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La Maghreb Valley

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  • La Maghreb Valley

    Les délocalisations vers le Maghreb touchent de plus en plus d'entreprises de la High Tech et du domaine de l'informatique. Mais aussi de nombreuses entreprises locales décollent est semble être promise à un avenir radieux.

    A votre avis quel sont les filons a exploiter ?

    Comment nos gouvernement peuvent-ils accompagner ces entreprises ?

    Comment pouvous nous faire au Maghreb pour constituer des entreprises régionales dynamiques ?

    Comment pouvous nous faire pour créer des partenariat entreprises université etc... ?

    L'article sur le site animaweb :

    http://www.animaweb.org/Documents/magrhebvalley.pdf

    Le site du tecknopark de Casablanca :

    http://www.casablanca-technopark.ma/

    Le site du parc technologique de Tunis :

    http://www.elgazalacom.nat.tn/

  • #2
    Du rêve a la réalité

    A votre avis quel sont les filons a exploiter ?

    Je croit que le secteur des télécommunications offre et offrira au maroc par exemple de plus en plus d'opportunités pour les gens souhaitant fournir des applications a valeur ajoutée sur l'infrastructure existante,la bande passante qui deviendra plus accessible avec l'entrée sur le marche de deux nouveaux opérateurs de telephonie fixe offrira de bonnes possibilités pour la voix sur IP,le wimax,le GSM etc etc ..

    Les logiciels destines a optimiser le fonctionnement d'une entreprise que ce soit la chaîne logistique,la chaîne de production,la comptabilité,le contrôle de gestion ou autre sont aussi promus a un bel essor.

    Le secteur de la formation est tres porteur aussi.

    Et bien sur les services destines a l'offshore,comme la programmation des jeux,la programmation du hardware,le support technique a distance...

    Comment nos gouvernement peuvent-ils accompagner ces entreprises ?

    Tout d'abord en faisant participer les entreprises locales dans touts les projets structurants que le gouvernement entreprend,au maroc le e-governement,la restructuration de l'informatique des services publiques.

    Puis en leur offrant des avantages fiscaux conséquents,et en élevant la qualité de la formations,m'occupant moi même de la gestion d'une société informatique j'ai du mal a trouver les profiles pointus pour certains projets.

    En mobilisant les représentations diplomatiques a l'étranger pour quelles soient a l'écoute des divers changements de réglementation au niveau européen ou américain,de leur faire faire une veille technologique permanente,et de fournir une assistance marketing aux petites entreprises.

    et il y a bien sur le problème d'accès aux sources de financement,et le problème de règlement des créances publiques et privées.

    Comment pouvous nous faire au Maghreb pour constituer des entreprises régionales dynamiques ?

    Lancer des projets structurants régionaux,en donnant la priorité aux entreprises locales,faire des partenariats avec les états unis,
    l'europe et le japon pour des projets communs,par exemple ça aurait pu être le projet Galileo,lancer des réflexions de marketing sur des projets informatiques spécifiques a la région,partir en quelque sorte a la recherche de niches très spécifiques comme le font par exemple les israeliens.

    Favoriser le regroupement d'entreprises maghrébines.

    Établir une base de données sur les projets publiques et privées en cours dans chaque pays.

    Comment pouvous nous faire pour créer des partenariat entreprises université etc... ?

    Faire travailler les professeurs de l'Université sur les projets open source,augmenter la durée des stages étudiants,prendre les étudiants en travail a mi temps pour découvrir a un stade précoce les bons éléments et les retenir au pays.

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    • #3
      Comment pouvous nous faire pour créer des partenariat entreprises université etc... ?


      Justement j'ai une information pour ça.
      C'est au maroc.



      Partenariat université/entreprise, c’est possible!

      · Des privés témoignent de la réussite de leur partenariat

      · A quand la création d’un cadre de coopération durable?

      · Une table ronde organisée par l’AmCham donne des pistes


      Plus touchés par le chômage, les diplômés des universités marocaines restent toujours lésés par la prépondérance du volet théorique dans leur formation. La réforme de l’enseignement supérieur, en accentuant les cours pratiques, ne réussit toujours pas à effacer cette impression négative. «Il est plus évident pour une société de conclure des partenariats avec des écoles spécialisées qu’avec des universités», souligne Karim Tazi, président de l’Association marocaine des industries du textile et de l’habillement (Amith), lors d’une table ronde organisée mercredi à Casablanca par la Chambre américaine de Commerce (AmCham). Plusieurs autres acteurs privés ont été appelés à témoigner de leur expérience avec des établissements de formation.
      Une étude menée par l’AmCham sur le climat des affaires démontre l’incompatibilité des profils des candidats avec la demande sur le marché du travail. «Nous avons ainsi décidé de faire l’effort de rapprocher ces deux acteurs, liés de fait, par une relation fournisseur-client», indique Rabia El Alama, directrice de programme à l’AmCham. Sur le terrain, plusieurs cas de partenariat ont réussi. La coopération ne se limite pas à trouver des postes pour des diplômés chômeurs. Loin de là puisque les entreprises peuvent même intervenir dans la formation. C’est le cas de Microsoft. La société offre aux étudiants les moyens matériels de s’ouvrir sur les nouvelles technologies de l’information. L’expérience a été menée au niveau de deux universités marocaines. Concrètement, des cours reconnus et enseignés au niveau mondial ont été proposés aux étudiants. Le représentant de la société a expliqué que si certains s’en sont servis pour se convertir dans le domaine des TIC, d’autres en ont profité pour renforcer leur qualification auprès des recruteurs.
      Une autre expérience a été exposée par l’Office chérifien des phosphates (OCP). Plusieurs formes de coopération ont été évoquées, notamment le soutien à la recherche, la formation diplômante ou qualifiante, ou encore l’accompagnement des jeunes entrepreneurs. Ces différentes opérations ont été menées, entre autres, auprès de l’Ecole Mohammadia des ingénieurs, l’Institut agronomique et vétérinaire ainsi qu’auprès de l’Université Cadi Ayyad à Marrakech.
      Plus que cela, les responsables de l’OCP ont été à l’origine de la création de nouvelles branches, en l’occurrence au sein de l’Université de Settat. Il s’agit de nouvelles spécialités touchant au domaine d’action de l’Office et qui viennent en réponse à ses besoins.
      L’Association des incubateurs d’entreprise d’El Jadida, a, pour sa part, livré les résultats de la première phase de sa coopération avec le Club de Benguérir pour les jeunes entrepreneurs. L’expérience a permis la création d’un grand nombre de projets, notamment des usines de confection et des projets d’apiculture dans la région.
      Dans le secteur du textile, Karim Tazi, directeur de la société Richbond, a rapporté le cas de coopération entre l’entreprise et l’Ecole supérieure des industries du textile et de l’habillement (ESITH). Une école, exique-t-il, «qui a été créée sur la demande des industriels». Richbond s’est engagée avec les étudiants de l’Esith à travers diverses formes de coopération. Le doigt est mis actuellement sur les moyens d’insérer les jeunes dans le monde du travail et la création de nouvelles filières de spécialisation.
      C’est enfin le président de l’Association Al Jisr et vice-président du groupe Attijariwafa bank, M’hammed Abbad Andaloussi, qui ont fermé le bal des témoignages. Impliqué dans différentes opérations de soutien à l’emploi des jeunes, Andaloussi a étonné l’auditoire en évoquant une initiative inédite. Celle-ci consiste à charger un dirigeant d’entreprise à assister pendant trois ans un jeune entrepreneur. L’objectif est de l’aider à mener son projet.
      La présidente de l’Université Hassan II de Mohammédia, Rahma Bourkia, a, par ailleurs, appelé à la recherche d’un cadre mieux organisé et plus durable à la coopération université/entreprise. «Cette relation existe mais c’est uniquement le fruit de quelques occasions hasardeuses. L’initiative ne vient de personne», regrette-t-elle.
      Une proposition a été en outre formulée par le représentant de l’OCP: la confection d’une cartographie des régions marocaines recensant les besoins et les spécificités socioéconomiques de chacune. Selon lui, cela donnera une meilleure visibilité aux entrepreneurs.
      Rappelons enfin que dans la semaine à venir, une réunion est attendue entre les patrons de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) et les présidents des universités marocaines. Des formes mieux organisées de coopération devront y être discutées.

      L’alliance pour l’éducation et l’emploi


      Une alliance marocaine pour l’éducation et l’emploi (MEEA) a été récemment formée. C’est une organisation pilotée par la Fondation internationale des jeunes (IYF), présente au Maroc depuis octobre dernier. MEEA regroupe des membres de sociétés privées ou de la société civile: L’Association Femmes chefs d’entreprise, la Fédération PME/PMI, la CGEM, l’AmCham, Al Jisr, Usaid ainsi que le Conseil maroco-américain pour le commerce et l’industrie. Cette nouvelle organisation se fixe l’objectif de soutenir l’innovation à travers le financement de projets. Elle vise également la sensibilisation du secteur privé à sa responsabilité sociale dans l’emploi des jeunes. Le Maroc a été choisi par l’IYF pour expérimenter cette initiative d’alliance ainsi que cinq autres pays-pilotes à travers le monde.

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      • #4
        Deux nouveaux parcs technologique au Maroc

        J'ai vue dans la presse les préparatifs pour la création d'un parc technologique a Rabat et Bouznika pour répondre au demande croissante des entreprises High Tech au Maroc.

        Voici un dossier sur les nouvelles technologies de l'information publier par l'économiste :

        http://www.leconomiste.com/dossiers/...r.html?d=6&r=4

        Voici un document qui traite du parc de Bouznika et de selui de Sophia antipolis prés de Marseille en France :

        http://www.sophia-antipolis.org/Actu...gation2002.htm

        Voici un document sur les parc technologique tunisien :

        http://www.elgazalacom.nat.tn/fr/ani...able_ronde.pdf

        Elgazala Technologie des communications
        Sidi Thabet Biotechnologie, industrie pharmaceutique
        Borj Cédria Biotechnologie végétale, énergie renouvelable
        Sousse Mécanique, électronique& informatique
        Sfax Informatique & multimédia
        Monastir Textile & habillement
        Bizerte I ndustrie agroalimentaire

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        • #5
          il est le premier de 3 parcs technologiques + grand ecole + hotel

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          • #6
            il est le premier de 3 parcs technologiques + grand ecole + hotel
            Tizinissa j'ai pas trés bien compris ton post !

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            • #7
              Ok Menara, j'avais hate de le finir

              Le parc que tu as cités n'est que l'un de trois parcs technologiques qui ont ete projetés. C'est a dire que deux autres vont etre prochainement battis. l'un a Casbalanca et l'autre je ne sais pas ou.

              il s'agit non seulement d'un parc technologique contenant de differentes boites mais il contient aussi une grande ecole, des salles de congrés, une cité universitaire et un hotel pour les visiteurs.

              l'ecole est en partie sponsorisée par des socités de renomés internationales et elle a signé des accords d'echanges technologiques avec des universités etrangeres.

              Voila, j'espere que le troisieme parc serait a Marrakech bien que je pense qu'il ira probalement vers Tanger !!

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              • #8
                Un bon exemple de cooperation universite-entreprise

                http://www.**********/Infos/includes...le=Technologie


                L’Université Al Akhawayn (AUI) ambitionne faire d’Ifrane l’un des pôles technologiques actifs du Royaume. Pour concrétiser ce vœu, une politique d’encouragement de l’émergence de jeunes pousses qui s’investissent dans le high-tech a été mise en place notamment à travers une démarche d’incubation et d’accompagnement des lauréats porteurs de projets.

                C’est le cas de la société Intelegencia qui a profité de l’accueil et du soutien du laboratoire Etech (e-technology research Laboratory) de l’Université pour se spécialiser dans le développement de solutions basées sur les systèmes d’information géographique (SIG).


                Intelegencia a déjà à son actif le développement d’un SIG basé sur SVG et XML pour les villes d’Ifrane, El Hajeb et Azzarou. «Sur la base de cette expérience concluante, l’AUI s’active pour boucler une carte du Moyen Atlas basée sur les SIG », révèle le jeune manager de Intelegencia, Omar Rabi.

                Ce lauréat de « Al Akhawayn » a eu l’occasion également de travailler sur un projet de SIG basé sur l’utilisation des assistants personnels (PDA).

                La signature récemment d’un accord de recherche et de développement avec Maroc Telecom constituera certainement un tournant pour E-Tech et Intelegencia. En effet, IAM vient de signer un accord avec l’Université Al Akhawayn pour développer, grâce à un budget de 1,4 million de DH, un système de « géo-gsm ». Objectif : concevoir un système de services de proximité et de localisation pour les clients GSM de l’opérateur (LBS).

                Techniquement, la localisation basée sur le réseau GSM repose sur les informations transmises par un serveur de localisation (appelé serveur LES : Location Enabling Server) géré par l’opérateur. Pour déterminer l’endroit où se situe un GSM, l’opérateur divise le cercle d’émission d’une antenne en cellules. Chaque cellule à un identifiant, le Cell-ID, et un degré de précision. Sur base de ces informations, une solution de géo-gsm déterminera la position d’un GSM.

                A rappeler qu’outre Intelegencia, le laboratoire E-Tech incube la société Enhanced Technologies spécialisées dans le développement de solutions e-gov.

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                • #9
                  Implentation d'Ares au Maroc

                  Encore un nouveau venus dans la High tech au Maroc !!!!!

                  http://www.lejournal-hebdo.com/artic...d_article=6194

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                  • #10
                    Ismail

                    Ismail ton lien ne fonction pas peux tu le redonner stp

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                    • #11
                      pardon menara.voila le lien

                      http://www.**********/Infos/includes...le=Technologie

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                      • #12
                        **********
                        /Infos/includes/
                        detail.asp?article_id=10979&lmodule=Technologie

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                        • #13
                          Galileo

                          menara,il ya un bug dans le site pour le lien en haut il faut mettre www-menara-ma a la place des ***.

                          d'autre part,ci joint une info intéressante sur le démarrage du programme galileo au maroc

                          http://www.leconomiste.com/article.html?a=67333

                          .......................................
                          Le Maroc est le cinquième pays tiers à adhérer au programme Galileo, après la Chine, Israël, l’Ukraine et l’Inde. Début 2006 seront lancées au Maroc les premières actions dans le cadre d’un programme Meda lié aux activités Galileo. Il aura pour mission essentielle de réaliser des actions de sensibilisation, de formation et de démonstration sur les services de radionavigation par satellite dans la région méditerranéenne. Doté d’un subside de 250.000 euros (10% du budget total Meda prévu pour ce type d’actions), ce projet regroupera 7 sociétés ou institutions marocaines:
                          L’Université Al Akhawayn d’Ifrane: conduite d’un des 4 projets de démonstration à grande échelle et missions de formation et d’actions de sensibilisation.
                          Onda (Office national des aéroports): participation au programme régional Meda de préparation et implication dans un des 6 projets de démonstration locaux.
                          ■ Comanav (Compagnie marocaine de navigation): projet de démonstration à grande échelle pour le transport de fret multimoda.
                          Net Secure Solution & Akwa Logistics (systèmes de transports routiers): projet de démonstration à grande échelle pour le transport des marchandises dangereuses.
                          Globastar Northern Africa (fournisseur de services télécoms): projet de démonstration local dans le domaine de la surveillance des pêcheries.
                          Smile Maroc Technologies (développement de logiciels): projet de démonstration local dans le domaine des aéroports.
                          Cadthec (Société marocaine de services, d’études et de conseil en systèmes d’information géographiques): projet de démonstration local dans le domaine de l’e-tourisme et la sécurité routière).

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                          • #14
                            la filière des centres d'appel

                            la filière des centres d'appel est très génératrice d'emploi,rien que maroc telecom compte en créer 20000 l'année prochaine,pour une clientèle essentiellement francophone et hispanophone.

                            Bonne action de la part de maroc telecom....

                            ----------------------

                            D'une valeur de 32 millions dh, ce centre constitue un modèle pour la création de centres similaires dans d'autres villes du Royaume et une contribution à l'amélioration de la compétitivité internationale du Maroc.

                            Le centre constitue à la fois un projet concret d'emplois des jeunes dans les nouveaux métiers des nouvelles technologies et un pilote pour les centres d'appels délocalisés au Maroc qui verront le jour dans d'autres villes du Royaume. Il sera procédé en 2006 à la création de 150 centres à travers le Royaume permettant la création de 20.000 postes d'emplois.

                            source :
                            **********
                            /nfos/includes/detail.asp?lmodule=Maroc&article_id=6026

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                            • #15
                              Les centres d'appels

                              Oui les centres d'appels sont de véritables mine d'or mais surtout il sont de grands générateurs d'emploi

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