La crise économique et le faible pouvoir d’achat accentuent la crise du chômage. Toutes les couches sociales sont touchées : ingénieurs, médecins, universitaires, journalistes, maçons, ouvriers qualifiés… et ce, pour les deux sexes. Cependant, une profession libérale qu’on croyait échapper à la crise vit des moments difficiles. Il s’agit des avocats.
Depuis que quatre avocats ont été interceptés parmi les « harraga », qui risquent de passer quelques jours en prison, les langues se délient. « Oui, il existe des avocats qui n’arrivent pas à payer leurs impôts.
D’autres arrivent difficilement à décrocher une affaire à traiter en six mois», affirme un avocat d’une vingtaine d’années d’expérience. Louer un local, se déplacer d’un tribunal à un autre, et aussi le nombre important des robes noires (une dizaine à Oued Tlélat) compliquent la situation et rendent difficile l’exercice de la profession.
N.BDepuis que quatre avocats ont été interceptés parmi les « harraga », qui risquent de passer quelques jours en prison, les langues se délient. « Oui, il existe des avocats qui n’arrivent pas à payer leurs impôts.
D’autres arrivent difficilement à décrocher une affaire à traiter en six mois», affirme un avocat d’une vingtaine d’années d’expérience. Louer un local, se déplacer d’un tribunal à un autre, et aussi le nombre important des robes noires (une dizaine à Oued Tlélat) compliquent la situation et rendent difficile l’exercice de la profession.
L'Echo d'Oran
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