Le ministre de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil, n'a pas exclu une nouvelle baisse de la production des pays de l'Opep à l'occasion de la prochaine réunion du cartel. Le ministre qui effectuait hier une visite à Tizi Ouzou, a rappelé que la reprise du prix du baril est une conséquence de la dernière décision de l'Opep sur la réduction de l'ordre de 2,2 millions de barils prise lors du sommet tenu en décembre à Oran.
Abordant au cours d'un point de presse la question des réserves algériennes de pétrole, il a indiqué que «les réserves actuelles de pétrole sont au même niveau que celles de 1971 au temps où j'étais chef de département des gisements de la Sonatrach et ce malgré les 38 années de production et d'exportation, grâce à la technologie utilisée». Avant de révéler que même les réserves en gaz naturel de l'Algérie sont appelées à être revues à la hausse par le recours aux surfaces de shifts comme cela se fait aux USA grâce au développement de la technologie utilisée. A une question relative à la contrainte sécuritaire qui pèse sur le projet de construction du gazoduc transsaharien en partenariat entre le Nigeria, le Niger et l'Algérie dont l'accord a été signé le 09 juillet dernier à Abuja, M. Chakib Khelil a répondu que «la zone sera mieux sécurisée grâce à ce gazoduc de 4.000 km et nous pouvons le protéger comme nous le faisons pour les 16.000 km de gazoduc aujourd'hui». Et de souligner que ce projet ne travaille pas pour l'intérêt de certains d'où cette focalisation sur son aspect sécuritaire. La sécurisation des zones à risques majeures de par les installations pétrolières et les zones industrielles qu'elles abritent a vu déjà la prise d'une importante mesure par le gouvernement, à savoir l'interdiction de construction de nouvelles bâtisses sans le respect des normes requises.
Le quotidien d'oran
Abordant au cours d'un point de presse la question des réserves algériennes de pétrole, il a indiqué que «les réserves actuelles de pétrole sont au même niveau que celles de 1971 au temps où j'étais chef de département des gisements de la Sonatrach et ce malgré les 38 années de production et d'exportation, grâce à la technologie utilisée». Avant de révéler que même les réserves en gaz naturel de l'Algérie sont appelées à être revues à la hausse par le recours aux surfaces de shifts comme cela se fait aux USA grâce au développement de la technologie utilisée. A une question relative à la contrainte sécuritaire qui pèse sur le projet de construction du gazoduc transsaharien en partenariat entre le Nigeria, le Niger et l'Algérie dont l'accord a été signé le 09 juillet dernier à Abuja, M. Chakib Khelil a répondu que «la zone sera mieux sécurisée grâce à ce gazoduc de 4.000 km et nous pouvons le protéger comme nous le faisons pour les 16.000 km de gazoduc aujourd'hui». Et de souligner que ce projet ne travaille pas pour l'intérêt de certains d'où cette focalisation sur son aspect sécuritaire. La sécurisation des zones à risques majeures de par les installations pétrolières et les zones industrielles qu'elles abritent a vu déjà la prise d'une importante mesure par le gouvernement, à savoir l'interdiction de construction de nouvelles bâtisses sans le respect des normes requises.
Le quotidien d'oran
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