Paris préfère négocier sous la table
La France a, toujours, constitué une partie de la crise sécuritaire qui avait éclaté, au début des années 90. L’objectif est d’exploiter tous les faits, qui pourraient servir ses intérêts. Paris, dés le début de la crise, avait été le théâtre de vives polémiques.
Paris, qui n’avait pas bien interprétée la crise sécuritaire, avait fourni les conditions idoines pour les activités des chefs de groupes terroristes, un espace de manœuvre pour les réseaux de soutien et de collecte de fonds, pendant de longues années.
Cependant, c’est aussi la France, qui avait poussé l’Union Européenne à prendre une décision, interdisant la vente d’armes pour l’Algérie, tout en lançant des grands débats sur l’origine de la crise et ceux qui étaient derrière, elle avait même accusé l’armée algérienne d’être derrière les assassinats et les carnages. Dans le même sillage, elle avait tenté d’avoir, à l’époque, quelques données sur la crise sécuritaire et ses principaux acteurs médiatiques, afin qu’elle puisse les utiliser pour ses intérêts, plus tard.
Si Paris a préféré faire preuve d’un sale pragmatisme, durant les années de crise, elle a commis des erreurs, car l’Algérie a pu dépasser ses moments difficiles, elle a pu diversifier ses partenaires économiques, et a, notamment, ouvert le marché aux russes et aux américains, et, en contrepartie, la présence française s’est considérablement rétrécie.
Donc, ce sont les défaites économiques, qui ont coïncidé avec une aisance financière sans précédent, en Algérie, que Paris n’arrivent pas digérer, sachant que Paris joue bien « sous la table », c’est pourquoi la majorité de la classe politique, en France, est impliquée dans des affaires de corruption.
11-07-2009
El-khabar
La France a, toujours, constitué une partie de la crise sécuritaire qui avait éclaté, au début des années 90. L’objectif est d’exploiter tous les faits, qui pourraient servir ses intérêts. Paris, dés le début de la crise, avait été le théâtre de vives polémiques.
Paris, qui n’avait pas bien interprétée la crise sécuritaire, avait fourni les conditions idoines pour les activités des chefs de groupes terroristes, un espace de manœuvre pour les réseaux de soutien et de collecte de fonds, pendant de longues années.
Cependant, c’est aussi la France, qui avait poussé l’Union Européenne à prendre une décision, interdisant la vente d’armes pour l’Algérie, tout en lançant des grands débats sur l’origine de la crise et ceux qui étaient derrière, elle avait même accusé l’armée algérienne d’être derrière les assassinats et les carnages. Dans le même sillage, elle avait tenté d’avoir, à l’époque, quelques données sur la crise sécuritaire et ses principaux acteurs médiatiques, afin qu’elle puisse les utiliser pour ses intérêts, plus tard.
Si Paris a préféré faire preuve d’un sale pragmatisme, durant les années de crise, elle a commis des erreurs, car l’Algérie a pu dépasser ses moments difficiles, elle a pu diversifier ses partenaires économiques, et a, notamment, ouvert le marché aux russes et aux américains, et, en contrepartie, la présence française s’est considérablement rétrécie.
Donc, ce sont les défaites économiques, qui ont coïncidé avec une aisance financière sans précédent, en Algérie, que Paris n’arrivent pas digérer, sachant que Paris joue bien « sous la table », c’est pourquoi la majorité de la classe politique, en France, est impliquée dans des affaires de corruption.
11-07-2009
El-khabar
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