Affaire de l’assassinat des moines de Tibérhine
Les anciens agents de renseignements français se spécialisent dans la désinformation
L’affaire de l’assassinat des sept moines de Tibérhine, dans la wilaya de Médéa, en 1996, est « un ancien plan des agents des renseignements français », a indiqué un haut responsable au gouvernement. A peine la tension de l’axe Paris Alger, commence à s’apaiser, qu’une autre crise vient de surgir, comme il a été le cas, l’année dernière, quand l’Algérie a émis des réserves sur le projet de l’union pour la Méditerranée, entre autres le rôle de l’état hébreux. Alors que les autres pays voisins de l’Algérie, se sont précipités pour rafler les postes importants et les structures de cette nouvelle union. La position de l’Algérie n’a pas été claire envers ce projet, qui a été « enterré » par l’agression d’Israël contre Gaza.
Dans ce cadre, et à chaque fois qu’on constate un apaisement dans les relations Algéro-Françaises, la gauche française, connue par ses hostilités historiques contre l’Algérie, exhume une autre crise. Citons, dans ce sens, l’arrestation du diplomate algérien, Mohamed Ziane Hasseni, qui a été accusé d’être derrière l’assassinat de l’avocat Ali Mecili. Il fut libéré, sans que les autorités françaises daignent adresser des excuses aux autorités algériennes.
Il y a quelques semaines, une autre affaire a été exhumée, celle de Mami, alors que la pression française a été exercée « pour la restitution de la petite Safia Sharbook », cette affaire ayant nécessité l’intervention du président français, Nicolas Sarkozy, auprès du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika.
Selon un responsable algérien, un officier des services de renseignements algériens, en retraite, les officiers des renseignements, trouvent, de temps en temps, des « éclats médiatiques », leur permettant de réaliser les objectifs qu’ils n’ont pas pu réaliser quand ils étaient en service, ajoutant que cette méthode est dépassée, mais certains français l’adoptent toujours.
11-07-2009
EL-KHABAR
Les anciens agents de renseignements français se spécialisent dans la désinformation
L’affaire de l’assassinat des sept moines de Tibérhine, dans la wilaya de Médéa, en 1996, est « un ancien plan des agents des renseignements français », a indiqué un haut responsable au gouvernement. A peine la tension de l’axe Paris Alger, commence à s’apaiser, qu’une autre crise vient de surgir, comme il a été le cas, l’année dernière, quand l’Algérie a émis des réserves sur le projet de l’union pour la Méditerranée, entre autres le rôle de l’état hébreux. Alors que les autres pays voisins de l’Algérie, se sont précipités pour rafler les postes importants et les structures de cette nouvelle union. La position de l’Algérie n’a pas été claire envers ce projet, qui a été « enterré » par l’agression d’Israël contre Gaza.
Dans ce cadre, et à chaque fois qu’on constate un apaisement dans les relations Algéro-Françaises, la gauche française, connue par ses hostilités historiques contre l’Algérie, exhume une autre crise. Citons, dans ce sens, l’arrestation du diplomate algérien, Mohamed Ziane Hasseni, qui a été accusé d’être derrière l’assassinat de l’avocat Ali Mecili. Il fut libéré, sans que les autorités françaises daignent adresser des excuses aux autorités algériennes.
Il y a quelques semaines, une autre affaire a été exhumée, celle de Mami, alors que la pression française a été exercée « pour la restitution de la petite Safia Sharbook », cette affaire ayant nécessité l’intervention du président français, Nicolas Sarkozy, auprès du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika.
Selon un responsable algérien, un officier des services de renseignements algériens, en retraite, les officiers des renseignements, trouvent, de temps en temps, des « éclats médiatiques », leur permettant de réaliser les objectifs qu’ils n’ont pas pu réaliser quand ils étaient en service, ajoutant que cette méthode est dépassée, mais certains français l’adoptent toujours.
11-07-2009
EL-KHABAR
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