour le recouvrement des droits du peuple sahraoui à la liberté et à l’indépendance et le prélude, trois années plus tard, au déclenchement de la lutte armée sous la conduite du Front Polisario.

    Après 39 ans, la lutte du peuple sahraoui se poursuit malgré le piège du cessez-le-feu et du processus de paix entamé sous les auspices des Nations Unies. Un cessez-le-feu qui a permis au Maroc de prendre le souffle après la lourde défaite militaire imposée par l’armée de libération sahraouie. Aujourd’hui, malgré la tentative de déviation du conflit de sa vraie nature, un problème de décolonisation, la cause sahraouie est plus que jamais renforcée par la légalité internationale et une nouvelle génération de jeunes combattants décidés à reprendre la flamme et à arracher leurs droits coûte que coûte. Ils ont juré que le Sahara Occidental ne fera jamais partie du Maroc, à l’instar de Tindouf et de la Mauritanie.

    Bellacio

    Mercredi 17 Juin 2009
    "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

  • #2
    Il faut donner la vraie source

    [SIZE=-1][B]De : Diaspora Sahraouie
    mercredi 17 juin 2009

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    • #3
      lol le titre " Zemla "
      ptdr sa m'a donné des arrières pensées

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      • #4
        Colloque : Sidi Mohamed Bassir, une figure de la résistance marocaine au Sahara


        Laâyoune : La Tarika Derkaouia Ibrahimia Al Bassiria et l'université Ibn Zohr d'Agadir organisent, les 16 et 17 juin au Palais des congrès de Laâyoune, un colloque sur "Sidi Mohamed Bassir, l'une des figures de la résistance marocaine au Sahara" en commémoration du 38ème anniversaire du soulèvement historique de Zemla.

        Le parcours soufi de Mohamed Bassir dément la propagande du "polisario"

        Mohamed Bassir Lors de cette rencontre, organisée en collaboration avec la région Laâyoune Boujdour Sakia El Hamra, et l'Académie régionale de la région, plusieurs exposés seront animés sur la personnalité de Sidi Mohamed Bassir et sur sa vie, considérée comme un exemple de la lutte contre l'occupant dans les provinces du sud du Royaume.

        C'est ainsi que Driss Abou Bakr, du Haut commissariat aux anciens résistants et anciens membres de l'armée de libération, interviendra sur le sujet "la résistance et l'armée de libération au Sahara, exemple de Sidi Mohamed Bassir;, alors que le Dr. Abdelhadi Bassir, fera un exposé sur "Sidi Mohamed Bassir, sa biographie telle que rapportée par les siens".

        Le Pr. Chaouki Benyoub, membre de l'Instance Equité et Réconciliation (IER), interviendra autour du thème "la mémoire retrouvée" avant que Sidi Ahmed Rahal ne fasse un témoignage sur le résistant Sidi Mohamed Bassir en tant que compagnon de lutte lors du soulèvement historique de Zemla.

        Le programme comporte également une intervention du Dr. Boubrik Rahal, professeur à l'Université Ibn Zohr, sur "les Zaouia et les valeurs de fraternité et de communion, la Zaouia des Al Bassir comme exemple", une autre sur "Regards sur les significations du transfert de la Zaouia Bassiria du Sahara au Souss puis à Tadla", qui sera animée par le Dr. Ahmed Abbadi, secrétaire général de la Rabita Mohammedia des Oulémas. Mohamed Ali Laadimi interviendra lui aussi sur le sujet "dénaturalisation de la mémoire par le polisario".

        En marge de cette rencontre scientifique qui sera également marquée par des témoignages des compagnons de lutte du résistant Sidi Mohamed Bassir lors du soulèvement historique de Zemla, sera projeté un documentaire sur ce résistant et sur la Zaouia fondée par son père, Cheikh Sidi Ibrahim Bassir. Une exposition de photos de la résistance et de la Zaouia est également prévue.
        Il est à rappeler que Sidi Mohammed Bassir Ibn Sidi Ibrahim Ibn Sidi M'barak Bassir Al Mouadni Rguibi est né en 1942 à la Zaouiya de son père Cheikh Sidi Ibrahim Bassir Achadiliya Darkaouiya à Bni Ayat dans la province d'Azilal.

        Sidi Mohamed Bassir a reçu les premiers principes de l'enseignement et de la mémorisation du Saint Coran à l'école de la zaouiya avant de rejoindre l'école primaire à Rabat, où il a obtenu un certificat d'études primaires et de poursuivre à Marrakech ses études secondaires à l'université Ibn Youssef.
        Après l'obtention du baccalauréat en 1963, il s'est rendu en Egypte pour étudier la Charia et les sciences politiques, puis en Syrie et au Liban pour des études spécialisées.

        De retour à la Mère Patrie en 1966, Sidi Mohamed Bassir a participé à des forums scientifiques et à la vie politique. Au début, il s'est installé à Casablanca où il a crée les journaux "Achoumoue" et "Al Assas" dans lesquels ont été publiés plusieurs articles sur la culture marocaine sahraouie, l'histoire du Sahara et d'autres chroniques d'opinion sur les événements politiques de l'époque au niveau national et international.

        Une fois informé de son retour à Smara, au Sahara, l'occupant espagnol a entrepris plusieurs tentatives d'intimidation pour notamment le dissuader d'entreprendre des activités religieuses et scientifiques dans les milieux sahraouis. En outre, sa descendance de la famille Al Bassir a amené l'occupant espagnol à renforcer les actes d'intimidation et de provocation contre Sidi Mohamed Bassir dont la famille a été accusée par les Espagnols de faire prévaloir la marocanité du Sahara.

        Le résistant Sidi Mohamed Bassir s'est particulièrement investi dans les milieux de la jeunesse sahraouie pour la sensibiliser à la lutte contre la présence espagnole au Sahara marocain avant de couronner son parcours de résistant en prenant la tête du soulèvement historique de Zemla de Laayoune le 17 juin 1970 durant lequel il a été arrêté en même temps qu'un groupe d'autres résistants et conduit à la prison de Laayoune. Quinze jours après sa détention, aucune information n'a pu être obtenue sur son sort qui reste inconnu depuis lors.


        Agence

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        • #5
          lol le titre " Zemla "
          ptdr sa m'a donné des arrières pensées
          oui ca m'a fait marrer moi aussi....pour nos amis algériens : fik zemla = fik sen3a (en algérien)....bon c'est pas méchant.

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          • #6
            il fut un temps ou un ministre mauritanien venait au maroc . Il s appelait
            "Ould zamel". a la télé , notre presentateur vedette prononcait " Ould zamiiiiiiiiiiil"

            "pd" devint d un coup de langue "collegue".
            Dernière modification par upup, 11 juillet 2009, 01h16.

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            • #7
              soulèvement populaire de Zemla
              Je croyais que c'était une blague au début !

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              • #8
                il fut un temps ou un ministre mauritanine venait au maroc . Il s appelait
                "Ould zamel". a la télé , notre presentateur vedette prononcait " Ould zamiiiiiiiiiiil"
                il y avait aussi la pub sur la chaine arabe mbc ''moukayifatou azzamel'' les climatiseur azzamel .....les climateurs du pd...
                bon treve de plaisanterie,on revient au sujet.

                Commentaire


                • #9
                  rodmaroc / diabolo /upup/Taouz /Overski

                  Y a que ce mot « Zemla » qui a capté vos attentions ?????? CA SE VOIT OU VA VOS ESPRITS VERS ...

                  Pour quoi ne commenter pas l Intifada ? ! PARCE QUE ça fait peur !
                  A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                  • #10
                    Pour quoi ne commenter pas l Intifada ? ! PARCE QUE ça fait peur !
                    quel intifada? celle de zemla? les zwamel(habitants de zemla) ont fait une intifada!!!! j'ai jamais entendu parler de ca. c'est de la désinformation polisarienne houari.

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                    • #11
                      posté par rodmaroc

                      celle de zemla? les zwamel(habitants de zemla)
                      ça sent le vent nauséabond et écœurant de l Ouest !
                      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                      Commentaire


                      • #12
                        @houari
                        comment tu veux que je les appelle??? vas-y qu'on voit ce que tu vas proposer.c'est le nom de leur ville qui pose problème dans mon dialecte,je n'y peux rien. et pour revenir au sujet,tout ca c'est de la désinformations je t'ai dis.la source n'est pas fiable.

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                        • #13
                          houari, lis l article qui parle du chef du soulevement. c etait un sahraoui marocain né a azilal ( haut atlas ) .


                          le polisario qui n existait pas a l epoque essaie de se faire créer une histoire .

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                          • #14
                            Intifada ? ! PARCE QUE ça fait peur !
                            Ooooouuuuuuuuuu............Et on majuscule en plus !

                            C'est vrai qu'on reste sans voix devant l'intifada des zamels !

                            Et moi qui croyais qu'on disais Gay pride !

                            Plus sérieusement, j'ai interrogé les vivants et les morts, j'ai visité les cimetières, j'ai parcouru l'histoire, je suis revenu au Coran et je n'ai jamais entendu d'une région qui s'appelle zemla ou une Intifada des zamels !

                            Commentaire


                            • #15
                              upup

                              le polisario qui n existait pas a l epoque essaie de se faire créer une histoire .
                              Upup
                              Exacte ! L appellation « polisario »n existait pas , mais il existait l appellation en 1970 « MLS » , MAI 73 la création du « F Polisario »
                              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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