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Alger la blanche croule sous les ordures, les poubelles pleines ou vides éparpillées tous azimuts dans nos rues, Boulevards, Cités et quartiers. Les amas de sacs d’ordures à ciel ouvert sont visibles de loin. Les odeurs nauséabondes dans les places publiques, à l’image de la grande poste, au Square Port-said, ou à la Place des Martyrs, d’où les coins érigés en éboulis à force du temps.
Pareil pour les trottoirs qui font l’objet de discussions quotidiennes. Carcasse de chaises, cuisinières, tables et autres sachets jonchent à longueur de journée le sol. L’insalubrité se dégage presque à chaque coin des quartiers et rues, dont les Rues Didouche-Mourad, Larbi-Ben M’hidi, Reda-Houhou, Khelifa Boukhalfa, Hassiba Ben Bouali, le Squart port saïd, Bouzrina, sont quelques endroits cités entre autres. Et pourtant, « c’est une question de civisme d’abord, au delà des moyens humains et matériels mis en place » diront la plupart des citoyens et responsables que nous avons sollicités. Il suffit de gestes simples: - d’abord, ne pas jeter les ordures n’importe où, – Deuxièmement : Dépôt des sacs poubelles aux horaires réglementés. C’est-à-dire de 20 h00 à 22 h. Au-delà de quelques règles élémentaires, c’est la pollution de l’environnement, C’est l’image d’Alger capitale de l’Afrique, version juillet 2009 qui se dégrade au fil du temps, nous diront les nombreux citoyens que nous avons interrogés. Alger à l’instar d’autres villes de l’intérieur du pays, tel que Sétif, Sidi Bel Abbès et autres villes connues pour leur propreté, mérite mieux, en trouvant une solution idoine appropriée aux besoins de la capitale, à l’instar d’autres capitales propres du monde telle que Zurich en Allemagne, Paris ou Lausane en Suisse. Pourquoi pas, mais pour en arriver au minimum, beaucoup reste à faire en matière de civisme et collecte d’ordures ménagères.
Courrier d'Algerie.
Pareil pour les trottoirs qui font l’objet de discussions quotidiennes. Carcasse de chaises, cuisinières, tables et autres sachets jonchent à longueur de journée le sol. L’insalubrité se dégage presque à chaque coin des quartiers et rues, dont les Rues Didouche-Mourad, Larbi-Ben M’hidi, Reda-Houhou, Khelifa Boukhalfa, Hassiba Ben Bouali, le Squart port saïd, Bouzrina, sont quelques endroits cités entre autres. Et pourtant, « c’est une question de civisme d’abord, au delà des moyens humains et matériels mis en place » diront la plupart des citoyens et responsables que nous avons sollicités. Il suffit de gestes simples: - d’abord, ne pas jeter les ordures n’importe où, – Deuxièmement : Dépôt des sacs poubelles aux horaires réglementés. C’est-à-dire de 20 h00 à 22 h. Au-delà de quelques règles élémentaires, c’est la pollution de l’environnement, C’est l’image d’Alger capitale de l’Afrique, version juillet 2009 qui se dégrade au fil du temps, nous diront les nombreux citoyens que nous avons interrogés. Alger à l’instar d’autres villes de l’intérieur du pays, tel que Sétif, Sidi Bel Abbès et autres villes connues pour leur propreté, mérite mieux, en trouvant une solution idoine appropriée aux besoins de la capitale, à l’instar d’autres capitales propres du monde telle que Zurich en Allemagne, Paris ou Lausane en Suisse. Pourquoi pas, mais pour en arriver au minimum, beaucoup reste à faire en matière de civisme et collecte d’ordures ménagères.
Courrier d'Algerie.
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