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Festival de Melbourne : L'Algérie à l'affiche avec comme thème l'esclavagisme

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  • Festival de Melbourne : L'Algérie à l'affiche avec comme thème l'esclavagisme

    Festival de Melbourne, L'Algérie à l'affiche sous fond d'esclavagisme

    Camps de Tindouf

    Les pratiques d'esclavage en images

    Le film «Stolen» dévoile le calvaire des séquestrés lors du festival de Melbourne

    Publié le : 15.07.2009


    Les organisateurs du Festival international du film de Melbourne ont retenu dans la programmation le film documentaire "Stolen" (Volés), qui dénonce les pratiques esclavagistes et la traite humaine dans les camps de Tindouf, en Algérie, en dépit des tentatives des adversaires du Maroc d'empêcher sa projection.

    La projection de ce documentaire fait suite à l'accord de la Fondation "Australian Screen" et celui du gouvernement australien, comme cela fut le cas en juin dernier, lors du festival international du cinéma de Sidney. Le public, des cinéphiles et des critiques, se sont arrêtés sur l'ampleur des souffrances des populations marocaines sahraouies séquestrées dans les camps de Tindouf, et qui font l'objet de tous genres de pratiques d'avilissement de la part des tortionnaires du "polisario", ainsi que de leurs parrains, les officiers de la sécurité militaire algérienne. Programmé dans le cadre du festival de Melbourne (du 24 juillet au 9 août), "Stolen", une œuvre de l'australo-bolivienne, Violeta Ayala, coréalisatrice avec l'Australien Dan Fallshaw, relate en 75 minutes une douloureuse histoire d'esclavage et de traite humaine dans les camps de Tindouf. Il s'agit de Fatim Salam qui retrouve sa mère "M'barka", après trois décennies de séparation.

    Toutes deux avaient été, en effet, vendues par les trafiquants d'êtres humains qui règnent en maîtres à Tindouf. M'barka ne mâche pas ses mots. Elle raconte dans ce documentaire, comment elle s'est tombée dans les griffes d'un homme qui la traitait en esclave et avec qui elle a eu plusieurs enfants. La souffrance ne s'arrêta pas là, puisque la fille du maître alla à son tour prendre Fatim, fille de M'barka, en esclavage. Le martyre ne fait que s'accentuer, entraînant les victimes dans des souffrances indescriptibles. Fins enquêteurs, les deux réalisateurs ont levé le voile sur une autre histoire d'une femme qui a exhibé devant la caméra son "acte de libération d'esclavage", soulignant que "si quelqu'un ose parler d'esclavage, il ira tout simplement en prison, ou disparaîtra une fois pour toutes". N'ayant rien retenu de leurs vaines tentatives lors du Festival de Sidney, en juin dernier, les séparatistes reviennent à la charge cette fois-ci, récoltant le même échec avec leurs soutiens, des éléments gauchistes australiens marginaux, dans leur tentative d'écarter "Stolen" de la programmation.

    Les séparatistes et leurs soutiens en étaient réduits à monter une mascarade débile, qui a laissé incrédules les cinéphiles, critiques et journalistes présents au festival international de Sidney. Ils ont, en effet, fait monter sur scène l'héroïne du documentaire, ramenée depuis les camps de Tindouf, pour lui faire dire, d'une voix cassée par la peur et l'effroi : "Je suis l'héroïne de ce documentaire, je ne faisais que jouer". Accompagnée de son mari, Fatim dont la voix et les traits du visage expriment toute l'angoisse et la peur, était restée depuis juin dernier en Australie pour se prêter, malgré elle, au même rôle, soufflé par ses maîtres-chanteurs. Dans un récent point de presse, l'Australo-bolivienne, Violeta Ayala, a affirmé qu'elle est "vraiment désolée de ce qui se passe avec Fatim, contrainte à venir en Australie et jouer dans une misérable pièce de théâtre". "J'ai parlé à sa mère ainsi qu'à son frère qui m'ont assurée qu'elle a été obligée de quitter les camps, +nous ne voulions pas qu'elle parte et quitte ses enfants, maintenant lorsque nous lui parlons, nous n'écoutons que cette peur qui l'habite. Elle ne peut pas parler+", a-t-elle dit.

    De leur côté, les organisateurs du festival international de Sidney et les faiseurs de cinéma en Australie ont soutenu la décision de projection et regretté la vaine tentative de politisation de ce documentaire. Le directeur exécutif du festival de Sidney, Marc Sarvaty a indiqué que "le choix de ce documentaire a été approprié. Nous n'avons pas l'habitude ni la mission de jouer au censeur ou à l'inquisiteur". Par ailleurs, et devant leur fiasco pour faire l'impasse sur cette œuvre documentaire, les séparatistes et leurs parrains ont voulu faire diversion en alléguant d'une supposée "inexactitude dans la traduction du hassani à la langue anglaise". La position des producteurs et réalisateurs du film n'a pas bougé d'un iota. Ce qu'ils ont filmé aux camps de Tindouf est bien une réalité vécue par une population sahraouie affamée, marginalisée et exclue par une poignée de bandits, soutenue et protégée par les soldats algériens. C'est sur sollicitation du polisario, qui voulait un film de propagande en appui à ses thèses fallacieuses, que les deux réalisateurs se sont rendus, à l'origine, dans les camps, mais ils n'ont pu taire leur émoi devant des réalités aussi atroces, imposées par le polisario à ses victimes innocentes. Violetta Ayala a tenu, contre vents et marées, à relater l'histoire de son voyage à Tindouf.

    "Nous sommes partis pour réaliser un film sur les réfugiés sahraouis, le polisario l'avait voulu en faveur de sa propagande, mais une fois sur place, nous nous sommes rendus compte d'une réalité tout à fait différente de ce que nous croyons, le véritable challenge était cette condition malheureuse qui est devenue le principal sujet de notre film", raconte-t-elle. "Les moments les plus terribles étaient ceux de notre arrestation et nous étions obligés de cacher les bandes dans le désert et de chercher la personne appropriée qui tâcherait de nous les rapporter par la suite", dit-elle. "Quand je me rappelle ces moments là, mon corps frissonne, nous sommes partis filmer les camps de Tindouf, mais nous avons découvert que ces réfugiés vivotaient dans une prison politique", a-t-elle confié.

    ----------------------------------------------------------------

    Tracasseries

    Les réalisateurs ont été arrêtés pendant une durée de six jours, et allaient rester les otages de leurs terribles geôliers, n'était l'intervention de l'Organisation des Nations unies et de l'ambassade australienne qui leur ont permis de se rendre à Paris après avoir pris soin de cacher la pellicule. Lorsque le front polisario s'est rendu compte de la tournure des événements, poursuit Violetta, il a commencé à exercer des pressions sur les producteurs pour arrêter le développement du film. «Nous avions constamment peur que les pellicules fassent l'objet de vol», a souligné Violeta Ayala. La réalisatrice australo-bolivienne, qui n'a pas caché son satisfecit quant à la fin de ce cauchemar, a promis d'apporter toute l'aide possible en faveur des séquestrés des camps de la honte à Tindouf.

    «Je consacrerai 10 % des recettes du film ainsi que les prix et distinctions qu'il reporterait et les affecterai à un fonds spécial chargé de contribuer aux retrouvailles des familles sahraouies qui souffrent de l'esclavage et des pratiques discriminatoires aux camps de Tindouf», a-t-elle promis.

  • #2
    Aie aie aie!

    "Nous sommes partis pour réaliser un film sur les réfugiés sahraouis, le polisario l'avait voulu en faveur de sa propagande, mais une fois sur place, nous nous sommes rendus compte d'une réalité tout à fait différente de ce que nous croyons, le véritable challenge était cette condition malheureuse qui est devenue le principal sujet de notre film", raconte-t-elle. "Les moments les plus terribles étaient ceux de notre arrestation et nous étions obligés de cacher les bandes dans le désert et de chercher la personne appropriée qui tâcherait de nous les rapporter par la suite", dit-elle. "Quand je me rappelle ces moments là, mon corps frissonne, nous sommes partis filmer les camps de Tindouf, mais nous avons découvert que ces réfugiés vivotaient dans une prison politique", a-t-elle confié.

    Commentaire


    • #3
      Les réalisateurs ont été arrêtés pendant une durée de six jours, et allaient rester les otages de leurs terribles geôliers, n'était l'intervention de l'Organisation des Nations unies et de l'ambassade australienne qui leur ont permis de se rendre à Paris après avoir pris soin de cacher la pellicule. Lorsque le front polisario s'est rendu compte de la tournure des événements, poursuit Violetta, il a commencé à exercer des pressions sur les producteurs pour arrêter le développement du film. «Nous avions constamment peur que les pellicules fassent l'objet de vol»
      ca me parait u peu tieé par les cheveux comme scénario

      mais si ca s'avére vrai , je serais d'avis de retirer cette foutuy proposition d'autonomie
      " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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      • #4
        Propagande vide de contenu et de sens. La pretendue esclave (Fatima) a fait le deplacement a Melbourne et a donne une toute autre version.

        Ayoub, reposte nous la video que tu as poste sur Forum Cinema y'a de ca un mois ou deux pour qu'on decouvre que les deux journalistes ne savent meme pas ce que c'est l'esclavagisme.

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        • #5
          j'espère qui sortira en Algérie ce film ??!!!

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          • #6
            Purée des makhzenistes australiens qui font de la propagande!

            Ayoub, reposte nous la video que tu as poste
            Avec plaisir... (enlevez espaces avant et apres entre maroc et 360)

            http://www.maroc 360.net/video/5/Slavery-in-Tindouf-Camps-12

            N'oubliez pas la deuxieme partie...

            Un documentaire a programmer imperativement au festival de Marrakech en invitant tout ce qui bouge de medias internationaux...
            Dernière modification par ayoub7, 15 juillet 2009, 21h26.

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            • #7


              http://www.algerie-dz.com/forums/sho...hlight=Tindouf

              Merci pour le liens, je l'ai trouve ton ancien poste.
              Le seul Makhzeniste ici est toi,
              Enjoy la propagande vide de sens et de contenu,

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              • #8
                Pour ceux qui comprennent l'anglais, edifiant!

                TWO AUSTRALIAN FILMMAKERS SHOWED THE WORLD
                SOME PRACTICES OF SLAVERY IN TINDOUF CAMPS RUN
                BY POLISARIO


                Two Australian film makers Violeta Ayala and Dan fallshaw , who had
                originally gone to Tindouf camps to make a documentary about a UN –
                supervised family reunion program, over a period of two and a half
                month, discovered that the refugee camps run and supervised by
                Polisario tolerates and allows slavery practices .


                The two filmmakers developed a warm relationship with the refugees
                and particularly with the family of Fatim (a Black skin Sahraoui
                refugee) until they started recording testimonials of slavery, As one
                of the filmmakers Dan made it clear during an interview at the
                Australian National radio ABC, when he said “ I guess within the
                camps, some black sahraouis, consider themselves slaves, that means
                they owned by somebody else, or a property of another person.”
                Relationship with the filmmakers soured was when they started
                recording testimonials of slavery. As soon as Polisario officials
                realized that Sahraoui refugees of black skin, and particularly fatim,
                in addition to her husband and their daughter Leil were giving them
                testimonials, the Polsario security services started putting pressure
                on Fatim’s family, particularly when Polisario officials learned that
                Hocine, fatim’s husband and her daughter Leil spoke freely with the
                filmmakers on the camera with the presence of fatim.

                Making a film about slavery in Tindouf camps is not acceptable from
                the Polisario leadership’s point of you, therefore stopping the
                filming was urgency, so the filmmakers were detained by Polisario
                officials and had to organize their own safe passage from the camps.

                The filmmakers have not mispresented anything nor betrayed anybody;
                on the contrary they are professional reporters who have made a film
                worth seeing about an important and critical issue. As Violeta said
                during the interview with the Australian National Radio :
                “ There are nine people in the film, who talked about slavery;
                this film is about our experiences, our story and what happened to us.
                How people came to us and told us this story. It is about every viewer
                of the film to make up their minds.”

                The film that created controversy within the Australian national
                public alleges that slavery is widespread in the Tindouf camps,
                therefore the immediate reaction is that so many Australians who were
                supporters of Polisario after watching the film started doubting the
                Polisario and its credibility, especially when both filmmakers Ayala
                revelations about the extent of slavery in Tindouf camps. In this
                respect DAN says: “We felt we have a moral obligation to tell the
                story, there are several people on the film who spoke against slavery,
                and they want the story to be heard, there was a group of men who
                travelled 2000 kms across the desert to come and tell their own
                stories to us” he added “The UN …. When we were talking about slavery
                on the ground , they say they did not know that it exits but when we
                travelled to Geneva , the deputy director for North Africa in the UN
                organizations said that they know it exists in the area where the
                refugee camps .”


                Fatim was brought to Sydney film festival by Polisario and was told
                to deny any involvement in the film in terms of talking about the
                slavery phenomenon within the inhabitants of the refugee camps, she
                was also told by the Polisario not to talk to the filmmakers.


                “STOLEN” the title of the movie is not controversial documentary, it
                does reflect another humanitarian aspect of Sahraoui refugee in
                Tindouf camps; the film raises serious questions about whether freedom
                of speech exists in the refugee camps or not. It is the Polisario who
                has forced the film participants to retract their words. The film
                shows to what extent the refugees are scared of the Polisario security
                services.

                The Polisario propaganda machine failed this time to convince the
                Australian and international opinion public of the non –existence of
                slavery in the camps, in fact Polisario officials are extremely
                worried about this event, as it is more likely damaging “their cause”.
                Large Discussions within the Australian society have led to a number
                of Australians who refused the Polisario propaganda that the film is
                fraudulent, the Polisario efforts to confiscate the film shows that
                they had something very damaging to hide. Clearly once the movie was
                out in the open the Polisario have been mounting a last minute
                propaganda campaign that has the backing of the Australia Western
                Sahara Association (AWSA)

                Polisario has enjoyed for a long time the support of some Australian
                NGO’s. The production of such well documented film tackling the
                phenomenon of Slavery in Tindouf camps , in addition to the projection
                of the movie in the Sydney festival movie, and the strong reaction of
                the media, political parties, human rights activists, members of the
                government and other components of the Australian society have shaken
                Polisario’s argument put forward to the Australian people, and created
                a new atmosphere to reconsider the Polisario propaganda, and the way
                Australia as a country should deal with the Polisario front in the
                future .

                Those who support the Polisario need to check their facts; if the
                Polisario is so clean and honest why did so many of their early
                leaders and refugees (mounting to thousands) leave the camps? Why
                the Polisario has the one leader for over 30 years?

                People in the Australia Western Sahara Association (AWSA) may be
                living in the past glory days of resistance and freedom fighters ;
                while the world has changed around them, for me and others Polisario
                (after this scandalous documented and proven film about slavery in
                Tindouf camps ) lost its credibility.

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                • #9
                  La ou est projete le film, Fatima (celle qu'on dit qu'elle est esclave) vient et explique qu'elle a completement ete manipulee.

                  Voici un documentaire de la ABC, qui montre que les traductions du film sont completements fausses, une veritable manipulation.

                  Quand une terre nous appartient....on a pas besoin de mentir autant et utiliser ces methodes (la honte, vous connaissez pas)?:

                  http://www.abc.net.au/news/video/2009/06/15/2598994.htm

                  Commentaire


                  • #10
                    Nous sommes partis pour réaliser un film sur les réfugiés sahraouis, le polisario l'avait voulu en faveur de sa propagande, mais une fois sur place, nous nous sommes rendus compte d'une réalité tout à fait différente de ce que nous croyons, le véritable challenge était cette condition malheureuse qui est devenue le principal sujet de notre film", raconte-t-elle. "Les moments les plus terribles étaient ceux de notre arrestation et nous étions obligés de cacher les bandes dans le désert et de chercher la personne appropriée qui tâcherait de nous les rapporter par la suite", dit-elle. "Quand je me rappelle ces moments là, mon corps frissonne, nous sommes partis filmer les camps de Tindouf, mais nous avons découvert que ces réfugiés vivotaient dans une prison politique", a-t-elle confié.
                    On peut cacher la vérité mais jamais l'effacer !

                    Ps: Nous avons acheté ces journalistes aussi

                    Commentaire


                    • #11
                      La ou est projete le film, Fatima (celle qu'on dit qu'elle est esclave) vient et explique qu'elle a completement ete manipulee.

                      Voici un documentaire de la ABC, qui montre que les traductions du film sont completements fausses, une veritable manipulation.


                      Oui, ils l'ont attrapés, il lui ont dit ecoute, t'es noir de peau, on t'a attrapée, tu dis que t'es esclave, on te filme et puis c'est cool sinon bah on te défonce


                      On connait tous le polisario, on sait trés bien qu'il est capable de faire dire n'importe quoi a n'importe qui, par contre la pauvre dame, j'ai pitié d'elle ce qu'ils ont du lui faire subir quand ils ont vu la video meskina, mais Allah Akbar ils paieront un jour !

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                      • #12
                        Pauvre gosse, j'imagine seulement avec quoi ils ont du la menacer et ce qu'ont du lui faire les services algeriens qui gerent les camps... Quand on sait ce qu'ils font aux non-esclaves dans les camps en prenant en otage une partie de la famille quand un membre voyage hors du pays pour s'assurer qu'il revienne. Dommage pour l'Algerie, apres avoir lié le nom de ce pays avec le terrorisme, voila qu'au fin fond du monde, des australiens vont le lier aussi a l'esclavagisme. Pas gentil les polz...

                        C'est vraiment tres simple, il faut laisser les gens voir le documentaire et ils se feront leur propre avis... Heureusement que l'australie n'a pas cédé a la propagande de la DRS algerienne. Le film est passé et tout ce brouhara ne peut etre que de bonne augure pour qu'il interesse plus de monde... ils se feront donc leur propre avis. Cote marocain, je repete, ce documentaire doit etre en avant premiere dans tous les festivals du royaume et une copie doit etre donnee a chaque journaliste present...
                        Dernière modification par ayoub7, 15 juillet 2009, 21h39.

                        Commentaire


                        • #13
                          On ne voit nul part l'esclavage dans cette video. Ce que leurs films rapporte est clairement ce qui se passe au Maroc depuis des siecles, en l'occurence, la tradition des "bonnes". Les deux journalistes n'arrivent meme pas definir l'esclavage et parlent vaguement d'escalavage moderne qui est largement pratique au Maroc.
                          Ces deux journalistes n'arrivaient meme pas a definir l'objet de leurs films mais ils s'entent a rajouter a la fin de l'itnerview que "si on comprend l'escalavage, ce qeu vit fatim est certainement de l'escalavage".
                          Come on guys, if you don't know what slavery mean, then for god sake don't try to make us believe what you thought is modern slavery and try to link it to a "horrifying slavery" in the camps.

                          Commentaire


                          • #14
                            Ben regarde le documentaire de la ABC et la version de toutes les parties concernes directement et tu verras.

                            Le cameramen dit que c'est une manipulation, les soit disants exclaves disent que c'est une manipulation, le representant de l'ONU dit que c'est une manipulation, les traductions faites par la ABC par un professionnel independant montre que les sous titres sont completements FAUX. Dailleurs tu comprends l'arabe tu peux verifier toi meme et juger.

                            Maintenant ma question: matahachmouch?

                            Vous vous sentez tellement dans le tord que vous devez mentir?

                            Ya3ni ca c'est une politique?

                            Est ce qu'il reste un minimum d'honneur?



                            http://www.abc.net.au/news/video/2009/06/15/2598994.htm
                            Dernière modification par Karim28, 15 juillet 2009, 21h44.

                            Commentaire


                            • #15
                              Voila ce qu'est bien dit. C'est aussi simple que cela. Les polizariens doivent cessez de s'aiter et de vouloir cacher la verite.

                              C'est vraiment tres simple, il faut laisser les gens voir le documentaire et ils se feront leur propre avis...

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