Le jour se lève !
Les cœurs reprennent le fardeau des siècles,
Aller vers la nature
Ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?
Mes ancêtres ont toujours franchi l’éclat de l’embrasure
La peur ventrée de cette porte bruyante
Et je marcherai sur leurs traces comme une ombre azure.
L’irréel d’un imaginaire façonne l’espoir de mes frères,
Devant et derrière.
Nous sommes les guerriers des siècles perdus
Dans l’étanchéité d’entre les pages séraphiques de l’histoire
Nous sommes l’espoir de l’histoire
Le miroir éblouissant d’un visage qui se découvre
Le regard vif ardent d’une gravure
Et la marque des siècles sur nos fronts
Signe le retour de l’histoire
Histoire. Espoir, c’est la même chose sur nos chemins étendus
La marche des siècles arrivera à sa fin
La nuit n’est qu’un rêve !
Les berbères et la marche des siècles
Postr@
Les cœurs reprennent le fardeau des siècles,
Aller vers la nature
Ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?
Mes ancêtres ont toujours franchi l’éclat de l’embrasure
La peur ventrée de cette porte bruyante
Et je marcherai sur leurs traces comme une ombre azure.
L’irréel d’un imaginaire façonne l’espoir de mes frères,
Devant et derrière.
Nous sommes les guerriers des siècles perdus
Dans l’étanchéité d’entre les pages séraphiques de l’histoire
Nous sommes l’espoir de l’histoire
Le miroir éblouissant d’un visage qui se découvre
Le regard vif ardent d’une gravure
Et la marque des siècles sur nos fronts
Signe le retour de l’histoire
Histoire. Espoir, c’est la même chose sur nos chemins étendus
La marche des siècles arrivera à sa fin
La nuit n’est qu’un rêve !
Les berbères et la marche des siècles
Postr@
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